La nuit je mens

ou d'elle, c'est sa la vie. Une surprise. Moi dépendante de toi ? Mais sa va pas toi... Jamais je ne serai dépendante de ton odeur, de tes lèvres, de ton corps, de ton visage. Je suis pas accro non, non je te rassure, enfaite non je crois que je me mens, que quelqu'un peu très vite nous rendre dépendant, comme ca sans le vouloir, c'est bizarre cette impression de jamais vu, de dépendance, par exemple ma meilleure amie, mes amis, je peux plus m'en passé, donc on peut dire que je suis dépendante, mais

que les enfants rient 400 fois par jour, contre 20 seulement pour les adultes, soit à peine 6 petites minutes … Et pourtant, il semble que le rire soit bénéfique pour notre bien-être ! »[3] II. Introduction « Mens sana in corpore sano »  « Un esprit sain dans un corps sain » Après un bilan de compétence, il était ressorti que le domaine de l’aide à la personne répondait à mes compétences. Suite à des stages puis des remplacements

cela, il compare le comportement des deux filles avec celui de leur père : « Je suis stupéfait : ta ressemblance avec tes filles, quelle est-elle ? Elles veulent que je reçoive le fouet pour dire la vérité, et toi tu veux que je le reçoive quand je mens, et il m’arrive d’être fouetté quand je ne dis rien. Je préfèrerais être n’importe quoi d’autre qu’un fou ; et pourtant, je ne voudrais pas être toi m’n’oncle. Tu as pelé ton esprit comme on pèle une orange des deux côtés et tu n’as rien laissé au

tu as preferé PARTIR. Comment te dire tout ce k'il y a en moi, ces choses k'on vit mais k'on dit tt bas, comment décrire la force de son amour, tu es gravé en moi pour toujours, qui un jour aurai pu imaginer ke son amour aller me hanter, dans la nuit je la voie dans mes reves je n'arive pa a l'oublier revien moi temp q'uil est encor temp, la douleur que je vie est dur a combatre, mes je lache rien et je l'aten pour quelle rejoin mon coeur, et que j'en fait d'elle mon bonheur. Si j’n’en fai qu’à

monde qui les entoure sous un jour négatif. Contraindre un enfant à voir ou à entendre sa mère se faire agresser, c'est lui infliger une forme de violence psychologique. Le fait de grandir dans un tel environnement a quelque chose de terrifiant et nuit gravement au développement psychologique et social de l'enfant : le garçon peut prendre l'agresseur comme modèle de comportement, et la fille peut finir par croire que la victimisation est partie intégrante de toute relation. C'est ainsi que le cycle

| | |le soir dans leur cabane et on les entendait | | | |piailler et s’ébrouer dans la nuit. » (p.63) | | |XXII |« M de SC avait été très affecté par ce bris |« Pourtant Monsieur de SC, à peu de temps de | | |d’un

dire que la beauté est une unité rare, miraculeuse exceptionnelle des contraires. Dans la vie, des tas de choses sont antagonistes, on a souvent l’un ou l’autre mais pas les deux. Quand on est heureux, on est pas malheureux, ou tu dis la vérité ou tu mens, quand tu malheureux tu n’es pas heureux, surface/profondeur, vie/mort.    4 opposition : bonheur/malheur / profondeur/surface  Vie/mort  Vérité/mensonge.  On trouve dans la beauté une unité des contraires.  Conclusion : La beauté est une occasion

folie : aller au-delà des topoï romanesques associés au personnage féminin (du réalisme au lyrisme). Le ravissement de Lol V. Stein, Marguerite Duras, 1964. Pour aller plus loin : le topo du bal dans le roman: «  La Parure », Contes du jour et de la nuit, Maupassant. Jane Eyre, Charlotte Brontë Belle du Seigneur, Albert Cohen Leçons de synthèse : I : L'effet-personnage. II : Le personnage féminin dans le roman. Leçon possible : Le roman et le réel. Devoir de type bac :........

B : Quelle grande sœur ? A : Combien en as-tu ? B : Il y a Christelle et Merveille. A : C’est à l’une d’elle que j’ai parlé. Mais je ne me souviens plus de qui s’agissait-il ? B : C’était à quelle heure ? A : Vers sept heures du soir. B : Tu mens ! A cette heure-là, ni Christelle ni Merveille ne se trouvaient à la maison : toutes les deux étaient parties à Ndjili et ne sont rentrées que beaucoup plus tard. A : Alors c’est une autre que j’ai vue, assise devant votre maison sous la véranda

| | |J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués  |Vienne la nuit sonne l'heure | |En étreignant ton ombre |Les jours s'en vont je demeure