La Passion Amoureuse Andromaque

ravage de la passion (Racine passion de Néron pour Junie dans Britannicus) + permet catharsis = le spectateur se libere de ses angoisses et de ses sentiments inavouables en les vivant a travers les peronnages des tragédies pour lesquels il eprouve de la terreur (devant crime ou demusure) et de la pitié (pour victime) (ex Œdipe-Roi de Sophocle. La violence des actions d'Œdipe provoque normalement chez le spectateur répulsion et pitié) Euripide met accent sur tourments de la passion Sophocle humanisme

son réseau de relations des jansénistes, il tente, dans un premier temps, de concilier la littérature avec la carrière ecclésiastique, mais après un échec, il choisit de se consacrer entièrement à la littérature. L'important succès de la tragédie Andromaque (1667), placée sous la protection de Madame Henriette d'Angleterre assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet

des règles strictes, concernant notamment la bienséance (pas de sang, pas d’érotisme, pas de critique) et éloge obligé des gouvernements (ex : acte 5, scène 5 : « Par ses illustres soins conserver tout le monde » allusion flatteuse à Richelieu, passionné de théâtre, qui veut dire « gérer le monde entier ». Et « Même notre grand Roi, ce foudre de la guerre… » éloge à Louis XIII, concernant la guerre de 30 ans dans laquelle la France vient d’intervenir en 1635.) Le théâtre réhabilité mais institutionnalisé

ecclésiastique, il choisit de se consacrerentièrement à la littérature. -En 1664, il est introduit à la cour, grâce à un poème à l'éloge de Louis XIV -En 1665, il fait jouer Alexandre le Grand qui est son premier succès. -L'important succès de latragédie Andromaque, assure sa réputation. -Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet(1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). -

COMMENTAIRE « ANDROMAQUE » de JEAN RACINE ACTE 1 SCENE 1 Problématique : Cette scène remplit-elle les fonctions d'une scène d'exposition ? Introduction Le XVII°siècle, siècle du classicisme donne toutes ses lettres de noblesse au théâtre. En effet, la comédie avec Molière, mais également la tragédie connaissent un succès florissant. La tragédie renoue avec sa parente grecque en suivant les règles instituées par Aristote comme celles des trois unités ou de la bienséance. De plus, la tragédie classique

au moment où débute la tragédie. Racine raconte l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, fiancée de Britannicus, le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son frère adoptif. Comme c’est le cas généralement chez Racine, Néron est poussé moins par la crainte d’être renversé par Britannicus que par une rivalité amoureuse. Son désir pour Junie est empreint de sadisme envers la jeune femme et envers tout ce qu’elle aime. Agrippine

est le 2ème succès de Jean Racine après Andromaque. Jean Racine est un tragédien français né en 1639 et décédé en 1699 qui a suivi une scolarité des plus exemplaires à Port-Royal. Britannicus a été mis en scène pour le première fois en 1669 par les comédiens de l'Hôtel de Bourgogne qui fait de Racine le plus tragédien français du XVIIème siècle devant Corneille. Racine s'inscrit dans le courant littéraire du classicisme qui consiste à lutter contre la passion et qui repose sur la raison, la clarté

drame romantique avec une tragédie classique Plan des 3 leçons 1ère heure : · Introduire le sujet en reprenant les caractéristiques de la tragédie classique et déjà amorcer le drame romantique · Présentation des pièces : Hernani de Victor Hugo et Andromaque de Jean Racine · 1er exercice : comparer des extraits d’Hernani et d’Andromaque (cf. consignes) · 2ème exercice : comparer des extraits d’Hernani et d’Andromaque (cf. consignes) 2e heure : · Conclusion (synthèse théorique) sur le drame romantique

Phèdre 1. Qui sont les personnages suivants : Egée, thésée, Hippolyte, minos, Pasiphaé, Phèdre, aricie, pallante, acamas, démophon PHEDRE : Personnage mythologique grecque, fille de Minos, soeur d’Ariane et femme de Thésée. Amoureuse de son beau-fils Hippolyte et repoussée par lui, elle accusa le jeune homme d’avoir voulu lui faire violence. Fille de Minos et de Pasiphaé HIPPOLYTE : Fils de Thésée et de Antiope (reine des Amazones), excellent chasseur et conducteur de char. Amoureux

voit les choses autrement. Cette souffrance s'exprime donc à travers la violence de son propos ; or, c'est cette violence qui la fait ennemie, dangereuse pour Rome. Cette même violence rend donc nécessaire son meurtre par Horace.Horace détient une passion du devoir supérieure à