La nuit nous appartient

clouait sur place comme un spécimen dans une vitrine de musée, le corps transpercé d’une épingle. - Vous pouvez le dire, fit Mead. Il n’avait plus écrit une ligne depuis des années. Les revues, les livres ne se vendaient plus. Tout se passait, la nuit tombée, dans ses maisons pareilles à des caveaux, se dit-il. Des caveaux vaguement éclairés par la lumière de la télévision, où les gens reposaient comme des cadavres, la lumière grise ou multicolore atteignait leur visage sans jamais les atteindre

savoir écouter, observer les patients qui n’expriment pas de douleur, mais dont le langage non-verbal nous permettra de repérer une souffrance. Dans le cas de M.Pinault, la douleur ne pouvant pas être soulagé par des moyens médicamenteux, il nous appartient de prendre en compte ses demandes et ses recommandations. Qui mieux que lui-même pourrait nous dire ce qui le fait souffrir où non dans la réalisation de nos soins quotidiens ? Qui mieux que le patient peut évaluer sa propre douleur ? Concept

peur ? 6 En quoi ce tableau peut-il se rattacher au registre fantastique ? Faire le point • Füssli (1741-1825) connaît son premier succès avec Le Cauchemar (The Nightmare), exposé à Londres en 1782. Sa peinture qui s’intéresse au motif du rêve appartient déjà au romantisme, courant artistique européen qui s’est épanoui au XIXe siècle et qui privilégie la libération de l’imaginaire et l’expression des sentiments. • Le tableau présente une femme en souffrance, assaillie par un cauchemar. Il renvoie

Héra, la déesse du mariage et de la fidélité, justement. Un jour, alors qu’Amphitryon était parti pour la guerre, Zeus descendit sur et piégea Alcmène. Il prit les traits d’Amphitryon (se transforma), son mari, pour passer une douce nuit avec la belle. Alcmène tomba enceinte de Zeus, et dû lui avouer, ainsi qu’à Amphitryon et à Héra qu’il les avait trompés. Pour se rattraper, il ordonna qu’on appela l’enfant « Héraclès » en hommage à sa femme Héra, qui ne décolérait

et mon sort est rempli. Où sont ces deux amants ? Pour couronner ma joie, Dans leur sang, dans le mien il faut que je me noie ; L’un et l’autre en mourant je les veux regarder. Réunissons trois cœurs qui n’ont pu s’accorder. Mais quelle épaisse nuit tout à coup m’environne ? De quel côté sortir ? D’où vient que je frissonne ? Quelle horreur me saisit ? Grâce au ciel, j’entrevoi. Dieux ! quels ruisseaux de sang coulent autour de moi ! PYLADE Ah ! Seigneur. ORESTE Quoi ? Pyrrhus, je te rencontre

Voyage au bout de la nuit, 1932 Louis – Ferdinand CELINE « Ça a débuté comme ca. Moi, j’avais jamais rien dit. Rien. » La parution, en 1932, de ‘’Voyage au bout de la nuit’’, publié par un médecin de banlieue pauvre fut « le plus saisissant coup de théâtre littéraire de l'entre-deux-guerres », considérée comme un phénomène sans rapport avec aucun livre antérieur, violant délibérément les règles du jeu littéraire, en provoquant un véritable chaos dans les opinions : il fut qualifié par les

Nuit RhénaneGuillaume Apollinaire est un poète et écrivain français très connu au 20 -ème Siècle, il est le précurseur du surréalisme. De plus il est réputé pour ses calligrammes et ses acrostiches. Il a écrit plusieurs recueils de poèmes comme Alcool qui l’a d’ailleurs rendu célèbre. Pour le poème intitulé « Nuit Rhénane » Apollinaire s’inspire du Rhin, il en dédie même le nom. Nuit Rhénane ouvre le cycle de 9 poèmes dans la section « Rhénane ». Durant son voyage en Allemagne il rencontre Annie

fois que le chien s'adresse au loup, il parle avec gentillesse (V5 Le chien, bonnement). Le chien énonce les tâches qu'il accompli (V6-7 Garder le seuil ; protéger la maison, même la nuit, contre les voleurs) mais évidemment, le chien ment lorsqu'il dit cela, car gros et gras comme il est, j'imagine qu'il dort la nuit et ne garde pas le seuil de la maison comme il le dit. Il se présente que comme un chien de garde alors qu'il ne fait rien de ses journées. Quand le loup remarque le cou pelé du chien

content, et mon sort est rempli.Où sont ces deux amants? Pour couronner ma joie,Dans leur sang, dans le mien il faut que je me noie ;L’un et l’autre en mourant je les veux regarder.Réunissons trois cœurs qui n’ont pu s’accorder.Mais quelle épaisse nuit tout à coup m’environne?De quel côté sortir? D’où vient que je frissonne?Quelle horreur me saisit? Grâce au ciel, j’entrevoi.Dieux! quels ruisseaux de sang coulent autour de moi! PYLADEAh! Seigneur. ORESTEQuoi? Pyrrhus, je te rencontre encore?Trouverai-je

(1913) DE GUILLAUME APOLLINAIRE : BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE GUILLAUME APOLLINAIREALCOOLS (1913) DE GUILLAUME APOLLINAIRE : « NUIT RHÉNANE », LECTURE ANALYTIQUEALCOOLS (1913) DE GUILLAUME APOLLINAIRE : « LE PONT MIRABEAU », LECTURE ANALYTIQUELE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ (1829) DE VICTOR HUGO : GROUPEMENT DE TEXTES N° 2ALCOOLS (1913) DE GUILLAUME APOLLINAIRE : LA NUIT EN POÉSIELE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ (1827) DE VICTOR HUGO : BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE VICTOR HUGOLE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ