La Muse Alfred De Musset

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 Lecture cursive : Les Caprices de Marianne, Alfred de Musset, 1833  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 Ce cours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à ce cours sont la propriété de leurs auteurs et/ou ayants

fort assaillir, Plus il nous fait nos forces recueillir, Et toujours frais en ses combats fait être ; Mais ce n'est pas qu'en rien nous favorise, Cil qui les Dieux et les hommes méprise, Mais pour plus fort contre les forts paraître. Alfred de Musset (1810-1857) écrivit le poème A Madame Menessier en Novembre 1831. Il fait partie d’un recueil intitulé Premières poésies. A Madame Menessier Madame, il est heureux, celui dont la pensée (Qu'elle fût de plaisir, de douleur ou d'amour)

épuiser jusqu'au fond Mille fois ce jourd'hui mon gobelet profond, Et ne partir d'ici jusqu'à tant qu'à la lie De ce bon vin d'Anjou la liqueur soit faillie... "Quel passe-temps prends-tu d'habiter la Vallée De Bourgueil, où jamais la Muse n'est allée? Quitte-moi ton Anjou, et viens en Vendômois: Là s'élèvent au ciel le sommet de nos bois, Là sont mille taillis et mille belles plaines, Là gargouillent les eaux de cent mille fontaines, Là sont mille rochers, où Echon alentour

de ce drame, Victor Hugo s’oppose aux conventions classiques, en particulier à l'unité de temps et à l'unité de lieu, et jette les premières bases de son drame romantique. Le couple reçoit beaucoup et se lie avec Sainte-Beuve, Lamartine, Mérimée, Musset, Delacroix[22]. Adèle Hugo entretient une relation amoureuse avec Sainte-Beuve, qui se développe durant l’année 1831[23]. De 1826 à 1837, la famille séjourne fréquemment au Château des Roches à Bièvres, propriété de Bertin l’Aîné, directeur du Journal

artistique d’après son efficacité dans le domaine du beau. Entre le beau de la nature et le beau de l’art, il préfère le dernier (v. Le génie du christianisme). 2. La deuxième période s’étend entre 1820-1830. Après 1820, les écrivains groupés autour de la “Muse française” s’attachent à souligner le caractère moderne du romantisme. En 1824, Racine et Shakespeare de Stendhal démontre que tous les grands écrivains ont été les romantiques de leur temps. Dans la même période, Hugo écrit la célèbre Préface de Cromwell

perpétuelles qui font plonger le lecteur dans un univers onirique, illusoire dans lequel rien ne peut valoir les soucis personnels et les caprices de l'âme romantique. Cette vague à su entraîner dans un délire narcissique des écrivains comme: - Alfred de Musset" Je n'ai jamais chanté ni la paix ni la guerre Si mon siècle se trompe, il ne m'importe guère; Tant mieux s'il a raison, tant pis s'il a tort. - Baudelaire " Le poète est semblable au prince des nuées.

par Michel-Ange et décorés par Raphaël. " In " le Génie du christianisme ". - Eugène DELACROIX : " Dans la peinture, il s’établit comme un pont mystérieux entre l’âme des personnages et celle du spectateur. " In " Journal " 8 octobre 1822. - Alfred de MUSSET : " Les grands artistes n’ont pas de patrie ". In "  Lorenzaccio ". - Emile ZOLA : " Une œuvre d’art est un coin de la création vu à travers un tempérament ". In "  Mes haines ". - Anatole France : " L’histoire n’est pas une science, c’est

publie les premiers écrits romantiques est l’Almanach des muses. - Le salon de L’Arsenal, est tenu par son bibliothécaire Charles Nodier. La revue qui les rassemble est La muse française. Avec Hugo, Vigny, Nerval, Dumas, Deschamp. - Victor Hugo, avec sa femme Adèle, fonde son propre salon, rue Notre Dame des champs. Musset et Sand le fréquentent. C’est un grand cercle romantique qui existe autour de la personnalité de Hugo. - En 1829, « Le petit cénacle » se réunit dans l’atelier du sculpteur

babyloniennes, tout comme Xénophon, renchérissant sur Hérodote qui a écrit une chronique très représentative des mœurs et des coutumes perses. Dans l'Antiquité grecque, la figure du poète était incarnée par Orphée, Prince Thrace légendaire, fils de la muse Calliope, poète, musicien et chanteur, dont on dit que le génie était tel qu'il charmait même "les bêtes sauvages". La poésie apparaissait alors comme un monde divin, et le poète étant inspiré par les Muses, lui permettant de manier le langage et de

7-FR20 379 © Cned – Académie en ligne Document 4 380 Séquence 7-FR20 © Cned – Académie en ligne Document 5 Séquence 7-FR20 381 © Cned – Académie en ligne Document 6 David d’Angers, La douleur «Cliché Musées d’Angers». © Musées d’Angers - Photo Pierre DAVID. 382 Séquence 7-FR20 © Cned – Académie en ligne Document 7 Lord Byron, Le Pèlerinage de Childe Harold, chant III, 1812-1816, traduction Paul Bensimon et Roger Martin, Aubier Séquence 7-FR20