La Parole Primordiale Au Theatre

aux longues tirades) mais aussi ses faiblesses (n’aimait pas les scènes d’amour) • Mélange de pièce historique (cape et d’épée), drame en vers (moribonde dps le romantisme) > constitue un mythe dans l’esprit collectif français, nouvel âge d’or du théâtre. - vie de débauche > son père lui coupe les vivres - rejoint la compagnie des gardes de Carbon Castel-Jalnoux (escrimeur) - blessé au siège d’Arras, doit quitter l’armée - suit les cours de philo de Gassendi - 1649 : renie ses principes et rentre

les mots et sur les troubles de Jason pour le laisser entendre qu’ils sont vivants. La couverture rouge renvois à la cruauté la couverture représente un rideau théâtral. Le rouge est à associer au rouge du fleuve de sang et au serpent qui envois aux parole venimeuse qu’elle prononce. COMMENTAIRE : Médée est une réécriture elle appartient a la mythologie et à la tragédie, le personnage est par amour capable de tout, il est entier, exclusif et extrême. Ce mythe se développe depuis l’antiquité grec jusqu’à

déboires que l’auteur connut avec la scène), cette expérience reste inusuelle et paradoxale ! En effet le théâtre n’est conforme à sa vocation que lorsqu’il devient spectacle. Il est un art complexe qui allie à la parole d’autres langages, d’autres moyens d’expression permettant de multiples mises en scènes d’un texte unique. C’est ce que souligne E. Ionesco, dramaturge et théoricien du théâtre, lorsqu’il rappelle, dès lors qu’il s’agit d’ « incarner des personnages », de « matérialiser des angoisses

Molière était un grand dramaturge du XVII siècle, il écrivait ses pièces, les mettait en scène et les jouait. Molière a dit « Les pièces sont faites pour être jouées ». Ecrivain, metteur en scène et comédien, Molière connaissait tout du théâtre et il était bien placé pour le dire mais a-t-il vraiment raison en affirmant que les pièces sont faites pour être jouées ? C’est ce que nous allons essayer de montrer à travers deux parties contradictoires. Dans la première, nous montrerons que la

DISSERTATION Le théâtre nait à l’époque de l’antiquité grec ou les hommes étaient les uniques comédiens et portaient des masques, de ce fait le théâtre était loin de représenter le réel. Toutefois chaque pièce donnait à voir une morale ou un message souvent critique de la société. Victor Hugo dit « Le théâtre n’est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile... », ainsi le théâtre ne cherche pas la reproduction d'une réalité mais la démonstration d'idées pour accéder

n'existe plus. Au contraire, sous le règne des lois écrites, pauvres et riches ont les mêmes droits. Le faible peut répondre à l'insulte du fort, et le petit, s'il a le droit pour lui, peut l'emporter sur le grand. La liberté, elle est dans ces paroles: "Qui veut donner à l'assemblée un sage avis pour le bien de la cité ?". Qui veut parler se met en avant, qui n'a rien à dire se tait. Peut-on imaginer plus belle égalité entre les citoyens?» Euripide[iv], Les Suppliantes ; vers 404 et suivants

___ Diissertatiion Le terme théâtre vient du grec « theatron » qui désigne le lieu de la représentation, lui-même issu du verbe grec « theomai » qui veut dire regarder, contempler. D’après son étymologie, le théâtre est un lieu où l’on regarde, observe, d’où l’importance d’une mise en scène.Il convient donc de se demander si la représentation est indispensable pour apprécier et comprendre pleinement une pièce de théâtre. En d’autres termes, peut-on apprécier totalement une œuvre théâtrale par la

pacte est enfin un leurre puisque Crébillon y fait une promesse explicite: On ne fait point ici de promesse d'être exact dans la distribution de ce livre, on a tant de fois trompé le Public là-dessus qu'il serait convenable qu'il n'en crût pas sur sa parole ou l'Auteur, ou l'Editeur, on peut cependant l'assurer que si cette première partie lui plaît, il aura promptement,'et de suite, toutes les autres.» (Crébillon, Les Égarements, p. 11) Cette promesse d'écrire une suite, Crébillon ne l'a jamais tenue

Molière qui à du recommencer plusieurs fois ses pièces à la convenance du roi. Les autres auteurs incontournables sont Nicolas Boileau dont on a déjà cité l'œuvre, Jean Racine et Pierre Corneille qui sont des dramaturges (écrivent des pièces de théâtre), Jean de la Fontaine et ses célèbres fables, François de la Rochefoucauld ; écrivain et moraliste, Marie-Madeleine de la Fayette auteure de « La princesse de Clèves ». Cependant, Molière reste le représentant favori du roi en écrivant un bon nombre

deux aspects, on peut distinguer quatre parties. La première expose la situation finale des personnages (l. 1-7), c’est pourquoi le présent domine cette partie : « il est de fait que nous filons » (l. 2). L’originalité de la scène, par rapport au théâtre classique, apparaît dans la seconde partie (L. 8-43), puisqu’au lieu d’assister à l’achèvement de l’action, on assiste à un rebondissement de cette dernière au travers d’une didascalie externe : « Une risée arrive, le navire couche et blanchit la