La Parité Au Senegal

l’explosion des fonds spéculatifs. La fin de la régulation étatique qui avait été mise en place juste après la Seconde Guerre mondiale s’est produite en trois étapes : d’abord, la déréglementation, c’est-à-dire la disparition en 1971 du système des parités stables entre les monnaies, qui se mettent à flotter au gré de l’offre et de la demande ; ensuite, la désintermédiation, possibilité pour les emprunteurs privés de se financer directement sur les marchés financiers sans avoir recours au crédit bancaire

économiquement le continent le plus pauvre du monde : le produit intérieur brut global de l'Afrique n'étant que de 1 621 milliards de dollars américains en 2008 (selon les taux de change officiels des monnaies de l'année 2008 - le double si on le calcule en parité de pouvoir d'achat), soit 2,62% du PIB mondial, estimé en 2008 à 62 250 milliards de dollars, ou bien l'équivalent de 55% du seul PIB Français pour la même année. le PIB par habitant y est en moyenne de 1 636 $ alors que la moyenne mondiale hors de

dimension sociale au cœur des restructurations. L’enjeu semble important ici, le Groupe n’en étant pas à son premier plan social (Lu, Blédina en France)... En outre, lorsque l’on s’attarde sur la composition du Conseil d’Administration de Danone, la parité homme/femme est loin d’être exemplaire : 1 seule femme, Guylaine Saucier, pour 13 hommes. Les femmes sont par ailleurs sous-représentées au niveau des cadres Dirigeants et Directeurs (25%) comme sur l’ensemble des salariés (27% seulement). Enfin notons

l’application de ce principe, d’où l’existence d’un système informel. Ce système à été crée pour ceux qui n’ont pas pu bénéficier du système éducatif classique. Il s’appuie sur les cultures et langues locales et attache une importance aux communautés (le Sénégal a été un des précurseurs de ce système, qui s’est rapidement répandu au Burkina Faso, au Mali et au Niger[3].) Un des principaux objectifs reste l’éducation de base, mais le taux de scolarisation reste encore faible aujourd’hui, le Burkina étant

En décembre 1971 on assiste à la 1ère dévaluation du dollar (38 dollars l’once avec +ou- 2.25% * En fevrier 1973 on assiste à la 2ème dévaluation du dollar avec 42 dollars l’once d’or * En 1973 les banques centrales refusent de soutenir la parité de monnaie par rapport au dollar, sur les marchés de change les taux sont fixés librement C) LES CARACTERISTIQUES DU NOUVEAU SYSTEME * On assiste à la fixation du taux de change flottant c’est à dire la fixation du coût en fonction de l’offre

de l’estimation et commentaires Les résultats sont présentés dans le tableau N°1[4]. Tableau 1 - Equations d’équilibre de court et de long terme | |BENIN |BURKINA |COTE |MALI |NIGER |SENEGAL |TOGO | | | | |D’IVOIRE | | | | | |Coefficients de court terme

données comptables selon une optique monétaire * Situation résumée des banques ; * Situation résumée de la BCEAO ; * Position nette du Gouvernement (PNG). => * Situation monétaire intégrée (SMI). APPLICATION : LECTURE DES STATISTIQUES MONETAIRES DU SENEGAL A FIN NOVEMBRE 2009 − Position nette du gouvernement résumée des banques de la banque centrale monétaire intégrée − situation − situation − situation Economie Monétaire & Internationale – Masters Africains d'Economie et de Finance - Diadem

A/Les exploitations familiales Il è à noter que 95% des exploitations agricoles au Sénégal sont des exploitations familiales. L’agriculture familiale constitue ainsi dans ce pays la forme dominante de l’organisation de la production agricole. La majeure partie de la production alimentaire d’origine nationale, est de cette façon assurée par elle, et les exploitations familiales contribuent de façon très significative à nourrir les campagnes et les villes (on estime que l’agriculture familiale a

Sénégal Le secteur de la justice et l’État de droit Une étude d’AfriMAP et de l’Open Society Initiative for West Africa Novembre 2008 UNE PUBLICATION DU RÉSEAU OPEN SOCIETY INSTITUTE Copyright © 2008, Open Society Initiative for West Africa. Tous droits réservés. Aucune partie de la présente publication ne peut être reproduite, conservée dans un système de recherche automatique, ni transmise sous quelque forme que ce soit ou par quelque moyen que ce soit sans l’autorisation préalable

d’accroissement du PIB réel en moyenne par an sur la période 1980-1995) ; Éthiopie, Afrique du Sud, Somalie, République Centreafricaine,. Cameroun, Nigeria, Namibie, Comores, Malawi, Mali, Mozambique, Mauritanie, Burundi, Guinée, Soudan (de 0,6 à 2,75%) ; Sénégal, Tanzanie, Ghana, Bénin, Zimbabwe, Congo, Guinée-Équatoriale, Seychelles, Kenya, Gambie, Burkina Faso, Ouganda, Swaziland (2,75 à 4%) ; Guinée-Bissau, Tchad, Cap-Vert, Lesotho, Maurice, Botswana (de 4 à 8 % en moyenne par an). 44 INÉGALITÉS