La Poésie Descriptive

littérature existe on a besoin de faire le point. POETIQUE (et non poésie). 1er sens : poésis (grec) vient de faire, agir et donc produire, créer, agir sur un matériau du langage, de l’expression pour créer. La poésie est donc ce qui se fait, se refait avec les mots (la fiction, la fable). C’est donc approximativement un synonyme de littérature, car il y a une recréation de la réalité par le moyen des mots, la technique de l’écriture. La poésie comme la prose, le théâtre comme l’épopée entrent dans les

Titre, description et durée des unités Unité 1 : Les textes descriptifs Durée : 6 heures Cette unité porte sur les textes descriptifs courants. L’élève interprète des textes descriptifs variés (p. ex., modes d’emploi, règlements, consignes, fiches descriptives, comptes rendus d’événements) pour montrer sa compréhension. L’élève rédige des textes descriptifs cohérents et bien structurés sur divers sujets en respectant les étapes du processus d’écriture et les notions relatives à la langue. Unité 2 : Les

du fenouil tout à fait étonnante, la danse évoquant plutôt le sens tactile et le fenouil renvoyant au sens gustatif ou au sens olfactif. Il y a aussi un jeu sur les 5 sens et ici une combinaison de sens qu’on appelle une synesthésie, héritée de la poésie symboliste de la fin du XIXème siècle. L’absence de ponctuation qui traverse tout le texte, ajoutée à l’imparfait, ajoutée à ce jeu sonore crée une forme de rêverie un peu indécise, de flottement accentué par un autre effet qui est l’absence de COD

L’énonciation 3. Périodes et mouvements littéraires 4. Les genres littéraires 5. Qui raconte l’histoire ? 6. Comment étudier le temps du récit ? 7. Comment étudier l’espace du récit ? 8. Comment étudier un texte littéraire lors de l’épreuve écrite ? 9. La poésie 10. Notions élémentaires de versification 11. Les figures de style 12. Le théâtre 13. Le champ lexical 14. Le registre 15. L’étude de l’ironie 16. L’implicite 17. Les formes de l’argumentation 18. Les liens logiques ou connecteurs 19. De la structure

revendique d’abord son réalisme, car elle se fonde sur des textes réels, des données attestées : le corpus s’oppose ici aux exemples ad hoc forgés pour les besoins d’une théorie ou d’une étude. Le corpus est généralement l’apanage d’une linguistique descriptive, qui l’observe pour reconstituer a posteriori des régularités. Une linguistique normative peine à l’exploiter, car le corpus « brut » n’obéit pas au jeu de règles érigées a priori, si élaboré soit-il. Du côté des outils informatiques, le corpus

fontaine comme une nymphe. Il s´agit d´une personnification de la fontaine. Quelles autres figures voyez-vous ? Une apostrophe, parce qu´il s´adresse à la fontaine comme si est une personne, et aussi la prosopopée parce qu´il s´adresse à la propre poésie. Quels autres personnages voyez-vous ? Le poète qui adore la nymphe. Que fait ce poète ? Il adore aux nymphes. À quoi tient la grâce de cette évocation ? Parce que c´est comme une sorte de bébé. Résumez le contenu de la troisième strophe :

successifs dans la civilisation, depuis son origine jusqu’à nos jours. Or, comme la poésie se superpose toujours à la société, nous allons essayer de démêler, d’après la forme 2 de celle-ci, quel a dû être le caractère de l’autre, à ces trois grands âges du monde : les temps primitifs, les temps antiques, les temps modernes. Aux temps primitifs, quand l’homme s’éveille dans un monde qui vient de naître, la poésie s’éveille avec lui. En présence des merveilles qui l’éblouissent et qui l’enivrent

fleurs de Colchiques et sur l'automne, mais aussi en toile de fond sur un amour déçu, voire toxique puisque l'être aimé se trouve personnifié en fleur de colchique. La problématique du texte porte sur le genre même du texte : il s'agit bien ici de poésie, dans le sens où c'est un texte en vers, constitué de strophes, d'alexandrins plus ou moins réguliers, et de rimes. Mais en quoi ce poème est-il novateur, tant en ce qui concerne la forme qu'en ce qui concerne les thématiques abordées? De plus, on

premiers textes qu'il publia, on peut ais ément repérer des formules très voisines de celles qu'il utilise aujourd'hui. Ainsi dans La Nouvelle Poésie russe — Esquisse première : Vélimir Khlebnikow écrit par Jakobson en 1921, à l'âge de 25 ans, nous lisons : « Cette visée de l'expression, de la masse verbale, que je qualifie de moment unique et essentiel de la poésie, touche non seulement aux combinaisons de mots, mais aussi à la forme du mot. » (Jakobson, 1973, p. 20). Tout lecteur averti ne manquera pas

rupture violente). Mais à l’intérieur même de ces deux moments, Flaubert joue sur les rythmes, alternant phases lentes et phases accélérées. Ainsi la contemplation du miroir marque un temps ralenti: «  lentement«  , «  quelque temps«  , longue phrase descriptive. A l’inverse la crise qui suit est caractérisée par la rapidité: «  rapidement«  , «  effrayante accélération«  , «  secouées«  , «  des bonds«  . Cette même opposition se retrouve dans la deuxième partie: tandis que la chanson de l’aveugle, rapportée