La Parure Maupassant Realisme

Guy De Maupassant Une vie Chronologie, préface et archives par Pierre Cogny Collection "GF"; 274 Copyright: Garnier-Flammarion, 1974 Transcription en braille intégral: Association pour le Bien des Aveugles, Genève novembre 1994 Préface "Quand parut "Une vie", la critique, cette grande parleuse, qui souvent tente de démolir un chef-d'oeuvre, n'avait pas de mots assez durs pour crier que mon roman n'était pas vrai que les faits n'étaient pas possibles. Eh bien, les faits que j'ai exposés

œuvres de : Cheik Aliou Ndao, Le marabout de la sécheresse Cheikh C. Sow, Cycle de sécheresse Henri Lopes, Tribaliques Véronique Tadjo, A vol d’oiseau Roger Dorsinville, Gens de Dakar Prosper Mérimée, « Mateo Falcone », « Tamango » Guy de Maupassant, « La parure » I-c. LA POESIE Extraits d’œuvres poétiques de : La négro-renaissance : Claude Mckay, Langston Hughes, Cuntee Cullen, etc. La négritude : Léon-Gontran Damas, Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Guy Tirolien, Jacques Rabémananjara, etc

janvier 1855. En tant que sa position de précurseur des autres mouvements littéraires, Nerval décrit ses états de rêve comme « supernaturaliste » ; le mot a paru pour la première fois dans sa traduction de Faust ; Apollinaire en a fait le « sur-réalisme ». Également, Nerval a beaucoup influencé le symbolisme – il cherche ses correspondances parmi les choses du monde, explore les relations entre le rêve et la vie réelle ; s’efforce à comprendre le sens caché du monde matériel : il est hermétique

Expliquez les points de vue. Quelle évolution le genre romanesque a-t-il connue au cours des siècles ? Qu’apporte le xixe siècle au genre romanesque ? Qu’est-ce qui caractérise le roman moderne ? Qu’appelle-t-on un roman de formation ? Qu’est-ce que le réalisme ? le naturalisme ? le nouveau roman ?… [selon les textes étudiés] Citez des auteurs réalistes. Questions portant sur le personnage Connaissez-vous des personnages de roman qui transmettent une vision du monde au lecteur ? [Selon les textes étudiés]

SECONDE – FRANÇAIS 3 SÉQUENCE Sommaire 1 Le roman et la nouvelle réalistes au XIXe siècle Chapitre 1 Pour débuter votre séquence Chapitre 2 Les caractéristiques des œuvres réalistes Chapitre 3 Le réalisme de Balzac à Maupassant Chapitre 4 Du réalisme au naturalisme Chapitre 5 Pour clore votre séquence ............................................................................. ................................... 6 9 ..............................

Les Champs magnétiques, « La glace sans tain » 3 R. Desnos, Destinée arbitraire, « Chant pour la belle saison » 4 P. Reverdy, Le Chant des morts, « Outre mesure » Prolongements 9 S O M M A I R E Chapitre 4 Le récit au XIXe siècle, entre réalisme et naturalisme Séquence 13 Les sources du roman réaliste Stendhal, Le Rouge et le Noir A. R. Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane TEXTE 2 H. de Balzac, Le Père Goriot D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Rétif de la Bretonne, La Paysanne pervertie ANALYSE

succédera la nouvelle. L’influence des fabliaux du Moyen Âge est considérable dans notre littérature. On la voit s’exercer dans un certain nombre de farces de Molière, dans les fables de La Fontaine, ou encore dans les contes et nouvelles de Guy de Maupassant. Réponses aux questions Observation 1. Les grandes étapes du récit : – de la ligne 1 à la ligne 6, le récit du sauvetage de l’homme menacé de se noyer et finalement sauvé par le pêcheur, constitue la situation initiale du fabliau ; – de

renforcée) marque une transition bien visible qui suggère que le poète tire ici une leçon de la scène décrite à la manière d’un apologue (récit édifiant à visée morale). Projet de lecture : comment le poète s’appuie sur une description d’un réalisme provocateur pour développer une réflexion morale et esthétique. I. Premier mouvement (v.1 à 8) : l’évocation d’un souvenir infâme II. Deuxième mouvement (v.9 à 24) : une description réaliste et imagée III. Troisième mouvement (v.25 à 36)

toilette au hammam ; leur coquetterie quand elles se fardent, se parent de bijoux à outrance ou de vêtements colorés. La couleur, voilà un autre trait caractéristique du monde oriental très prisé des artistes exotiques. Un passage de La Vie errante de Maupassant (1890) illustre parfaitement cet amour de la couleur chez les Arabes : « Voici des burnous de cachemire ondoyants comme des flots de clarté, puis des haillons superbes de misère, à côté des gebbas de soie, longues tuniques tombant aux genoux, et

véritable dualité entre Créon et Antigone, ils partagent une fierté orgueilleuse et sans compromis qui les pousse tous deux dans leur obstination, leur solitude et leur certitude, faisant d'eux de purs héros sophocléens. C’est l’idéalisme contre le réalisme politique, les violences de Polynice contre l'enterrement d'un frère — l’un ne se comprend que par rapport à l’autre : honorer Étéocle serait banal si l'on accordait le même honneur à Polynice. C'est la lutte de l’État contre la famille, le respect