La Passion Des Personnages Balzaciens

minimiser l’importance de son rôle vis-à-vis de la réalité. Sa fonction se réduirait ainsi à celle d’un simple copiste ou scribe. Mais à y voir de plus près, ce terme, me semble-t-il, revêt une importance capitale au regard de l’entreprise réaliste balzacienne, notamment son œuvre maîtresse : le Père Goriot. Être secrétaire ne s’apparente pas dans l’esprit de Balzac à une posture passive et réceptive face à un réel débordant qui s’introduirait pêle-mêle dans l’espace du roman. Pour le créateur de la Comédie

références antiques. Dans ce mouvement historique, il y a de nombreuses l'égendes et même héroines tels que:- la famille des Labdacides (Oedipe, Jocaste, Antigone) les demis-dieux: Héraclès, Prométhée, Persée.- les magiciennes: Circée, Médée.- les personnages historiques: César, Alexandre, Cléopatre et Bérénice.Durant cette période, il y a eu quelques oeuvres importantes:- «Les Métamorphoses» Ovide (43 av JC, -17 ap JC) «L'iliade» et «L'odysée» de Homère (800-740 av JC) -> génèse du genre de l'épopée

sentiments, qui se traduisent par le bonheur ou même la déception. Ces deux thèmes forment un tout, et c’est pourquoi nous avons choisi de les mélanger afin de représenter au mieux la vision des auteurs et d’interpréter leurs pensées envers les personnages qu’ils créent dans leurs romans ou qu’ils incarnent dans leurs poèmes et le monde qui les entourent. Chaque auteurs a un point de vue qui lui est propre et qui mérite réflexion ; tous se distinguent par leur écriture et leur style littéraire, mais

le matin du jour de l’An 1820, à la fin du déjeuner, dans la salle à manger. Eugénie et sa mère redoutent le terrible moment où Grandet va, selon la tradition familiale, demander à sa fille de « voir son or ». Au début de la scène, les quatre personnages principaux sont réunis – Eugénie avec son père, sa mère et Nanon – puis Eugénie restera seule, face à son père. A la fin de la scène, Eugénie est mise en pénitence dans sa chambre, au pain et à l’eau. Comme souvent dans les romans de Balzac

de la maison Vauquer désigne ainsi celui dont-ils se moquent, faisant des jeux de mots sur son nom ( l’auteur y ajoute sa propre ironie en affectant le personnage d’un compère-loriot, maladie oculaire des vieillards que semble mérité le père aveuglé par l’amour). Cependant le roman héroïse le thème de la paternité. On a affaire au récit d’une passion, dans les deux sens du terme : sens profane, car Goriot éprouve plus qu’un amour paternel, sens religieux car il est le « Christ de la paternité ». Le

malheurs et à la déchéance de la blanchisseuse, répondent les affres de son fils, menacé par le déterminisme héréditaire. L'Assommoir avait déjà montré combien il est difficile de constituer le peuple en objet littéraire. Grand absent du roman balzacien, il a été cantonné dans les bas-fonds avec les Mystères de Paris d'Eugène Sue et lesMisérables de Victor Hugo. Le monde du travail, quand il n'est pas édulcoré dans les romans ruraux, inquiète. Alors que les classes laborieuses apparaissent comme

Influences 1.4 Réception 1.5 Utilisation du langage populaire dans Les Misérables 2 Résumé 2.1 Tome I : Fantine 2.2 Tome II : Cosette 2.3 Tome III : Marius 2.4 Tome IV : L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis 2.5 Tome V : Jean Valjean 3 Personnages 4 Éditions 5 Ressources bibliographiques 6 Adaptations 6.1 Cinéma 6.2 Télévision 6.3 Dessins animés 6.4 Comédie musicale 6.5 Théâtre 6.6 Parodies 6.7 Réécritures 7 Voir aussi 8 Liens externes 9 Notes et références Le roman[modifier]

relief du récit par des procédés littéraires imagés permet de dissimuler l'idée du roman qui ne se laisse percevoir que par bribes. Certains romanciers, d'ailleurs, s'évertuent à porter leurs protagonistes au rang de personnages-idées. C'est le cas d'Honoré de Balzac qui prête à son personnage César Birotteau les traits de la Probité presque personnifiée dans Scènes de la vie Parisienne. C'est par le réalisme qu'il atteint le « surréel philosophique » en conservant les caractéristiques de gens ordinaires

restait auprès du gouvernail, immobile. » - Le récit se focalise à présent sur un personnage particulier. - L’indéfini « un » introduit progressivement la présentation du personnage. - Le point de vue ici est encore différent, le jeune homme est perçu par le regard extérieur d’un narrateur omniscient qui décèle son âge et s ‘attache à son allure général. - La coiffure et l’« album »  => image d’un personnage romantique. - A l’arrière du bateau, « près du gouvernail », Frédéric est tourné vers

joue des canons du récit épique et rend problématique la perception d’un ensemble ; au lieu d’une chronologie, une rhapsodie et un lacis d’aventures, avec décrochements, enchâssements, au lieu d’une progression, le temps suspendu ; plutôt que des personnages, des figures mythologiques qui sont d’abord des noms, beaucoup de noms. Ovide par exemple aime les détails ciselés, mais s’intègrent-ils pour autant à une fresque ? (« La difficulté tient dans la mobilité du poème. Ovide y laisse des traces qu’il