La Mouche

couverte et recouverte de rameaux plus opaques les uns que les autres) devait être d'une force et d'une beauté rares pour porter avec tant d'élégance tant de poids accumulé. Il était surtout (à cette époque) pétri d'oiseaux et de mouches ; il contenait autant d'oiseaux et de mouches que de feuilles. Il était constamment charrue et bouleversé de corneilles, de corbeaux et d'essaims; il éclaboussait à chaque instant des vols de rossignols et de mésanges; il fumait de bergeronnettes et d'abeilles ; il soufflait

La Cigale et la Fourmi La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue La Cigale et la Fourmi La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. "Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal. " La Fourmi n'est

supérieur Indication Impossibilité pour le patient de se moucher, coma, paralysies, personne âgées etc. MATERIEL • 1 plateau • 1 haricot • Compresses stériles • Sérum philosophique • Mouchoir en papiers • Protection (carre d'alèse) • Savon liquide et essuie-mains à usage unique TECHNIQUE (ce soin doit être pendant la toilette et hors de la toilette) *Prévenir le patient *Allumer la présence *Installer la protection *Faire moucher le patient une narine après l'autre, évacuer les secrétions

développe et se précise dans une spécialité, mais elle risque, si cela dure trop longtemps dans la même voie, de voir son horizon se limiter. De toute façon, l'homme superficiel, qui n'a aucune connaissance profonde par l'intérieur, est comme une mouche qui zigzague et finalement ne produit que de l'agitation. Il n'est pas cultivé. À l'autre bout, le spécialiste, étroit et prolongé, le spécialiste aux œillères définitives, ne l'est pas non plus, c'est manifeste. Faut-il apprendre beaucoup pour

L'auteur utilise plusieurs fois le corbeau dans ses fables, symbole de la mort. Mais les oiseaux sont aussi qualifiés de majestueux, orgueilleux avec le héron, de gourmands avec le corbeau et le milan, de serviteurs zélés et sots avec le faucon et la mouche, d'honnêtes avec la perdrix, « toujours en noise » en parlant des coqs. Et pour finir, de supérieurs, de divins avec l'aigle « l'oiseau Jupiter », la poule et le dragon. Ce thème est intéressant car cela permet de voir comment Jean de la Fontaine

rouge-noir, un maquillage pâle. Elle regrette Orphée. Le geôlier tante de séduire Eurydice mais en vain. Avec l’aide de Cupidon, Jupiter se métamorphose en une bête ridicule, une mouche. Ce passage est complètement ridicule, suivit du ballet des mouches pour distraire l’attente du public. Eurydice est séduite par la mouche. Ce qui est complètement impensable. Cette scène d’approche tourne au comique avec des gestes « déplacés » Après cela, Jupiter lui propose de venir au bal masqué et ainsi lui promet

un voile (…) de mouches blanches”. Evocation des flocons de neige dans un décor nocturne (“crépuscule” l.16). Effet de contraste (blanc / noir).Ce n’est pas seulement la neige tombée qui est décrite, mais la neige en mouvement (les flocons). Peinture en mouvement : métaphore du tourbillon, métaphore de l’essaim de mouches (accentuée par l’hyperbole “mille et mille”). Donne vie à la neige (vivantes l.19). Evocation poétique : grand travail sur les sonorités (CH ; chenillé, mouches blanches ; F : froides

le troisième, La Guêpe est tiré de La rage de l’expression, parut en 1952 et écrit par Francis Ponge, le quatrième poème provient de Le Bestiaire de Guillaume Apollinaire parut en 1918 et se nomme La Sauterelle et le cinquième et dernier poème, La Mouche est extrait de Battre la campagne recueil écrit par Raymond Queneau en 1968. Ce corpus nous interroge d’abord sur les sens de ces poèmes à travers l’insecte élément présent dans chacun des poèmes qui est reflet de la condition humaine, puis sur l’humour

reconstruction romanesque». Les Mouches : Drame en trois actes de Jean-Paul Sartre, « Les Mouches » a été joué pour la première fois en 1943. C’est la première pièce de Sartre, inspirée de la tragédie grecque. L’analyse de l’œuvre peut être faite à travers trois thèmes principaux : la notion de repentir, le prix de liberté et le sens politique à donner à la pièce. La notion de repentir L’intrigue prend place dans la ville grecque d’Argos, infestée par des mouches : elles sont le symbole évident

fait une expérience sur une mouche.
Elle veut savoir, après combien de pattes et d’ailes en moins une mouche s’arrêtera de voler.
Elle arrache une première patte, et dis: “Mouche, Mouche. vole !” Et la mouche s’envole. elle fait la même chose pour les autres pattes.
Elle enlève la première aile et redis: “Mouche, mouche.. vole !”
Et la mouche vole, mais difficilement. Elle arrache la deuxième aile et dis: “Mouche, mouche.. vole !”
La mouche ne vole pas.. “Mouche, mouche, vole !!!”
Elle vole toujours