La Politique De Désinflation Compétitive En France

ministre et conseiller économique du Président de la CCIP Résumé : Le 19 septembre dernier, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris et la Fondation Robert Schuman ont organisé un petit-déjeuner débat sur les « Perspectives économiques 2008 en France et en Europe ». Jean-Paul Betbèze et Christian de Boissieu sont intervenus sur les origines et les conséquences de la crise financière que traverse l’économie mondiale, ainsi que sur les conditions du retour de la confiance. Jean–Paul Betbèze s’est

d'expansion (courte durée). On peu distinguait également les notions de croissance et de développement. La croissance est une notion quantitative alors que le développement est une notion structurelle et qualitative. Elle représente le sociale et la politique. Il faut distinguer aussi la croissance en valeur la croissance en volume. La croissance en valeur et la somme des valeurs ajoutées sur un an et est exprimée en euros courants, on prend donc en compte l'inflation, en déflatées on obtient alors la

échanges dans le sillage de la GB (abolition des Corn Laws en 1848) pour trois raisons essentielles (progrès dans les transports, spécialisation croissante de l’éco britannique, influence des thèses ricardiennes). Les traités commerciaux se multiplient (France et RU en 1860). Le cce mondial croit en volume de 5,5 % par an entre 1840/1870 (contre 4,6 % pour la production). Ttefois, fin du 19e on constate un retour du protectionnisme (PT) car retournement de la conjoncture, influence des industriels surtout

II – La conception et diffusion du paradigme néo-libéral au sein des concepteurs de politiques publiques. L'interêt est maintenant porté sur la naissance et la progression des positions néo-libérales au sein de différents milieux sociaux et plus particulièrement celui des concepteurs de politiques publiques qui vont ensuite les mettre en oeuvre. La question est de savoir quel a été le parcours du paradigme néo-libéral, de sa sortie de la marginalité à l'évidence de sa nécessité, soit comment

américaine. On assiste à une diminution de l’activité mondiale, du prix des matières premières et à une montée des taux d’intérêt réels. L’inflation est à deux chiffres dans les pays riches et les gouvernements sont contraints de resserrer leur politique économique et rééquilibrer les finances publiques. Au Japon et en Allemagne en particulier, le taux d’investissement baisse ainsi que les dépenses publiques. Par contre, l’épargne privée est en augmentation. Celle-ci « immigrera » vers les Etats-Unis

COURS complet sur la Monnaie et la politique monétaire : * Introduction * Monnaie : désigne l’ensemble des moyens de paiement, directement utilisable pour effectuer des règlements sur le marché des biens et services (et aussi sur le MT) * Ensemble actifs monétaires acceptés partout, par tous et en tout temps pour le règlement des dettes issues de l’échange, peut être détenu, prêté, échangé, conservé * Pas un bien de consommation car ne procure pas directement de la satisfaction

autres secteurs. - les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) : leur fonction est la production de biens et services non marchands réservés à des groupes particuliers de ménages (associations, syndicats, culte, partis politiques...). Leurs ressources principales proviennent de contributions volontaires des ménages, de subventions, des revenus de la propriété et éventuellement de la vente de services marchands. Enfin, un compte, intitulé le « Reste du monde », « l’Etranger »

dévaluations compétitives pour essayer de stimuler leurs exportations → tension entre pays et le commerce international s'effondre. Pour éviter le retour de cette instabilité commerciale et monétaire, les vainqueurs ont voulu fixer des nouvelles règles : les américains invitent une quarantaine de pays à la conférence de Bretton Woods en juillet 1944 comme Keynes (qui propose un plan qui ne sera pas retenu – représentant Britannique, White (représentant américain), Pierre Mendes France - le 1er ministre

croissance du fait d’un cercle vicieux de la pauvreté ; peu d’infrastructures B insertion défavorable dans la division internationale du travail et endettement II Des blocages socioculturels A de fortes inégalités, une élite politique corrompue, des régimes politiques autoritaires,… B des cultures qui peuvent être peu propices : poids de la religion, peu d’individualisme et de rationalité (importance de la communauté), pression démographique,… . Après avoir rappelé que le développement s’accompagne

en1933 par l’économiste Frisch c’est la partie de la science économique qui s’intéresse au quantité global agrégé au niveau d’une région, d’un pays ou d’un groupe de pays et à leurs relations. La macroéconomie qui a pour but d’éclairer la politique la politique économique cherche à estimer les relations entre les différents agrégats II- Le circuit économique 1- Les grandes fonctions économiques Il y a 3 grandes fonctions économiques : produire, répartir et dépenser. On produit des biens