La Notation Est Elle Obligatoire Pour Les Emprunts Obligataires

personnes. Cela incite le professeur à réfléchir sur la pauvreté et à aller voir se qui se passe à côté de chez lui, dans le village de Jobra. Il a observé le modèle économique des femmes pauvres des villages alentours. Ces femmes ne pouvant pas emprunter à la banque parce que jugées non solvables, sont forcées de se recourir auprès des usuriers pour acheter quelques produits le matin, qui, à la fin de la journée viennent réclamer presque la totalité de ce qu’elles gagnent des ventes de la journée

1 2 SOMMAIRE Gouvernement d’entreprise : définition et contours Le conseil d’administration Les métiers de l’information financière Les normes comptables Les auditeurs Les banques d’affaires Les agences de notation Les analystes financiers Les investisseurs institutionnels Les autorités de régulation Conclusions Réactions Page 6 Page 9 Page 21 Page 21 Page 27 Page 28 Page 31 Page 33 Page 37 Page 39 Page 40 Pages 44 à 73 Michel Aglietta, Jean-Paul Betbéze, Jean-Hervé Lorenzi et Christian

consommation qui ne dépend pas du revenu courant. Elle dépend de deux facteurs : -les anticipations des ménages à propos de leur revenu futur ( s’ils pensent que leur revenu vont croître dans le futur, ils auront tendance à davantage consommer / ex : emprunt ) -les variations de la richesse des ménages ( le patrimoine d’un ménage ). Si le patrimoine des ménages augmentent, les ménages se sentent plus riches, ainsi ils consomment davantage même si leur revenu n’a pas augmenter. Exemple : un individu qui

normes IAS/IFRS La seconde étape décisive du processus d’harmonisation des règles comptables s’est effectuée au niveau européen. La Commission européenne a décidé durant l’année 2000 que les normes comptables internationales seront les règles obligatoires pour toutes les sociétés européennes cotées en bourse, à partir du 1er janvier 2005. À la différence de l’approche utilisée dans le passé pour les comptes sociaux (IVe directive) et consolidés (VIIe directive) qui a nécessité une transposition

normes IAS/IFRS La seconde étape décisive du processus d’harmonisation des règles comptables s’est effectuée au niveau européen. La Commission européenne a décidé durant l’année 2000 que les normes comptables internationales seront les règles obligatoires pour toutes les sociétés européennes cotées en bourse, à partir du 1er janvier 2005. À la différence de l’approche utilisée dans le passé pour les comptes sociaux (IVe directive) et consolidés (VIIe directive) qui a nécessité une transposition

normes IAS/IFRS La seconde étape décisive du processus d’harmonisation des règles comptables s’est effectuée au niveau européen. La Commission européenne a décidé durant l’année 2000 que les normes comptables internationales seront les règles obligatoires pour toutes les sociétés européennes cotées en bourse, à partir du 1er janvier 2005. À la différence de l’approche utilisée dans le passé pour les comptes sociaux (IVe directive) et consolidés (VIIe directive) qui a nécessité une transposition

centrale qui apporte des liquidités aux | |Réserve excédentaire si elle choisi d’en déposer plus. |banques dans le cadre de ses opérations de politique monétaire. | |Prêts interbancaire |Emprunts interbancaire | |Sollicitation par d’autres banques pour prêter de la liquidité |c'est-à-dire auprès d’autres banque | |Crédits à la clientèle

portefeuilles de prêts ont considérablement progressé. Les modèles d’analyse de crédit sont nombreux et commencent à être mis en application par les banques notamment grâce à une gestion informatique et automatisée plus performante (calcul de scores, notations etc). Cependant, nous verrons que le facteur humain de l’analyse de ce risque reste toujours un élément clé. Ensuite, l’environnement bancaire en très forte évolution ces deux dernières décennies influence beaucoup ce risque qui à tendance à évoluer

permettant de conserver de la flexibilité dans ses sources de financement. Identification du risque Le risque de liquidité du Groupe est induit principalement, d’une part, par l’échéance de ses dettes (i) donnant lieu au paiement d’intérêts (dette obligataire, bancaire…), et (ii) ne donnant pas lieu au paiement d’intérêts (dettes liées aux options de vente accordées aux détenteurs d’intérêts ne conférant pas le contrôle), et d’autre part, par les flux de paiement sur les instruments dérivés (voir Note 31

open market »...............................................................................40 B – Les facilités permanentes..........................................................................................40 C – Le système des réserves obligatoires........................................................................41 BALANCE DES PAIEMENTS ET TAUX DE CHANGE............................................................42 2/47 Macroéconomie Définition.............................