La Nature Nous Dicte T Elle Notre Morale

dépit d'une autre sachant que celle-ci ne sera pas sanctionnée au contraire d'un autre ? La désobéissance c'est l'indiscipline, l'insoumission, la résistance à un ordre. Désobéir, c'est refuser de faire quelque chose, c'est ne pas se plier aux lois morales ou juridiques que l'on nous a imposées. La loi, c'est en effet d'abord la loi juridique, celle qui est produite par un pouvoir législatif et exécutée par un pouvoir exécutif, légitimes ou pas, et auxquelles les membres d'un Etat doivent se soumettre

source. C'est une forme de positivisme juridique. Pour les théoriciens du droit positif, les règles de droit ne sont pas issues de la nature ou de Dieu, mais des hommes eux-mêmes, ou de leurs activités. Le droit positif est un droit vivant. Il regroupe deux grands courants de pensée. Le positivisme légaliste est l’idée selon laquelle le droit positif est dicté par les autorités politiques, et se suffit à lui-même. Pour lui, le droit et la justice, sont identifiés à la loi. Selon le positivisme

lui-même dominé par le ou les dieux suivant sa religion. Plus récemment, les riches dominent les pauvres et sont tout deux dominés par un « chef » qui est au pouvoir. De plus , on peut dire que la religion domine depuis toujours les hommes et leur dicte la conduite qu’ils doivent avoir dans leur vie quotidienne. Alors que nous prônant notre liberté et que regardons d’un mauvais œil ceux que nous catégorisons de « moutons », nous pouvons nous demander si nous humains, donc êtres ayant la faculté de

sentiment inné : la pitié. Telle est l'origine pour Rousseau de notre conscience morale, et même de notre sociabilité naturelle. Dans ce texte extrait du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, il explique dans un premier temps que la pitié, par sa répugnance innée à voir souffrir autrui, obéit à l'instinct de conservation. Puis il en tire les conséquences sur l'origine de la morale en répondant à cette question essentielle : qu'est-ce qui nous fait choisir le bien

permettant d’écrire la loi. C’est la divinité qui a dicté au roi de Babylone les dispositions juridiques. Le droit hébraïque : les sources se trouvent dans la bible. La bible se divise en 3 parties : la Torah, les Neviim et les Ketouvim . La torah est la loi. Elle renferme les 5 livres de l’ancien testament (genèse, exode, lévitique, les nombres, deutéronome). Le droit a été révélé par Moise et a été gravé du doigt de dieu sur des tables de pierre. Dieu dicte le roi. Ces tables ont été brisées et Moise

1.3) LA NATURE DE L'HOMME Si l'ordre est la règle dans l'univers, il y a cependant une exception à cette règle. Rousseau écrit : "Le tableau de la nature ne m'offrait qu'harmonie et proportions, celui du genre humain ne m'offre que confusion, désordre ! Le concert règne entre les éléments, et les hommes sont dans le chaos !"[1] Notre monde n'est que désordre et confusion, les faibles et les démunis sont exploités sans limite. Les hommes recherchent le succès individuel et ils ignorent

philosophe du 18ème siècle. Dans cet extrait, qui traite la morale chez l'homme, Kant affirme que la finitude de la connaissance humaine - à savoir la connaissance ou le conscience que l'homme a de l'ignorance de Dieu et d et l'âme, et non le savoir ou l'érudition - permet aux hommes de tendre vers un idéal asymptomatique, qui est la morale. Ainsi, l'imperfection de l'être humain lui permettait de s'approcher ou de tenter d'atteindre la perfection morale. Le texte s'articule en 3 parties: les trois premières

souhaite de réaliser tout ce qui est techniquement possible? Quelque chose de souhaitable n'est pas forcément émis par un désir, une volonté ou une opinion, cela peut aussi être un choix. Lorsque l'on désir, on n'est pas maître de soi, le désir est dicté par le plaisir; la volonté concerne les objectifs à atteindre qui peuvent être impossibles; et l'opinion regroupe tout, aussi bien le possible que l'impossible, mais il dépend de nous et distingue le vrai du faux. Tandis que le choix est exprimé non

etc… (On peut dire que ça à toujours existé) 5. Si quelque chose la répugne elle aura tendance à ne pas l’accepter / Elle aura tendance à ce sentir coupable si elle fait quelque chose à l’encontre de sa conscience morale / On suppose que l’on a toujours raison ( la pensée morale est relative à chacun) 6. Les croyances viennent de notre culture et notre formation. C’est l’éducation et l’environnement dans lequel ont vie qui nous forgent et font ce que l’on est 7. Demeurer passif et suivre

souhaite de réaliser tout ce qui est techniquement possible? Quelque chose de souhaitable n'est pas forcément émis par un désir, une volonté ou une opinion, cela peut aussi être un choix. Lorsque l'on désir, on n'est pas maître de soi, le désir est dicté par le plaisir; la volonté concerne les objectfs à ateindre qui peuvent être impossibles; et l'opinion regroupe tout, aussi bien le possible que l'impossible, mais il dépend de nous et distngue le vrai du faux. Tandis que le choix est exprimé non sous