La Paternité Dans Le Père Goriot

d'apprentissage [modifier] * Les Années d'apprentissage de Wilhelm Meister (Goethe, 1795-1796) * Le Rouge et le noir (1830), Lucien Leuwen (1834), La Chartreuse de Parme (1839-1842) (Stendhal) ; * La Maison du chat-qui-pelote (1830), Le Père Goriot (1835), Illusions perdues (1836-1843) (Honoré de Balzac) ; * Jane Eyre (Charlotte Brontë, 1847) ; * David Copperfield (Charles Dickens, 1849-1850) ; * Dominique (Eugène Fromentin, 1863) ; * L'Éducation sentimentale (Gustave Flaubert

vertu : - comme autrefois Félix ! » Quand la vie va la quitter, Henriette devient humaine, à supposer qu’elle ait eu quelque chose de l’ordre du divin. Oui, Henriette est sacralisée : elle est un ange, la vierge. Là où le père Goriot apparaît comme le « Christ de la paternité », Henriette incarne « la Vierge » et comme va l’exprimer son époux lors de sa crise « elle est vierge à ses dépends », elle n’est pas atteinte d’ailleurs de la syphilis de son mari alors que ses enfants le sont. Le personnage

(« les plus riches se firent libertins »), dont le personnage caractéristique est Lorenzo. Certains de ces héros sont des êtres d’action : Hernani - qui se met au service d’une cause noble et généreuse. Le proscrit Hernani cherche à venger son père et engage une lutte contre le roi. Ce qui convient à l’état d’âme de héros, c’est une nature solitaire, souvent automnale. René la décrit avec émotion : des bois, des vallées, des landes couvertes de bruyères, des rochers abrupts… Le héros romantique

un vaste projet de règlementation de la prostitution, dont il était un grand connaisseur. Mais il a publié et vendu « sous le manteau » des textes passionnants, que les historiens ont redécouverts ; deux autobiographies, La Vie de mon père (1779) et Monsieur Nicolas (1794-1797) c’est-à-dire l’histoire de la migration d’un fils de paysans vertueux à Auxerre puis à Paris, capitale de tous les vices et de toutes les perversions, selon la perspective

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien

la scène et l’intrigue est une épure. L’action se passe dans le vieux New York, d’avant la guerre de Sécession. L’héroïne (Catherine) est une riche héritière. Un coureur de dot (Morris) se présente et gagne rapidement le cœur de la jeune fille. Le père de la jeune naïve en la déshéritant fera fuir l’amoureux. James, dans Washington Square, s’inspire de Balzac essentiellement sur trois points : l’intrigue, la composition, et les personnages 2 . J’ai centré ma séquence sur le personnage pour divers

filles vierges. Autre monstre, cette fois inspiré de la réalité historique : un tortionnaire nazi. C'est le héros imaginé par Jonathan Littell dans son roman Les Bienveillantes. Ce que Littell met en avant dans ce personnage à la fois bourreau et bon père de famille, c'est la banalité du mal, accompli ici tout naturellement, par devoir. Tous ces personnages, des plus parfaits aux plus détestables, sont donc capables de susciter l'intérêt, qui prend lui aussi diverses formes, mais n'est-ce pas plutôt

filles vierges. Autre monstre, cette fois inspiré de la réalité historique : un tortionnaire nazi. C'est le héros imaginé par Jonathan Littell dans son roman Les Bienveillantes. Ce que Littell met en avant dans ce personnage à la fois bourreau et bon père de famille, c'est la banalité du mal, accompli ici tout naturellement, par devoir. Tous ces personnages, des plus parfaits aux plus détestables, sont donc capables de susciter l'intérêt, qui prend lui aussi diverses formes, mais n'est-ce pas plutôt

filles vierges. Autre monstre, cette fois inspiré de la réalité historique : un tortionnaire nazi. C'est le héros imaginé par Jonathan Littell dans son roman Les Bienveillantes. Ce que Littell met en avant dans ce personnage à la fois bourreau et bon père de famille, c'est la banalité du mal, accompli ici tout naturellement, par devoir. Tous ces personnages, des plus parfaits aux plus détestables, sont donc capables de susciter l'intérêt, qui prend lui aussi diverses formes, mais n'est-ce pas plutôt

fiction, comme une créature littéraire : le narrateur abandonne la première personne brièvement et se met à distance « C’est là-dedans que mon père était maître d’études à vingt-deux ans, marié, déjà père de Jacques Vingtras. » : le mot « père », répété, est tour à tour sujet du verbe « être » et attribut du sujet « mon père » ; la première occurrence de « père » est accompagnée du déterminant possessif de première personne, tandis que la seconde est accompagnée d’un complément du nom, « de Jacques