La Pitié Est Un Sentiment Naturel Rousseau

moral : certaine façon de se rapporter à soi / certaine façon de résoudre sa conduire et ses valeurs. Conscience morale est un produit de la religion chrétienne. L’homme est « pêcheur » (le pêché). Il y a une différence entre ressentir (sentiment vitale) et être conscient. La conscience ( s’apercevoir ce que l’on ressent. L’animal ne s’aperçoit pas mais il est sensibilisé. Une sensation peut exister, c’est par pour autant que l’on peut s’en apercevoir. ← Nous ne somme pas conscient

de cet état de nature, et donc de l’homme naturel (non cultivé, non social isé) s’opposent. Si on conçoit l ’état de nature comme un état de .... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (Hobbes) alors l ’ intérêt premier de la société est la ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . des personnes et des biens. Si on considère l ’état de nature comme un état où les hommes sont bons et indépendants (Rousseau), l ’ intérêt qu’auront les hommes à «   faire

première partie du Discours sur l’inégalité 1. [p.25-32] Distinction entre l’homme naturel et l’homme civil (à l’avantage de l’homme naturel). 2. [p.32-34] Définition de l’homme par rapport à l’animal (cette définition vise l’homme en général et non uniquement à l’état de nature). La spécificité de l’homme repose dans sa liberté et sa perfectibilité. 3. [p.34] Le rôle des passions (pour l’homme naturel, ses désirs ne dépassent pas ses besoins physiques, ce qui ne le pousse pas outre mesure

comprendre que les violences qui paraissent dues aux circonstances, à la vie sociale, par exemple celles lors de compétition, sont en réalité l'expression d'une agressivité naturelle qui trouve dans la compétition l'occasion de se manifester. Si les hommes se battent pour détruire, faire mal, tuer, pour accaparer des ressources naturelles, des richesses ou des honneurs, c'est non seulement pour vivre ou en tirer avantage mais aussi pour priver les autres de ce qui leur est pris. Ce qui rejoint la thèse

Fiche de lecture : « Emile ou de l’éducation » J.J Rousseau Introduction : Ecrivain et philosophe français, né à Genève en 1712 sous le règne de Louis XV, d’une famille protestante, Jean Jacques Rousseau, orphelin de mère, est abandonné par son père, rustre et violent, à l’âge de 10 ans. Elevé avec son cousin en pension à Bossey, au sud de Genève, chez le pasteur Lambercier jusqu’en 1724, il regagne ensuite Genève même où il fait son

La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles

  ●    Rousseau est un auteur qui occupe dans l’histoire de l’anthropologie humaine et dans la représentation de la politique une place singulière, car il est un pôle irremplaçable sur les questions de savoir ce qu’est la nature et ce que sont, ou devraient être, les institutions politiques.   ●    Remarque préalable importante : la nature humaine et la bonté originelle chez Rousseau : Pour rousseau, contrairement à ses prédécesseurs et à ses contemporains, il n’y a pas de méchanceté native :

de fusiller un rescapé pour satisfaire les exigences de l’État et survivre quelques jours de plus en tant qu’humain. Le personnage principal se distance de cette chasse sauvage et en laisse un s’évader, par pitié. La scène se clôt en montrant le personnage seul et découragé d’avoir eu pitié, de posséder des émotions le distançant de l’animal, mais aussi des restrictions de l’état menaçant sa survie. Cette scène montre ainsi la capacité humaine à prendre ses décisions, différentes du lot, en fonction

Introduction : Rousseau est à Turin en Italie. Il trouve une place de condition. Il est laquais et secrétaire. Cette femme (Madame de Vercellis) est âgée, malade et meurt. Son héritage est partagé sous la conduite de Monsieur Laroque, son neveu. Sa mort entraîne une certaine confusion dans la maison. Il fait un double aveu, celui du vol et celui du mensonge. Le ruban appartenait à Mademoiselle Pontal, qui est la première femme de chambre. Le mensonge calomnieux se fait à l’encontre de Marion.

souvent subjectives. 5) La raison peut-elle être dangereuse ? La raison défini l’homme AU moyen âge on ne développait pas nos pensée (aucun esprit critiques) PHILOSOPHIE COURS 3 Examen : Chapitre 2(Christianiste) Chapitre 3 (Descartes) Chapitre 5(Rousseau) Montaigne Question et Vidéo des Sectes ______________________ Siècle des lumières (18e siècle)(lumière = référence à l’esprit) -Glorieuse Révolution (Enlever du pouvoir au roi, pour abolir la monarchie, le roi doit se soumettre a certaines lois)