La Nationalisation Et La Privatisation

réforme de la fonction publique d'État (statut de la fonction publique), réforme des interventions économiques et sociales de l'État avec le droit d'expropriation, urbanisme avec l'activité hospitalière (santé publique), enseignement, nationalisations ou privatisations, planification, aménagement du territoire, environnement, etc. De même encore la réforme des relations entre administration et administrés : institution d'un médiateur, administration transparente, informatique, droit commercial, droit

associer économie de marché et libéralisme. Le libéralisme est l’idée selon laquelle le marché est capable d’assurer l’allocation optimale des ressources entre les différents acteurs de l’économie pourvu qu’aucune interférence (monopoles, nationalisations) ne vienne perturber son libre fonctionnement. Dans la réalité, une économie de marché ne correspond pas à la simplicité du modèle libéral car l’état intervient sur les règles du jeu avec des outils que les libéraux condamnent au nom de la

.............................. 12 5.2. Les règles de base de la régulation des réseaux ............................................. 13 5.2.1 La séparation juridique de l’infrastructure et du service .............................. 13 5.2.2 La privatisation des entreprises de service ................................................. 13 5.3. . La mise en place d’une régulation de réseau ................................................. 14 6. Conclusion .............................................

gauche. Il s'agit de « changer la vie » des Français. C'est d'abord « l'Etat de grâce » : une série de lois est votée sur le relèvement des prestations sociales, les 39 heures, la retraite à 60 ans, la suppression de la peine de mort (1981), les nationalisations, la décentralisation... mais les déséquilibres financiers budgétaires et le déficit de la balance des paiements conduisent à des dévaluations et à « une politique de rigueur » dès 1983. Les gouvernements de Pierre Mauroy puis Laurent Fabius (juillet

consommation (politique de relance) crédit desserré, SMIC et bas salaires revalorisés. Réduction du temps de travail légal à 39 heures. De profondes réformes sont lancées : décentralisation (par Gaston Defferre, ministre de l’intérieur), les nationalisations (cinq groupes industriels et trente-six banques d’affaire, deux compagnies financières, Suez et Paribas) visant à placer les secteurs-clés de l’économie et de la production. • Des réformes à fort poids symbolique sont mises en place : abolition

importations. D’ici 1990, la part du commerce extérieur dans le PIB sera ramenée en-dessous de 20 %. 21 - Le secteur public sera élargi par la nationalisation des neuf groupes industriels prévus dans le Programme commun et le programme socialiste, de la sidérurgie et des activités de l’armement et de l’espace financées sur fonds publics. La nationalisation du crédit et des assurances sera achevée. 22 - Le contrat de travail à durée indéterminée redeviendra la base des relations du travail : les

Du « changement » à la « rigueur » (1981-1986) 1) L’ère du changement, un ensemble de réformes sans précédent pour appliquer le programme de Mitterrand (1981-1983) - le gouvernement MAUROY : entrée de 4 ministres comm au gvt - série de nationalisations : grands groupes industriels (Péchiney, Kuhlmann, Rhône-Poulenc), banques (Paribas, Suez) - décentralisation (1982) qui accentue les pouvoirs des conseils régionaux - lois Auroux qui renforcent les droits des salariés - lois sur la communication

s’auto réguler grâce à la "main invisible" du marché et cette concurrence généralisée est le moyen le plus efficace de produire de la croissance et donc d’améliorer globalement le niveau de vie de tous. C’est ce modèle, y compris dans la volonté de privatisation des services publics, qui a eu le vent en poupe dans tout l’Occident, soit aux EU avec les républicains sous sa version dure et conservatrice, soit en Europe sous sa forme social-libérale comme peut en témoigner le texte proposé pour l’établissement

dans beaucoup de banques cotées, avec une dominante anglo-saxonne dans cet actionnariat. c) Non, leur participation au capital a souvent diminué (par exemple en France avec la disparition des « noyaux durs » mis en place au moment de certaines privatisations ou en Allemagne avec le recul du « modèle rhénan »). d) Non, leur participation au capital reste souvent limitée. e) Il y a une bonne réponse : la b). Question n° 19 QRU a) b) c) d) e) Le rapport annuel est un document de communication

(10% du PNB), nationalisation des banques * protectionnisme fort pr contrôler les importations, dévaluation constante pr exporter + * politique de recherche et de formation de la pop * s’occupe des infrastructures (ports, routes) - mais : * législation sociale souple pr la main d’œuvre (capitalisme sauvage, éco capitaliste de marché, coopération ac le privé zones franches pr les entreprises étrangères, accueil des capitaux étrangers) * évolution du régime vers une privatisation et plus de souplesse