La Mécanisation Du Travail

de nouveaux marchés et diminuer ses coups de productions, la mains d’œuvre étant moins chère. II Les consequences sociales de la production de masse A- Debut 20eme siecle ( baisse importante et régulière des emplois agricoles (cause : Mécanisation du secteur > 1913-70 : -Emploi industriel progresse du fait des besoins d’ouvriers spécialisés sur les chaines de montages Désindustrialisation= moins emplois industriels depuis les années 80 a cause de la robotisation des chaines de production

- LES EFFETS ÉCONOMIQUES DE L'ORGANISATION DU TRAVAIL SUR LA CROISSANCE A - L'augmentation de la production 1. La standardisation des biens permet des économies d'échelle favorables à une production de masse pendant les périodes taylorienne et fordiste (document 2) : taux de croissance annuels moyens de 4,8 % à 5,4 % pendant les 30 Glorieuses. 2. Toutefois l'utilisation du juste-à-temps comme principe de gestion de la production privilégie la diminution des stocks (rôle du kanban) (document

quitter leur milieu d'orinigine pour s'installer dans un milieu d'acceuil, ses facteurs varient selon les pays et leurs conditions socio-economiques: -Le sous- emploi: travail a temps partielle -Le chomage saisonnier: travail selon les saisons -Les revenus limitees -La pression demographique sur la terre agricole -La mecanisation des travaux et l'exedence de la main d'oeuvre - La famine -La mobilitee forcee -Acces difficile aux services de sante, d'education ainsi qu'aux loisirs *Tout cela

classes. En effet, il y a toujours eut une division en deux groupes. Un groupe qui ne possède pas grand-chose et un groupe qui dispose de toute la richesse c’est-à-dire du capital. Ainsi le groupe qui ne détient pas le capital doit obligatoirement travailler pour subvenir à ses besoins. Il y a bien une conception matérialiste de l’histoire qui dit que les rapports humains sont des rapports déterminés, indépendants de la volonté individuelle et de la conscience. Ce déterminisme prend racine dans les

particulier celles qui appartiennent aux grandes entreprises qui introduisent le taylorisme et le fordisme dans les méthodes de travail. • Au XIXe siècle, il faut également compter un nombre de femmes et d’enfants croissant dans la population ouvrière. Leur situation s’améliore lentement grâce à des lois sociales (ainsi, les lois scolaires de 1882) et leur temps de travail diminue. Au total, la classe ouvrière prend progressivement conscience qu’elle forme un groupe à part, cimenté par les luttes sociales

consommation touche aussi la vaisselle (la faïence ou la porcelaine sont préférés au fer ou à l’étain, plus chers mais incassables) qui convient mieux pour le thé et le café qui deviennent très populaires en G-Bretagne et en France. Le développement du travail rémunéré des femmes (dons d’une disponibilité en numéraire) peut expliquer l’intérêt pour l’aménagement intérieur : nappes, rideaux, mais aussi horlogerie, argenterie. En G-Bretagne , on peut même parler de consommation de masse, car les classes moyennes

la société capitalisme, les rapports sociaux sont entre travailleurs et capitalistes. Ces rapports s’inscrivent dans le cadre du salariat. Il y a un marché du travail où le travailleur vient louer sa force de travail au capitaliste. Il est dominé car il ne possède que cette force. Le capitaliste peut acheter et offrir de la force de travail. Ces rapports de production sont fondés sur l’exploitation. Le capitalisme achète une marchandise qui créé de plus en plus de valeur (hausse de la productivité)

Peut-on abolir le travail ? Le travail apparaît comme une contrainte imposée : « Le propre du travail, c'est d'être forcé » disait Alain. Pour Marx, « Le domaine de la liberté commence là où cesse le travail », le travail s'opposerait donc à la liberté, d'où une incompatibilité entre travail et liberté. Le travail est considéré comme nécessaire car contraint et donc il est distant de tout plaisir, il peut même être dégradant, avilissant, asservissant. En outre, la place qu'il occupe est centrale

production pour une quantité fixe de facteurs de production utilisés (le travail, mais aussi le capital, comme les machines). Il contribue pour une large part à la « productivité globale des facteurs » (PGF). Au sens large, le progrès technique désigne l'ensemble des innovations qui peuvent améliorer : * la productivité du travail et du capital : par exemple la mécanisation, l'organisation scientifique du travail ou encore la formation, etc. * la productivité générale de l'économie

production sont les ressources, matérielles ou non, utilisées dans le processus de production de biens et de services. Ils sont limités en quantité et entrent dans un processus qui demande du temps. Nous pouvons en distinguer deux types : * Le facteur Travail * Le facteur Capital L’entreprise veut minimiser ses coûts et maximiser ses profits. Les coûts dont il est question ici concernent essentiellement les coûts des facteurs de production. Elle recherche alors la meilleure combinaison possible