La Pierre Cubique à Pointe

cheminement, ce parcours d’un état à un autre, d’un frère reconnu libre et de bonnes mœurs ayant reçu la lumière, muni des matériaux destinés à la construction du temple, outils en main ,que me réserve t’il ? J’ai été reçu compagnon, mon initiation ne s’arrête pas là, je dois encore et toujours m’élever. A ce jour Deuxième grade de la franc-maçonnerie, le compagnon se situe entre l’apprenti et le maître. Le compagnon, à l’origine, était celui qui sait faire mais qui tend à la maîtrise. Il cherche le plus

L’Etoile Flamboyante A LA GLOIRE DU GADLU, Vénérable Maître et vous tous mes Frères en vos grades et qualités, je vais vous exposer ma planche qui a pour thème : l’Etoile Flamboyante. Le temple maçonnique est à l’image de l’univers et représente le cosmos avec ses constellations d’étoiles. L’Etoile flamboyante par sa présence, sa profondeur, sa luminescence, symbolise la quête permanente de la connaissance de tout compagnon qui travaille sa pierre cubique. La chanson de jaques BREL parle

Les termes Pavé et Mosaïque se définissent comme : Pavé : bloc de forme cubique ou parallélépipédique. Mosaïque : Art décoratif utilisant des fragments de pierre appelés « tesselles » (nom venant du latin tessella signifiant « carreau ») dans l’intérêt de former des motifs ou figures. L’association de ces deux termes me renvoie au principe de la maçonnerie : rendre cubique la pierre brute dans l’intérêt de donner un sens à sa vie. Cependant, la notion de cube ajoute au simple plan du pavé mosaïque

courage de persévérer est cent fois plus à plaindre qu’il n’était en rentrant. » Cette maxime bien évidemment m’interpelle sur mon engagement et itinéraire maçonnique depuis le cabinet de réflexion jusqu’aux trois coups frappés sur la pierre brut en passant par la découverte de mon reflet dans le miroir jusqu’à la contemplation de l’étoile flamboyante. Ce cheminement que fait tout maçon a pour but la réalisation de soi par la maitrise de son égo. A chaque voyage mystérieux il pourra s’interroger

A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS Vénérable Maitre et vous tous mes Frères en vos grades et qualités. C’est la deuxième fois que je suis invité à pouvoir m’exprimer librement auprès de vous. La première fois était pour moi l’occasion de vous faire part de mes impressions concernant mon initiation. Aujourd’hui, dix-huit mois après vous avoir livré mes impressions, me voici à nouveau face à vous ; brisant le silence cher à mon statut d’Apprenti, pour vous présenter ma première Planche

A L G D G A D L U DEUS MEUMQUE JUS R E A E A ORDO AB CHAO Au Nom et sous les Auspices du S C D F LIBERTE EGALITE FRATERNITE Du Temple noir au Temple Rouge TS Atirsatha et vous tous mes FF CR+ A l’instar de l’impétrant plongé dans l’obscurité du premier Temple le jour de sa réception au 18° degré, je me trouvais à un moment de ma vie et de mon cheminement où, souvent, la lumière semblait me manquer, malgré mes différentes initiations jusqu’au degré de GEPSM. J’avoue humblement que mon initiation

qualités. Le tablier est donné à la fin du rituel d’initiation au grade d’apprenti. Le nouveau frère reçoit des mains du vénérable son tablier blanc. Il est de forme pentagonale et doit être attachée derrière la taille et porté pendant les travaux.   Issu de la maçonnerie opérative il symbolise avant tout le travail. Sur les chantiers médiévaux de la maçonnerie opérative l’apprenti portait son tablier en peau d’agneau afin de protéger son corps des débris de la pierre. Le tablier couvrait son corps

Franmaçon. L’apprenti est invité à « déposer tous les métaux qui sont les emblèmes des vices », abandonnant ainsi « tout ce qui brille d’un éclat trompeur », afin commencer son chemin initiatique pour s’élever spirituellement. Après avoir défini les différentes formes que pouvait revêtir la vertu, j’ai pris conscience qu’elle pouvait être aussi difficile à acquérir qu’à conserver. La vertu nous amène progressivement, à condition de la cultiver régulièrement, à se rapprocher de la forme parfaite

Les voyages du Compagnon Après l’immobilité silencieuse de l’apprentissage, devenu compagnon, je suis incité à prendre la route dans la grande tradition du compagnonnage de métiers. La notion de voyage est récurrente dans notre cheminement avec ses trois versants : d’où l’on vient, où l’on est, où va-t-on. Le voyage c’est d’abord un éloignement qui porte à l’abandon des repères et certitudes habituels. C’est ensuite un moyen d’apprendre et de se parfaire dans son métier d’homme, au contact

maçonnerie. Donc une planche en maçonnerie peut servir à faire quoi ? Peut-être tout simplement le coffrage