La Poésie Est La Seule Langue Que Personne Ne Parle Mais Que Tout Le Monde Comprend De Alfred De Musset

Présentation B. Comment définir le réalisme C. Problématiques du cours Chapitre 2 Corpus de textes : le réalisme de Balzac à Maupassant A. Lectures analytiques Texte 1 : Mérimée, Mateo Falcone Texte 2 : Balzac, Le Cousin Pons Texte 3 : Musset, Histoire d’un merle blanc Texte 4 : Flaubert, Madame Bovary Texte 5 : Flaubert, Un cœur simple B. Étude d’une nouvelle de Maupassant : Pierrot  Chapitre 1 Découvrir les caractéristiques du roman et de la nouvelle réalistes A. Les théoriciens

[…] aiguillon […] vertueux […] honneur […] noble » → volonté de ne pas pécherPériphrase : « Un instinct […] vertueux » → remplace la volonté divine 3- Une société harmonieuse (l.11 à 17)Les personnages vivent en osmose. Tout le monde est parfait, et vont être d’accord avec les décisions prises car elle sont excellentes. C’est le principe d’émulation. Polyptote : « Buvons […] buvaient […] jouons […] jouaient» → plusieurs temps pour un même verbeAnaphore : « Tous

2) et se consacre à (l. 3, 4) pour éviter les répétitions dans la comparaison des trois langues citées. b. Le choix du mot orphelin (l. 4) apparaît comme l’aboutissement des trois verbes précédents qui ont construit progressivement le champ lexical des soins et de la protection. L’enfant orphelin est justement celui qui est privé de cette assistance familiale. Le choix du mot orphelin, en personnifiant la langue anglaise, engage le développement du champ lexical de l’éducation et de l’enfant, illustré

siècle avant JC. De l’orgie dionysiaque, naissent la tragédie et la comédie grecque. Dionysos, fils de Zeus, fut tué par ses ennemis les titans puis ressuscité par son père et élevé par les nymphes et les satyres. Ce dieu du printemps parcourt le monde pour enseigner aux hommes la greffe des vignes, le vin et la joie de vivre. Les dionysiaques sont les cérémonies célébrées en son honneur. Le Dieu est suivi d’un cortège d’admiratrices, les ménades, qui crient et dansent en son honneur. On immole un

essentielles et laisser tomber les informations secondaires qui n’ont pas grande importance et dont l’omission n’empêche pas la compréhension du texte ; - A avoir un esprit de concision c’est-à-dire éviter le verbiage le travail de résumé à proprement parlé constitue avec le vocabulaire et la discussion le 1er groupe d’exercices de l’épreuve de français au baccalauréat. Pour mener à bien le travail de résumé, on distingue généralement 2 phases essentielles : la phase préparatoire et la phase de rédaction

HORS-SéRie Réviser son bac avec FRANçAIS 1 • • • • • re TouTES SÉRIES l’essentiel du cours • Des fiches synthétiques • Les points clés du programme • Les définitions clés • Les repères importants des sujets de bac 15 sujets commentés L’analyse des sujets Les problématiques Les plans détaillés Les pièges à éviter des articles du MONDE • Des articles du Monde en texte intégral • Un accompagnement pédagogique de chaque article un guide pratique • La méthodologie des épreuves • Astuces

...........................63 3.1.2 Ignorance des conventions ? ................................................................67 3.1.3 Un non-conformiste donne son avis... ...................................................70 3.2 L’étrangeté au monde ..................................................................................77 3.2.1 Un regard de vacancier .........................................................................77 3.2.2 Les rêveries d’un promeneur solitaire..............

rassemblés dans un même lieu. Toutes les classes de la société assistaient, en même temps, au même spectacle. Le théâtre grec. Platon oppose deux modes d’écriture : la mimésis, ou imitation parfaite, dans laquelle le poète donne l’illusion que ce n’est pas lui qui parle, mais ses personnages, et la diégésis, ou récit pur, dans lequel il perle en son nom. Platon abordant le théâtre d’un strict point de vue de lecteur (et non de spectateur, puisqu’il ne parle pas du jeu), définit l’écriture

teint vermeil que la fatigue rougissait, elle revenait ailes battantes, inquiète de tout ce qui, privé d’elle, perdait la chaleur et le goût de vivre. Elle n’a jamais su qu’à chaque retour l’odeur de sa pelisse en ventre-de-gris 1 , pénétrée d’un parfum châtain clair, féminin, chaste, éloigné des basses séductions axillaires 2 , m’ôtait la parole et jusqu’à l’effusion. D’un geste, d’un regard elle reprenait tout. Quelle promptitude de main ! Elle coupait des bolducs 3 roses, déchaînait des comestibles

 ni moins prompte à m'enflammer, ni moins sensible aux choses du verbe que je ne le suis actuellement, or — oui or, car il y a un or — or, donc, je ne fus point séduite par le verbe de naguère, qui n'est point si distant, je crois, du verbe de maintenant. Seule ma culture dramatique était à un seuil dramatiquement bas. Aujourd'hui, forte de quelques plis supplémentaires au coin des yeux et de deux ou trois tragédies ramassées deci­delà sur mon parcours, prise d'un légitime regret je me relance à l'abordage de cette