La Poésie Est Inutile Passée De Mode

exemple, montrer comment les procédés d’expression employés par le vieillard lui servent d’une part à réfuter l’occidentalisme, et d’autre part à affirmer un certain art de vivre. Sujet 2 : DISSERTATION La fonction de la littérature (roman, poésie, théâtre, essai…) vous paraît-elle essentiellement de distraire ou d’éduquer ? Vous analyserez cette question en prenant appui sur les textes 3 et 4 de ce corpus, mais aussi sur vos lectures personnelles. Sujet 3 : ECRITURE D’INVENTION Imaginez

tradition classique, secondaire en Europe. Voltaire a écrit 50 tragédies. Le théatre : forme poétique de l’âge classique. Importance du débat sur la théatre. Nous sommes à la fin de la restauration, très rigide, sous Charles 10. Agitation entre un passé qui essaye de ressurgir et les générations post Napoléoniennes dont Hugo fait parti, qui n’a pas vécu l’ancien régime ni l’empire. Dans le théâtre : se traduit par un affrontement entre les Classiques et les romantiques promoteurs d’un art nouveau

la terre, Sur ma route est venu s'asseoir, Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.» Ce double réveille en lui le souvenir des amertumes passées, mais lui révèle : «Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude... Ami, je suis la Solitude.» Puis, par un changement de registre frappant, le

différencie du roman, et que nous développerons le long de ce devoir. Quant à l’épopée, son origine la place plutôt du coté de la poésie, et c’est ainsi qu’Aristote l’entend quand il la définit comme un « récit versifié » (La Poétique, 1449, b). Dans l’épopée, un narrateur raconte l’action des personnages. Si bien que, l’épopée se trouve historiquement rattachée à la poésie par sa forme versifiée, et au roman par sa nature narrative. Ce dernier justement, se définit, selon Le Robert, comme une « Œuvre

anthologies poétiques poussiéreuses réservées aux initiés ou aux passionnés, ces nostalgiques incurables. Il est cependant des voix, dont nous pensons, à notre modeste niveau, faire partie, pour s’élever devant ce constat injuste et injustifié qui passe sous silence toute la modernité de l’écriture romantique, les points communs de l’époque de Musset et de la nôtre, la relative intemporalité du mal du siècle. Déjà, les poètes surréalistes battaient en brèche ce carcan réducteur qui reléguait le Romantisme

l’entoure. Et enfin, on abordera le fait que les mouvements littéraires brident l’art telle une doctrine. De nos jours, il est difficile de donner une définition de se que doit être l’art et quel rôle l’artiste doit jouer dans notre société, se référer au passé est une bonne manière de faire le point sur se qu’on voudrait que l’art nous apporte dans l’avenir. « L’art n’a rien à voir avec les doctrines ». Au 19éme siècle déjà, les Parnassiens prônaient l’impersonnalité et le rejet de l’engagement social

L’Ile des esclaves, scène 6 : du début à « [...] vous gâtez tout » , 1725 14 – Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, II, « Les adieux du vieillard tahitien » : « C’est un vieillard [...] tes inutiles lumières.» ,1772 15 – Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, extrait de la lettre LXXXI : « Alors je commençai à déployer [...] la chevelure sous le ciseau. », 1782 16 – Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte V, scène

l’histoire personnelle et l’histoire politique comme c’est le cas de Chateaubriand avec les Mémoires d’Outre-tombe. La poésie est le grand moyen d’expression de la subjectivité. Mais ils étaient meilleurs prosateurs que poètes. Malgré ça, la poésie est très présente au contraire du XVIII siècle. Au XIX elle va renaître. Tout le siècle va être grand par rapport à la poésie et à la fin on trouvera le symbolisme. Il y a un ton de lyrisme confidentiel. Les romantiques n’aimaient pas les règles

Bougainville, II, « Les adieux | | |Problématique : |du vieillard tahitien » : « C’est un vieillard [...] tes inutiles |Lectures personnelles (à compléter éventuellement) | |Une littérature qui se masque pour mieux démasquer |lumières.» ,1772 |

c'est à dire au spleen- sont consacrés 24 poèmes de la première section du recueil (pièces 65-85 de l'édition de 1861). Quatre d'entre eux (75- 78) sont intitulés Spleen; La Cloche fêlée les précède immédiatement. 52 Il est inutile d'épiloguer une fois encore sur une définition du spleen baudelairien: angoisse plus profonde que le mal romantique, détresse plus torturante et essentiellement métaphysique, nostalgie d'une âme déchue, exilée irrémédiablement, sans espoir de libération: