La Politique De Rigueur Et Le Taux De Change

TD n° 11 bis : Les politiques économiques : Partie 1 : Quelques principes théoriques Question 1 : expliquez les thermes ou les phrases soulignés : Politique conjoncturelle : C'est une politique économique à court terme menée en vue d'orienter l'activité dans un sens jugé souhaitable (soutien de l'emploi, limitation de l'inflation, réduction du déficit extérieur...). Elle vise le rétablissement des grands équilibres sans pour autant avoir la prétention ou la possibilité de les atteindre tous

années 1920-1921 Croissance des années 20 est heurtée et fragile. Juste après la guerre, forte croissance qui est dotée par le retour à la paix qui permet : - Retour de la consommation - Développement du crédit dont le coût est faible du fait des politiques monétaires conciliantes des Etats Mais la croissance est stoppée en 1920-1921 par une « crise de reconversion » à l’économie de paix (guerre à un effet stimulant sur l’économie –sidérurgie, énergie, textile pour l’habillement des troupes- qui disparait

d’utilisateurs différents peut exiger des investissements importants, sans rentabilité assurée à court terme. Les indicateurs suivants pourront être utilisés : Le diagnostic de l’outil de production Indicateur Fonction – Taux d’utilisation de la capacité de production • Un taux proche de 100% révèle la nécessité d’investissements additionnels pour l’exportation, mais aussi une fabrication au coût de revient minimum : l’augmentation de la capacité de production peut entraîner sur le court terme une

plein pied dans la société de consommation. A. Une croissance forte et durable. -croissance très forte : 8%, de 1945 à 1965, triplement de la production de richesses dans le monde - croissance durable. - Miracle all et japonais - Plein emploi : taux moyen de chômage dans l’OCDE est de moins de 3% de la pop active dans les années 1950. - Reconversion de l’agriculture qui se modernise ; tracteur, engrais.. - croissance repose sur industrialisation : auto, électroménager. Multiplication par deux

européenne : et si l’aspect économique reprenait le dessus ? Cyriac GUILLAUMIN1 Résumé : Depuis sa première candidature à l’Union européenne, la Turquie a toujours essuyé un refus de la Commission européenne, essentiellement pour des raisons politiques. Pourtant, l’adhésion à l’Union européenne peut également avoir pour objectif l’adoption de la monnaie unique européenne si les nouveaux membres, à l’image des PECO, acceptent, conformément au Conseil de Madrid de 1995, d’adopter l’acquis communautaire

leur économie. Le manque de liberté monétaire empêche le pays d’enrayer leur chômage, de relancer l’investissement. En effet, l’incapacité de pouvoir faire fluctuer le taux de change de l’euro a fait bondir les eurosceptiques. Les objectifs et la raison d’être de la banque centrale européenne, la BCE, sont le maintient d’un taux d’inflation proche de 2% et de maintenir la régularité et la stabilité financière de la zone euro. Suite à la situation de la Grèce ces derniers temps, la banque centrale

dévaluation ! Une loi passera dans la nuit et sera immédiatement applicable ! Vous avez 24 millions de cfp le 30 novembre 2010 sur un compte à Nouméa (soit l'équivalent de 200 000 �), le 1er décembre, vous aurez toujours 24 millions cfp (mais au taux de change, cela fera 100 000 � !) Donc, les capitaux restent dans le pays, on peut transférer tranquillement les missions régaliennes au Territoire en 2014 sans que personne ne puisse vraiment partir ! Une indépendance sans fuite de capitaux, une

L’investissement chez Keynes. A Les déterminants de l’investissement L'investissement dépend du taux d'intérêt ou du coût de financement de l'investissement et de l'efficacité marginale du capital, c'est à dire le rendement escompté de l'investissement dans une unité supplémentaire de capital. L'entrepreneur investira tant que l'efficacité marginale du capital sera supérieure au taux d'intérêt. L'efficacité marginale du capital est fonction de données objectives sur l'investissement mais

paiements ..................................................................................................... 67 1.8 Finances publiques ........................................................................................................... 79 1.9 Politique monétaire .......................................................................................................... 91 1.10 Monnaie et crédit .....................................................................................................

...... 14 Un modèle à suivre pour une croissance durable ..................................................... 14 Favoriser le développement des entreprises ............................................................ 15 C. Indépendances des politiques monétaires et budgétaires : facteurs clef de résistance à la crise .............................................................................................................................. 16 Conclusion ....................................