La Politique Vise T Elle Le Bonheur

| Le texte étudié est issu de l’œuvre De la Démocratie en Amérique, écrit par Alexis de Tocqueville, historien et homme politique du 19ème siècle. Ce texte porte intérêt à la forme que le despotisme risquerait de prendre dans le futur. L'auteur a en effet cherché à poser une nouvelle fois la question du danger du despotisme : il voit dans la démocratie un régime apte à l'émergence

philosophique du siècle des Lumières. « Siècle des Lumières » désigne le 18ème siècle, éclairé par la raison, laquelle permet, selon les philosophes des Lumières, de sortir des préjugés et de l’intolérance, et de faire progresser les hommes vers le bonheur et le savoir.Les Lumières sont un mouvement littéraire et philosophique européen. Considéré comme l'un des précurseurs de la Révolution française, Voltaire demeure également un symbole de l'engagement intellectuel, de la tolérance et de la liberté

sépare le beau (artiste) de l’utile (artisan) grâce à la création des Beaux-Arts qui sont : la sculpture, la peinture, la poésie, la musique, la danse, l’architecture et le cinéma. Cette institution a pour but de différencier l’art qui vise le beau de l’art qui vise l’utile. Le beau, c’est ce qui provoque un sentiment esthétique, ce qui correspond à la perfection en son genre et qui obéit à certaines règles d’équilibre et d’harmonie. L’utile, c’est ce dont l’usage est ou peut être avantageux, qui

posséder cette voiture ou cette demeure ». C’est ici qu’apparaît le désir. Cette idée est en fait la recherche du plaisir mais cette recherche enveloppe aussi la douleur. Dans le texte de Schopenhauer, il est expliqué que la satisfaction ou le bonheur ne vient pas seul, qu’il n’y a satisfaction que parce qu’il y a désir en premier lieu. L’auteur explique que le malheur ou la souffrance existe elle aussi grâce au désir, par le manque. Tentons a présent d’expliquer le texte en détail. Dès les premières

« affreux ». Le problème est le moyen d’atteindre cette société où le bonheur serait facilité, sans ces affreux. La destruction, l’élimination de cette catégorie de personnes, sera peut être burlesque et angoissante, comme l’œuvre de Boris Vian, Et on tuera tous les affreux, ou au contraire son déroulement sera tout autre. Est-il nécessaire de tuer tous les affreux ? Dans un premier temps, nous verrons que dans un but de recherche du bonheur, tuer les affreux est une étape nécessaire, démarche qui peut

combats qui demeurent toujours d'actualité. Développement: « Les Lumières » sont des hommes et des femmes qui vivent tout au long du siècle, leurs origines sont diverses et de leur esprit naissent des idées nouvelles. Ils imaginent des régimes politiques différents, une religion moins empreinte d'obscurantisme, une plus grande implication du peuple dans les choix du gouvernement, une réelle tolérance, un sens profond de l'égalité. Que ce soit dans des traités théoriques sérieux ou masqués par l'ironie

« représentante de la Nation » permet à Olympe de Gouges de glisser du lien biologique et familial à la politique : la nation. · Elle rappelle que les femmes, par leur importance dans la société, peuvent, autant que les hommes, représenter la nation qui désigne une collectivité d’individus s’accordant à coexister sous les mêmes lois et les mêmes principes, donc elle constitue une organisation politique. · Or puisque les femmes sont « représentantes de la nation », elle « demandent d’être constituées

préoccupations et les réflexions humanistes ? Cette description utopique présente un urbanisme idéal qui, répondant au concept antique de la « cité », doit permettre une harmonie parfaite tant dans l’organisation architecturale que dans la vie politique et les relations entre citoyens. Elle met en avant trois aspirations du courant humaniste : 1. La foi dans la technique et la science (ici, la science architecturale) ⇨ L’architecture est décrite avec précision, et l’auteur emploie de

la DDFC SUJET Dans le blog du Nouvel Observateur Féministes en tous genres (aujourd’hui fermé), Olivier Blanc, biographe d’Olympe de Gouges, avait écrit en 2013 un article intitulé : « Olympe de Gouges : une féministe, une humaniste, une femme politique ». En quoi ces caractérisations correspondent-elles à votre lecture de la DDFC ? INTRODUCTION [Amorce] Olympe de Gouges est traditionnellement considérée comme une pionnière du féminisme en France ; en effet son œuvre La Déclaration

texte se découpe en quatre parties. Dans un premier temps Kant aborde son sujet, à savoir la minorité et les causes qui en sont responsables. Puis Kant illustre par trois exemples centraux, l'habitude mineur. Ensuite il établit les conséquences politiques, l'assujettissement. Enfin il aborde la difficulté pour les mineurs de devenir majeur. [1ère partie] Par mineur il ne faut pas seulement entednre le sens juridique du terme d'après lequel un être est légitimement dépendant de tuteurs. On peut