La Nuit Dans Les Tranchées

(Lorient) LES ETAPES DE LA PREMIERE GUERRE MONDIALE. PHASES DU CONFLIT BELLIGERENTS ET CONTEXTE INTERNATIONAL PRINCIPALES OPERATIONS MILITAIRES. VIE POLITIQUE FRANCAISE GUERRE DE MOUVEMENT AOUT 1914-NOVEMBRE 1914. GUERRE DE POSITION (GUERRE DES TRANCHEES) NOVEMBRE 1914-MARS 1918. GUERRE EUROPEENNE. Triple Entente et Triple Alliance. 1er octobre 1914 : entrée en guerre de l’Empire Ottoman aux côtés de la Triple Alliance MONDIALISATION DU CONFLIT PAR APPEL AUX COLONIES. 500000 africains appelés par

Louis-Ferdinand Céline Céline, Louis-Ferdinand 1 PRÉSENTATION Céline, Louis-Ferdinand (1894-1961), écrivain français, auteur du Voyage au bout de la nuit, qui, au travers de son œuvre nihiliste et épique, s’est révélé l’un des plus grands stylistes du xxe siècle. 2 LA CARRIÈRE MÉDICALE Né à Courbevoie au sein d’une famille de petits commerçants, Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline, fréquente tout gamin les rues de Paris, ce qui le conduit à totalement maîtriser le parler populaire.

illustra Vitam impedere amori. APOLLINAIRE, Calligrammes, 1918 : « La petite auto » Introduction Le recueil Calligrammes, publié en 1918, comprend des poèmes inspirés par la guerre, oscillant entre la passion amoureuse (Apollinaire dans les tranchées, était séparée de sa bien-aimée) et l’horreur ; le lyrisme élégiaque pleure à la fois l’amour en danger et la perte d’amis et de camarades. Apollinaire a divisé son recueil en 6 parties correspondant à l’ordre chronologique de leur écriture (de

sénégalais » L’enfer des tranchées soldats : quotidien terrible => rats, boue (angoisse d’être ensevelis) └> soumis à l’ennui entre les attaques : 1 semaine sur le front avant de changer de tranchée. Très peu de permissions av. 1917 -> prise de conscience des états. En cas de désertion = fusillés. Repas sacralisés + lecture des lettres = réconfort └> qqles représentations théâtrales, manifestations sportives fêtes dans les tranchées les plus au loin. Les soldats

et nous mènent à l’intérieur du tableau comme une invitation à découvrir la barbarie et l’inhumanité du combat. _ Le panneau central est occupé par des ruines, maisons détruites et paysages dévasté par les bombardements. Au premier plan, la tranchée est représentée dans toute son horreur : amoncellement de corps déchiquetés, éviscérés, criblés de balles : c’est l’enfer. Au-dessus de cet amas de cadavre et de corps, flotte un squelette. A gauche de la scène, l’unique survivant assiste à la

"Quand au bout d'huit jours, le r’pos terminé". Les soldats ne veulent pas retourner au front "Personne ne veut plus marcher" mais finalement résigné et par devoir, ils retournent dans les tranchées "on s'en va là-haut en baissant la tête". "On dit adieu aux civelots", c’est une allusion à ceux qui échappent aux tranchées grâce à leurs relations haut-placées. "Notre place est si utile que sans nous on prend la pile " est une façon ironique de dire que les soldats vont se faire tuer au combat pour prendre

"Quand au bout d'huit jours, le r’pos terminé". Les soldats ne veulent pas retourner au front "Personne ne veut plus marcher" mais finalement résigné et par devoir, ils retournent dans les tranchées "on s'en va là-haut en baissant la tête". "On dit adieu aux civelots", c’est une allusion à ceux qui échappent aux tranchées grâce à leurs relations haut-placées. "Notre place est si utile que sans nous on prend la pile " est une façon ironique de dire que les soldats vont se faire tuer au combat pour prendre

la porte) Tu as du sang sur le visage. 1er ASSASSIN C'est celui de Banquo alors MACBETH J'aime mieux te le voir dehors qu'à lui dedans. Est-il expédié ? ler ASSASSIN La gorge tranchée, sire, Voilà ce qu'il a, par mes soins. MACBETH Tu es un capital tranche-gorge ; pourtant, C'en est un bon aussi qui a fait pareil à Fléance : Si c'est toi, tu es sans rival. ler ASSASSIN

sergent, les galons et les honneurs ne l’intéressent pas. Dans ce livre on découvre aussi le non-conformisme, la fantaisie et l’indiscipline de Cendrars ; ce dernier mène des actions isolées, en dehors des opérations officielles, comme celles-ci : la nuit de Noël 1914, Blaise Cendrars et ses hommes introduisent dans les lignes allemandes un gramophone piégé. Il se déclenche à minuit en jouant la Marseillaise, attire ainsi les soldats ennemis, puis explose au milieu d’eux. Quelque temps plus tard, à

millions d'hommes sont mobilisés ; tous ceux qui sont en âge de combattre connaissent l'horreur de la guerre. Dès la fin de 1914, les deux armées s'enterrent dans des tranchées qu'elles protègent par une artillerie de plus en plus puissante. La violence et le danger sont alors omniprésents. Les obus tombent en permanence sur les tranchées car les repérages aériens permettent de connaître les positions des uns et des autres de façon très précise. Les conditions de vie deviennent vite épouvantables. Les