La Nuit étoilée

Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, début ( « cartes géographiques » Dynamique du texte 1. « Cette superbe voûte étoilée » ( « Il faut attendre ». Le Supplément commence in medias res, par un échange entre A et B sur les variations météorologiques qu’ils constatent et auxquelles ils s’attendent. Cet échange semble fixer le cadre symbolique de l’ouvrage, en le plaçant sous le signe de l’observation naturelle, mais aussi de la mobilité, et par conséquent, de la relativité des

Pouchkine à Moscou. III. Observation-description et iconographie (la « rhétorique » de l’œuvre) Entre septembre et octobre 1888, le peintre travaille sur les effets de couleurs, ce qui est évident dans ses autres œuvres telles que Le Café de nuit, la Nuit étoilée sur le Rhône ou la Terrasse du café le soir.Le peintre a obtenu l'effet des couleurs au moyen d'une technique spéciale d'application de frottis, qu'il maîtrisait à la perfection. L'utilisation de couleurs spéciales crée un magnifique spectre

Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ; Ô sort ! fatals noeuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit... Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie

Le Horla, 1887, « La nuit », commentaire Commentaire : Introduction : Disciple de Flaubert, Guy de Maupassant (1850-1893) a côtoyé les écrivains réalistes et les naturalistes du groupe de Médan. Il est l'auteur de plusieurs romans, Boule de Suif (1880), Bel ami (1885), Une Vie (1883), de contes et de nouvelles. Son plus célèbre recueil de nouvelles, intitulé Le Horla, fut publié en 1887. Dans ces nouvelles qui nous peignent une conscience maladive, angoissée, la nuit semble être un des moments

central. Elle est à moitié dénudée, vétue d'une jupe et ornée de beaux bijoux. Comme on a pu le voir précédemment, elle exécute la danse des 7 voiles, elle danse gracieusement en souriant. Second plan: On peut voir un fond sombre représentant la nuit étoilée. En bas à droite, on apperçois une femme africaine (on a une référence à l'exotisme) qui tient dans ses mains un plateau où est posée la tête de Jean Baptiste. La femme africaine est fondue dans le décor de par sa couleur. La tete de J.B est entourée

Star Spangled Banner, Jimi Hendrix, Woodstock, 18 août 1969 1. L’hymne américain The Star-Spangled Banner (La Bannière étoilée) est un poème écrit en 1814 par Francis Scott Key et qui est aujourd’hui l’hymne national des États-Unis. Il a été adopté comme hymne national par une résolution du Congrès en date du 3 mars 1931. La chanson se compose de quatre strophes, mais généralement seule la première strophe et le premier refrain sont chantés aujourd’hui. 2. Jimi Hendrix James Marshall Hendrix

follow the Moskva Down to Gorky Park Listening to the wind of change An August summer night Soldiers passing by Listening to the wind of change Je suis le cours de la Moskova* En descendant vers le parc de Gorki Écoutant le vent du changement Une nuit d'été d'août Des soldats passent Écoutant le vent du changement The world is closing in Did you ever think That we could be so close, like brothers The future's in the air I can feel it everywhere Blowing with the wind of change Le monde se renferme

J'ai vaincu l'ombre et le doute. Qu'importe si l'on écoute 15 Avec dédain trop souvent Ma voix par les pleurs voilée, Quand sur ma lyre étoilée Tu te penches en rêvant ! Va, je verrai sans envie 20 Que le destin de ma vie N'ait pas pu se marier Aux fortunes éclatantes

divers que la peinture, la sculpture, le dessin, mais aussi la photographie, le design, la vidéo et le film puisque Les tableaux connus au MOMA - Henri de Toulouse-Lautrec, La Goulue avec deux femmes du Moulin Rouge, - Vincent van Gogh, La nuit étoilée, 1889. - Paul Cézanne, Le Bain. - Pablo Picasso, Les Demoiselles d'Avignon, 1907. - Henri Matisse, La Danse 1, 1909. - Jackson Pollock, Number 31, 1950. - Salvador Dali, La persistance de la mémoire, 1931. - Piet Mondrian, Broadway Boogie

similaire à la métaphore, on a parfois dit qu'elle n'était qu'une "métaphore négative", ce qui n'est pas totalement fondé : Elle déplie la lettre résolument et lit. Madame, sous vos pieds, dans l’ombre, un homme est là Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ; Qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile ; Qui pour vous donnera son âme, s’il le faut ; Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut. » Elle pose la lettre sur la table. | (Victor Hugo, Ruy Blas, II, 2.) Ici aucune