La Passion Destructrice

Philo Émotion / passion Dans cet extrait de texte de Kant, l'auteur nous explique sa vision de ce que sont l'émotion et la passion en s'appuyant sur l'exemple de la colère. Ainsi, quelle est la différence entre une émotion et une passion ? I/ L'émotion Comme signalé précédemment, Kant utilise donc l'exemple de la colère pour illustrer toute sa théorie . Sa théorie qui est la suivant : selon lui, l'émotion est un sentiment à durée très courte, auquel on ne réfléchie pas à l'avance, qui est

- Défendre la passion de l'étude « Il faut avoir des passions pour être heureux » Passion (du latin « patior ») = ardeur, souffrir, utilisé à l'origine au domaine religieux, pour exprimer la violence des sentiments (sens du mot a évolué) - Thèse : « celle qui contribue le plus à notre bonheur ». « L'amour de l'étude est... » raisonnement concessif allant à l'encontre de la morale : les passions sont un danger. - Concessif car nuancé : il faut avoir des passions pour être heureux

-énonciation -verbes volonté -enjambement -responsabilité assumée = rythme accéléré C) Nécessaire. 1) Malédiction 2) Oenone punie de son mensonge 3) Nécessité propre à la mort : - passion destructrice : « feu, horreur » -poids du destin « ciel » -culpabilité II) Faute et châtiment. A) Ph. Disculpe H. 1) vérité rétablie :-culpabilité personnelle : « c’est moi qui » -parallélisme syntaxique + opposition : « respectueux » et « incestueux

"fureur" désigne sa passion amoureuse, "connais donc Phèdre" = saches qui est Phèdre, elle passe de "J'aime !" à "je t'aime" : c'est un aveu qui lui est comme arraché : vers 694 : "cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ?" II. La représentation de la passion Son aveu est involontaire, c'est une passion qui la domine et qui est plus forte que son amour maternel. Passion vient du latin patium qui signifie souffrir, et cette souffrance est plus forte qu'elle et elle destructrice d'abord pour elle-même

s'emploie a gommer cette dernière approche en rapprochant l'héroïne des spectateurs : le langage de la passion, la mise en scène du corps et de ses souffrances permettent au public de s'identifier aux personnages tragiques. Enfin, le récit que Phèdre fait se sa rencontre avec Hippolyte est particulièrement vraisemblable, dans la mesure où il se fonde sur une analyse très précise de la psychologie et des passions amoureuses. Quels éléments inscrivent ce texte dans le classicisme? Cet extrait s'inscrit

\"théâtre et victime d'une tragédie interne.\" L'extrait étudié est le second aveu de Phèdre. L'ensemble de la pièce met en scène 3 confessions de l'héroïne. Celle-ci nous présente, avec toute la grandeur des personnages tragiques, la violence d'une passion et la fatalité qui y est liée I / Une femme passionnée a) Un aveu direct et involontaire -Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais cette transition marque surtout le début des aveux

vont donc mettre en valeur une passion dévorante, destructrice et compliquée dans ses histoires, en général, c'est une passion qui n'est pas réciproque. Les personnages vont donc être enfermés dans une grande solitude. De plus il n'y a pas de communication la plupart du temps entre les personnages secondaires (les confidents) et les personnages principaux. Le confident essaie de parler le langage de la raison mais il ne sera pas entendu ni compris par le passionné (aveuglé, celui-ci perd le raison)

L'HISTOIRE C'est un livre sur la passion ; une passion destructrice. Thérésé Raquin est une jeune femme, a moitié africaine par sa mère, qui est élévée dans un monde "endormi"par sa tante avec son cousin Camille de santé fragile. Elle est très bien traitée et sa tante arrange son mariage avec son cousin puis il démenagent à Paris pour tenir une mercerie.Mais c'est là qu'entre en scène Laurent , un ami de Camille, un homme grand et fort . Et Thérèse poussée par la passion va révéler sa vraie nature..

nous, ne nous a pas donné assez. La passion, conformément à son étymologie, se définit comme étant un phénomène passif de l’âme, c’est-à-dire qu’elle est vécue comme étant subie, et non comme un produit de notre volonté. D’ailleurs, ce terme provient du latin « pathos » qui signifie souffrance. Cela reflète bien le fait que la passion se distingue de la vraie nature du désir car elle engendre la souffrance. Prenons l’exemple du désir d’amour passionnel. Cette passion peut se définir comme un désir dominant

et l’honneur qu’elle peut s’en imaginer. Comment expliquer cette immense disproportion ? Nous pouvons apporter comme élément de réponse, le fait que l’héroïne tragique recherche la perfection de l’âme, le soucis du détail et, plus simplement, la passion de l’innocence. Citons pour exemple Thierry Maulnier qui a écrit « Lecture de Phèdre » en 1967. Dans son extrait, « Phèdre ou le crime pur », il dit : « la singularité du personnage de Phèdre et la grandeur de son supplice naissent de ce que le crime