La Muse Malade

et ses mouvements avec réalisme et audace avec des sculptures qui choquent. À 43 ans, il tombe amoureux d’une jeune sculptrice Camille Claudel qui va beaucoup l’inspirer. Très célèbre à la fin de sa vie, il reçoit médailles et récompenses et meurt malade à 77 ans en 1917. En sculpture, les valeurs abstraites étaient représentées sous forme d’allégories. Ainsi la pensée adoptait les traits d’Athéna, déesse de la sagesse. Pour la première fois, un artiste décide de matérialiser la pensée en sculptant

être un ami des arts (mécène) + référence à la Renaissance et à la poésie amoureuse de l’époque avec « lits », « baisers » (//poésie pétrarquiste reprise à la Renaissance par les poètes de La Pléiade)  La mendiante devient une muse (// « La muse malade » ou « La muse vénale » dans « Spleen et Idéal ») Mouvement 3 : strophes 11 à 13 → retour à la réalité Retour à la réalité marqué par le tiret au début de la strophe + adverbe « cependant (rupture) + présent d’actualité : - Retour de la pauvreté

mouvements avec réalisme et audace mais ses sculptures peuvent parfois choqué .A 43 ans, il tombe amoureux d’une jeune sculptrice Camille Claudel qui va beaucoup l’inspirer. Très célèbre à la fin de sa vie, il reçoit médailles et récompenses et meurt malade à 77 ans en 1917. Contexte historique (social, artistique…): Pour la première fois, un artiste décide de matérialiser la pensée en sculptant un homme nu, dans une pose qui suggère aussitôt la méditation. C’était inconcevable jusque- là! Rodin

ANY WHERE OUT OF THE WORLD N'IMPORTE OÙ HORS DU MONDE Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu'il guérirait à côté de la fenêtre. Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme. “ Dis-moi, mon âme, pauvre âme refroidie, que penserais-tu d'habiter Lisbonne ? Il doit y faire chaud, et

 mêle  dans  mon  âme  au  chant  des  mariniers.             La muse malade   Baudelaire  nous  montre  ici  une  muse  malade  qui  a  perdu  toute  sa  fraicheur  et  sa  pureté.  On  la  voit   qui  souffre.           Ma  pauvre  muse,  hélas  !  Qu'as-­‐tu  donc  ce  matin  ?            Tes  yeux  creux

Anywhere out of the world (N’importe où, hors de ce monde) Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit. Celui-ci voudrait souffrir en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait à côté de la fenêtre. Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme. « Dis-moi, mon âme, pauvre âme refroidie, que penserais-tu d’habiter Lisbonne ? Il doit y faire chaud, et tu

qui va au-delà du sentimentale. Cet amour est un remède aux maux de notre âme, il n'est donc pas charnelle comme l'amour sensuel mais est plutôt fraternité, tendresse de sœur ou bien mère... Cette femme devient « un ange gardien »  ou encore une « Muse » mais cette amour n'est pas stable, il y a toujours des "rechutes" vers l'amour sensuel. L'aube spirituelle : Des cieux spirituels l'inaccessible azur, Pour l'homme terrassé qui rêve encore et souffre Avec cet amour il rêve d'aller haut, et

parisien » Le temps : « L’Horloge » ; « Crépuscule (Le) du matin/soir » ; « Sonnet d’automne » L’art : Tableaux, « La Musique » ; « Chansons d’après-midi » ; « Chats d’automne » Les poèmes parlant des Muses : « Muse (La) Vénale » ; « Muse (La) malade » Amour/Beauté: Les divers poèmes dédiés aux femmes ( « A une dame créole » , « A une madone » etc. ) ; « Beauté (La) » ; « Hymne à la beauté » La mort : « Charogne » ; « Mort (La) des amants » ; « Mort(La) des

« Le vin du solitaire » et « L'Ame du vin », l'alchimie : « Orgueil » et « L'alchimie de la douleur » , le spleen : «  Spleen 62 » et « L'ennemi », Paris : «  Rêve parisien » et « Paysage », le dandy, la maladie : «  mal » et « La muse malade », la prostitution : «  La Muse vénale » et « Le Crépuscule du soir », «  le poète maudit : «  Une Charogne » et «  L'Albratos », le diable : «  Les Litanies de Satan » et la mort : «  La mort des pauvres » et «  Le voyage »Pour des poèmes qui mêlent la « boue »

tuberculose. Il y reste jusqu’en février 1914 et c’est là qu’il rencontre une jeune russe de son âge en exil nommée Helena Diakonova qu’il surnommera Gala. La forte personnalité et la grande culture de cette femme impressionne Eluard, celle-ci deviendra sa muse. En 1916 ils s’unissent dans les liens sacrés du mariage. C’est en 1917, à l’âge de 21 ans qu’il se proclame Paul Eluard, hérité de sa grand-mère. Le 11 mai 1918 il est l’heureux père d’une petite fille « Cécile ». En 1918, il adhère au Dadaïsme,