La Peste Acte 2

sèmes au hasard » v11 ) (la beauté = source de désordre), inconséquente (v 10-11), ambivalente/double : antithèses v1,2,3,5,8,11,122.· allitération « t, p, k » (=choc, pas sur le sol « marche » v13)· césure entre « mort, Beauté » v13 (2 hémistiches) : renforce alliance des 2· mise en avant du caractère diabolique de la Beauté : associée « Horreur v14, Meurtre v15 » (allégorie et CL mort et diable) (=bijoux dont elle se pare), litote : permet d’appuyer qu’il y a pire que « l’Horreur » v14, « Meurtre »

immuable. Beaucoup étaient si anciennes qu'on en avait presque oublié le sens et qu'on avait brodé sur les cérémonies incomprises des mythes étiologiques (explicatifs) et des légendes historiques qui n'avaient d'autre fondement que celui de justifier un acte rituel. C'est que la religion romaine était avant tout un tissu d'actes rituels, comme nous l'explique Jean-René Jannot. Un calendrier très chargé Le terme de religio ne désigne pas ce que nous entendons par religion, mais un climat surnaturel qui

COMMENTAIRE DOM JUAN Acte 3 scène 1 MOLIERE En quoi ce passage relève du comique et peut-on parler de dialogue argumentatif ?  Dialogue entre le valet et son maître mais où la situation est inversée : Sg cherche à savoir si DJ croit en Dieu | I/Un valet ridicule (en quoi ce passage apparaît-il comique ?) a) Parce qu'il se prend au sérieux Importance de la mise en scène : Sg se sent fort parce qu'il est habillé en médecin + liberté de parole permise par la relation maître/valet particulière

Molière s’en inspire pour créer son personnage. A/Le mythe de Dom Juan et le Don Juanisme  Le donjuanisme est l’incapacité pathologique de connaître un amour durable et la recherche insatiable de nouvelles conquêtes.(cf. La tirade de l’inconstance I,2). B/La quête de Dieu Mais l’œuvre de Molière n’est pas que cela, le donjuanisme n’occupe guère que deux actes sur cinq dans la pièce. L’inconstance de Dom Juan est relayée, dès l’acte Trois, par une quête insatiable de la Vérité et une négation farouche

Colomb 1. Quelles ont été les conditions ayant permis un tel voyage ? ➢ Des connaissances scientifiques ➢ Des progrès dans les techniques, notamment de navigation ➢ Un contexte de concurrence entre les monarques européens. 2. Colomb a-t-il conscience d’avoir touché un nouveau continent ? Quel était son premier objectif ? Christophe Colomb n’a pas conscience d’avoir touché un nouveau continent. Son premier objectif était de trouver la route menant vers les Indes, afin

la restitution d'Hélène, sans succès. Au cours de la dixième année du siège, Chryséis, fille d'un prêtre d'Apollon, est capturée et attribuée comme part d'honneur à Agamemnon, commandant en chef des Grecs. Apollon frappe alors le camp grec d'une peste, et Agamemnon est obligé de rendre sa captive. En échange, il prend d'autorité celle qui a échu comme part d'honneur à Achille : Briséis. Furieux, celui-ci se retire dans sa tente et demande à sa mère, Thétis, d'obtenir de Zeus qu'il favorise les Troyens

L’amour : il entre dans la pièce sous des traits coutumiers et factices : ceux de Cupidon (réf. Roméo) L’amour vrai surgit au cours de la rencontre décisive de Roméo et Juliette et les hyperboles poétiques s’estompent sans disparaître tout à fait. 2.La violence : Tybalt est le vecteur permanent de la violence. 3.Le regard : Le dieu de l’Amour, Cupidon, a les yeux bandés. Juliette est censée donner son avis sur Pâris rien qu’en le voyant, Roméo et Juliette s’aiment dès le 1er regard échangé.

dans cette mesure altérer un état de bien-être général permis par un ordre social pourtant insuffisamment juste ? Que la justice soit préférable toutes choses égales par ailleurs n’implique pas qu’elle laisse les autres choses en l’état où elles sont. 2. La justice est exigeante. Elle ne se contente pas de demi-mesures. Établir la justice implique l’examen scrupuleux des inégalités sociales. Certes, on peut estimer avec Platon que justice ne signifie pas égalité, qu’au contraire la justice consiste

Il décrit notamment le sens de circulation et le rôle exact des valvules veineuses, et établit que la circulation est importante (plusieurs litres par minute) alors qu'on la croyait au goutte-à-goutte. L'idée première en reviendrait à Walter Warner[2]. Marcello Malpighi identifie pour la première fois les capillaires au microscope en 1661. L'œuvre d'Ibn Al-Nafis reste ignorée jusqu'en 1924 où Al Taoui, un médecin égyptien, retrouve la traduction d'André Alpago dans la Librairie nationale de Berlin

personne, pour accepter malgré lui cette charge qu’il remplira consciencieusement, quoique sans vocation particulière, pendant cinq ans, en défendant sa ville non seulement contre les diverses ligues des guerres de religions, mais aussi contre la peste de 1585. Bref, Montaigne ne se refuse pas aux charges publiques, mais il ne les cherche plus. La retraite est avant tout une attitude de l’esprit. Sa vraie vie, c’est solitairement, en compagnie de ses livres, qu’il la vit. Il faut, dit-il, « se prêter