La Morte Amoureuse Plan

version discordante – mais il s’agit là d’une parole à l’adresse d’une enfant et le lecteur n’est pas gratifié de pareille inno- cence –, ce principe d’une mesure différenciée du temps scande le récit, composé sur un plan dramatique comme un détonateur et comme un résonateur, sur un plan narratif comme une succession d’éphémérides et une chambre d’échos. Quignard à l’œuvre : nulle science d’être sans un art d’écrire, nul art poétique qui n’engage quelque éthique appliquée. En quête d’une durée substantielle

en prose sur ce thème, il connaît un énorme succès : en France, Charles Nodier en écrit une version adaptée pour le théâtre (1820), de même qu’Alexandre Dumas, en 1852. La mode du vampire touche alors toute l’Europe : Théophile Gautier, La Morte amoureuse, 1836 ; Alexis Tolstoï (à ne pas confondre avec Léon Tolstoï, l’auteur de Guerre et Paix), La Famille du Vourdalak, 1840 ; Sheridan Le Fanu, Carmilla, 1871. Au xxe siècle, le cinéma contribue à l’engouement pour la figure du vampire, avec

Aliénor d’Aquitaine (dite également Éléonore de Guyenne) est née en 1122 ou 1124 et est morte le 31 mars ou le 1er avril 1204[], à Poitiers, a été reine de France, puis d’Angleterre. Duchesse d’Aquitaine, elle occupe une place centrale dans les relations entre les royaumes de France et d’Angleterre au XIIe siècle : elle épouse successivement le roi de France Louis VII, à qui elle donne deux filles, puis Henri Plantagenêt, le futur roi d’Angleterre Henri II, renversant ainsi le rapport des forces

Fiche Cours Nº : 91025 FRANÇAIS Toutes séries LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE Etude d’œuvre : La Bête humaine de Zola Plan de la fiche 1. Une illustration du naturalisme 2. « Fêlure héréditaire » et bête humaine 3. Personnages et crimes 4. Une dimension épique 5. Une force mécanique indifférente 6. Originalité et pessimisme Une illustration du naturalisme Inspiré par Claude Bernard, Hippolyte Taine et par les travaux du Docteur Lucas sur l’hérédité (L’Hérédité naturelle), Zola illustre ici son

d'en être la destruction. Dans leur dernière rencontre, Anne, comme l'assassinée, découvre en elle ce désir d'être tuée par un amant qui en venait à désirer sa mort. Ils se quitteront définitivement sur ces mots: "— Je voudrais que vous soyez morte, dit Chauvin. — C'est fait, dit Anne Desbaresdes." La structure du livre repose donc notamment sur l'opposition, le contraste. L'accomplissement virtuel de la passion des deux personnages s'oppose à l'expérience vécue par l'assassin et

d'écrire une histoire, celle de Flore et Blanchefleur. Boccace resta dix-sept ans à Naples, vivant d'une maigre pension que lui versait régulièrement son père et passant le plus clair de son temps à écrire (Le Philostrate, La Théséide, La vision amoureuse). Mais, en 1340, des revers de fortune l'obligèrent à rentrer à Florence qui était un grand centre commercial, le siège d’une bourgeoisie marchande. Le contraste avec Naples, carrefour des grandes cours de l'époque des civilisations italiennes,

citées et constituaient le thème principal de nombreuses natures mortes. Un crâne, la flamme d’une lampe à l’huile venant juste d’être éteinte ou la fragilité d’un verre posé en équilibre instable » (dans l’Objet d’art, L’âge d’or de la nature morte néerlandaise, juin 1999). Christine Debrie explique que « Bien que moins courantes dans les Pays-Bas du Sud que dans ceux du Nord, les allégories de la Vanité attestent la communauté de pensée entre les protestants et les catholiques : même approche

France prône un amour raisonné, mesuré et célèbre le bonheur des couples unis par la seule nécessité de l'amour Le lai comme forme médiévale et transitoire du conte forme de narration très proche. Les lais de Marie de France sont des fables amoureuses d'où le lecteur est invité à tirer une leçon, un avertissement. (rejoint l'idée d'une écriture par symbole). L'ombre de Tristan et Yseult L'amour •le désir féminin, la condition féminine : lai de Yonec (dame enfermée) /VS/ monde de violence

Mélisande prenne la fuite. Golaud tue Pelléas et poursuit Mélisande. ACTE V SCENE I : servantes : salle basse du château Une servante raconte que ce matin en se levant elle a découvert le corps de Pelléas qui gisait sur le sol. Mélisande, presque morte le tenait dans ses bras et Golaud les regardait une épée à la main. Mélisande avait accouché il y a trois jours d’une petite fille toute frêle. ACTE V SCENE II : le médecin, Arkel, Mélisande et Golaud : appartement du château Mélisande est dans

Koulechov décide de théoriser le cinéma et le montage avec une expérience. Il alterne un seul et même gros plan d’Ivan Mosjoukine impavide avec des plans d’une assiette de soupe chaude, puis d’un cercueil d’enfant et enfin, d’une femme nue lascive… Les spectateurs testés trouvaient que Mosjoukine « exprimait à merveille les sentiments successifs de la faim, de l’angoisse et du désir » alors que son gros plan avait été tiré d’un film au hasard. Donc Mosjoukine n’exprime rien, mais c’est le spectateur qui voit