La Muse Malade Les Fleurs Du Mal

celui lui, lui impose trop de restriction pour s'adonner à la névrose décadente de Des Esseintes. Pierre Waldner dit "A Rebours sera un jeu, une délivrance, et peut-être, à la limite, un exorcise (...). [Huysmans] fera de des Esseintes un véritable malade, parvenu au terme extrême de sa névrose et retrouvera du même coup - possibilité rassurante pour lui et combien révélatrice - le moyen de le traiter comme un personnage de roman naturaliste, relevable des modes d'étude et de présentation chers à Zola

mord ? Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Un long poème de Charles Baudelaire, dont le titre signifie « Le Bourreau De Soi même ». C’est un poème en sept strophes (quatrains) avec des rimes embrassées du type ABBA. Il fait parti du recueil Les Fleurs Du Mal. J’ai choisi ce poème car il est engagé dans la colère et l’on voit bien que C.BAUDELAIRE se déchaine. Un poème minuscule : Le châtiment de la cuisson appliqué aux imposteurs Chaque fois que les gens découvrent son mensonge, Le châtiment

domaine sociale, politique, éthique… La répétition de cette phrase fonctionne comme un « Leitmotiv » : phrase musicale associé à un personnage dans l’opéra de Naguère. Accumulations de contresens, Pangloss s’obstine, même devant l’évidence, il niera le mal et le malheur. 2) La parodie de 2 genres 1° La parodie du conte et du roman d’initiation Formule d’intro : « Il y avait », avec tournure impersonnelle. Dés la 1ere ligne, Voltaire parodie le conte en citant un réelle état Allemand : La

pas La chambre joyeuse, les fêtes Du premier cri, du premier pas, La gambade faite en chemise Sur le tapis, devant le feu, La gaîté bruyante et permise, Et l’aïeule qui gronde un peu. ― Pourtant ce qui vous fait, si jeunes, Pareilles aux fleurs des prisons, Ce ne sont ni les rudes jeûnes, Ni les pénibles oraisons : Ces graves filles, vos maîtresses, Vous pouvez leur dire : « Ma sœur ! » Sans amour tendre ni caresses, Elles ont du moins la douceur ; Une de ces vierges chrétiennes

ecrit en 1857 et tire des Fleurs du Mal. C’est egalement un poeme adresse a une femme, de ce fait on s’attend plutot a un poeme d’amour cependant l’auteur anonce ici la Mort a une de ses muses et maitresses, Jeanne Duval, qui est ici la personnification de la Beaute: “ma belle tenebreuse”. Il y a dans ce texte une dichotomie (opposition) entre deux concepts: la Mort et l’Intemporalite. L’auteur, dans les deux premiers quatrains du sonnet annonce le poids de la mort sur la muse comme une prison: “ Quand

si beauxEt dans le sac à main il y avait mon rêve ce flacon de selsQue seule a respiré la marraine de DieuLes torpeurs se déployaient comme la buéeAu Chien qui fumeOu venaient d'entrer le pour et le contreLa jeune femme ne pouvait être vue d'eux que mal et de biaisAvais-je affaire à l'ambassadrice du salpêtreOu de la courbe blanche sur fond noir que nous appelons penséeLes lampions prenaient feu lentement dans les marronniersLa dame sans ombre s'agenouilla sur le Pont-au-ChangeRue Git-le-Cœur les timbres

............................................................................... 4 Vous m'aviez dit que vous m'aimiez bien fort. Marguerite de Navarre ............................................................................. 4 A une demoiselle malade. Clément Marot ...................................................................................................................... 4 XVI siècle ...................................................................................................

deux œuvres : elles représentent le même sujet. Les cheveux du tableau semblent tout comme pour le poème venir de lointains pays. De plus il représente sa compagne Irma Clare dans ce tableau, et Baudelaire évoque Jeanne Duval. Ils ont tous deux une muse pour leur travail. On a dans ce tableau une lourde crinière qui ondule dans un jeu d’ombre et de lumière. Les crans de la chevelure ressemblent à des vagues. Le rythme ondoyant des cheveux donne une sensation aquatique. Les mèches de cheveux sont

du romantisme, de s’exprimer librement ce qui lui causa une grande frustration . La société sous Napoléon III était très étroite d’esprit ce qui le condamna à la postérité mais aussi à une censure partielle de son recueil publié en 1857 : « Les Fleurs du Mal». ( l‘œuvre de sa vie ) causée par une note fielleuse dans le Figaro concernant des « obscénités » qui selon lui seraient présentes dans ce recueil, enclenchant une mécanique judiciaire. Sa vie de débauche ne l’aida pas dans cette procédure. (histoire

................................................................ Gerard de NERVAL -A Béranger................................................................................................................................... Arthur RIMBAUD -Le mal............................................................................................................................................ FOUILLET Angélique Louis ARAGON Louis Aragon est né le 3 octobre 1897 . Son père