La Notion De Bizarrerie Chez Baudelaire

Introduction. A. L’expérience de l’écriture. a. L’écrivain et l’art. b. Le sujet. c. L’unique. B. L’expérience de l’œuvre. a. Le monde. b. L’imaginaire. c. La mort. Conclusion. Introduction La littérature ; notion fuyante, jamais donnée, elle n’est jamais. Elle est ce que Maurice Blanchot alors appelait « le livre à venir. » Ce n’est pas en sortant des œuvres mais en s’y enfonçant et en y revenant obstinément qu’il [M. Blanchot] pose la question de la littérature

MASARYKOVA UNIVERZITA V BRNĚ FILOZOFICKÁ FAKULTA Ústav románských jazyků a literatur L’Image de la femme dans l’oeuvre de Baudelaire Diplomová práce Autor práce : Vedoucí diplomové práce : Vendula Sochorcová prof. PhDr. Petr Kyloušek, CSc. Brno 2006 Tímto prohlašuji, že jsem diplomovou práci vypracovala sama a že jsem

la littérature moderne est rebelle aux genres? Que c'est une question dépassée qui ne concerne que la littérature classique? Nous essaierons de répondre à ces questions. I.1. Un genre est une convention discursive Commençons par remarquer que si la notion de genre est floue, c'est qu'elle s'applique à des réalités littéraires très différentes, dont nous sentons qu'elles ne sont pas de même échelle. Ainsi, on peut dire qu'un sonnet, qu'un roman d'apprentissage, ou que la poésie lyrique sont des genres

l’attachement personnel de Freud à la littérature, car dès ses premières élaborations théoriques, il a tenté d'appliquer sa théorie sur les ouvrages littéraires. Essentiellement, c’est la raison de la fréquence des notions psychologiques au sein de la critique psychanalytique. Des notions comme le fantasme, les désirs refoulés, l'inconscient…etc. Un des principes fondamentaux explorés par Freud se manifeste dans cette phrase: « le rêve est le gardien du sommeil »; celle-ci procure l'une des bases de

platonicienne 1. Diégèsis et mimèsis selon Platon 2. Esquisse d'une classification énonciative des genres 3. Remarque sur la classification platonicienne 2. La classification aristotélicienne des arts 1. Le statut de la mimèsis chez Aristote 2. Grille des genres chez Aristote 1. Les moyens de la représentation 2. Les objets de la représentation 3. Les modes de la représentation 3. Conclusion sur Aristote 3. Triades des genres 1. Le système de Batteux 2. La triade romantique 3. La doxa

rivalité. Indépendamment de cette fonction informative, ce titre cherche à séduire : il intrigue par son caractère paradoxal. En effet, le propre d’un chef-d’œuvre, œuvre dont les qualités sont jugées supérieures, est d’être reconnu ; il implique les notions de diffusion et de regard. Comment alors concevoir un chef-d’œuvre inconnu ? L’adjectif, équivoque, permet au moins quatre interprétations du titre, selon que l’on adopte le point de vue de l’artiste-créateur, des personnages-spectateurs ou du lecteur

». Hugo, qui « résume en lui la dernière perfection, la force de notre poésie épique, lyrique et dramatique », est aux yeux de Banville le poète total, excellant dans tous les registres poétiques. La justification de la poésie parnassienne passe chez Banville, au grand dam de Leconte de Lisle, par la reconnaissance de Hugo, « père de tous les rimeurs », même s’il s’agit ensuite de s’en affranchir. La filiation est clairement revendiquée dès le premier recueil de Banville, Les Cariatides, inspiré

L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe

question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant)

Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant)