La Peur Arme Primitive Mais Efficace

Doxa : le comédien ne vit pas son texte, il « est » son texte ≠ Diderot pense le contraire, le comédien n'a pas besoin de ressentir lui mm les émotions que son personnage pour être bon acteur. Faire semblant, de mimer les sentiments parfois plus efficaces. On est bien meilleur quand on imite la nature que quand on est perdu dans ses sentiments. De plus, celui qui ressent toute les émotions serait inégale. Il n'y a que l'étude et la maitrise de l'illusion qui fait de nous de bon acteur. Le théâtre

............. 79 2.3. Emotion : signal de communication.................................................. 80 2.4. La gêne ................................................................................................ 81 2.5. La peur ................................................................................................ 81 2.6. Gestion des émotions .......................................................................... 82 2.7. Travail émotionnel .......

pages. Le travail de copie est aussi facilité par plusieurs élément, les lignes sont écartés, les scribes utilisent des marques lignes mécanique pour suivre la ligne à recopier => travail mécanique. On simplifie l’écriture (cursive) rapide et efficace. On abrège les mots… Qui sont ces copistes ? Ce sont des employés, mais aussi des étudiants pauvres pour gagner leur vie. Les stationnaires sont aussi responsables de la qualité finale de la copie. Il doit prêter serment de rendre un travail conforme

certains changements recrute dans la haute noblesse et dans la noblesse de robe. Elle conteste l'absolutisme monarchique sans vouloir perdre leur privilèges. La moyenne et petite noblesse, souvent rurale, elle se partage entre le service du roi aux armées et la gestion de ses terres. Elle éprouve de grandes difficultés à se maintenir car elle s'apauvrit. Cette petite noblesse est très attachée à ses privilèges et au roi. La noblesse engage à la fin de l'Ancien régime une politique double de réaction:

aggravèrent la confusion et les disputes : les religieux, qui maniaient parfaitement l’écrit et disposaient d’une arme de choix avec la menace d’anathème, n’hésitèrent pas à en rajouter sur la rapacité des laïcs et leurs violences pour leur forcer un peu la main pour les legs pieux (cf les violences châtelaines). B. Les forces de l’Église post-carolingienne 1. Prédication et liturgie plus efficaces Les Carolingiens ont fait de la transformation de la liturgie un des aspects essentiels de leur “programme”

forcément le plus efficace. Le pouvoir peut exclure l’usage de la force, car le pouvoir repose sur la force des croyances. Ce qui permet d’entretenir cette croyance c’est la mise en place d’un relai d’institution qui va s’intercaler entre les individus et le pouvoir et donner forme a leur croyance. I. Le pouvoir sans l’état : P.CLASTRES (anthropologue français) La société contre l’état 1974 (livre). Le point de départ est une critique sur les sociétés dites primitives. Ils les définissent

état de droit complet ne ferait pas plus de mal à la démocratie ? L’état de droit complet ce serait vraiment comme le font les suisses donner complètement la parole au peuple et le laisser décider des choses directes. Il vaut mieux aujourd’hui être efficace que d’être pleinement démocratique. Il y a 2 control possibles au niveau de cet état de droit : le control politique : c’est simple, chez nous en France le président de la république est garant du bon respect de la constitution par toutes les institutions

convaincantes, voire aucune explication. De nombreuses observations extraordinaires liées à des cultures spécifiques ont été décrites dans des études bien documentées ; elles ont cependant été souvent rejetées ou interprétées en termes de croyances primitives, de superstitions ou de psychopathologie individuelle ou collective. Mentionnons à cet égard les expériences et les pratiques chamaniques, les états de transe, les rituels aborigènes, les pratiques spirituelles de guérison ou le développement de

confondant souvent. Phénomènes collectifs aux formes floues et aux frontières poreuses, les révoltes millénaristes ne proposent pas plus de modèles de société qu’elles n’établissent de communautés définitives. En confrontation permanente avec les forces armées des autorités honnies, la plupart vivent des expériences de vie collective. Peut-on parler « d’utopies concrètes » ? De renversements de toutes normalités ? D’absence d’exploitation et de coercition entre les individus constituant le collectif ? L’ensemble

une cadence trop rapide, disent certains) les fameux échelons qui définissent une société organisée, ne peut triompher que si on jette dans la balance tous les moyens, y compris, bien sûr, la violence. On ne désorganise pas une société, aussi primitive soit-elle, avec un tel programme si l'on n'est pas décidé dès le début, c'est-à-dire dès la formulation même de ce programme, à briser tous les obstacles qu'on rencontrera sur sa route. Le colonisé qui décide de réaliser ce programme, de s'en faire