La Poésie Fait Rêver

DEVOIR DE FRANCAIS CORPUS SUR LA POESIE Txt 1 : Victor Hugo, Les contemplations, « Melancholia », 1856 Txt 2 : Paul Eluard, Capitale de la douleur, « La courbe de tes yeux… », 1926 Txt 3 : Francis Ponge, Le Parti pris des choses, « Le Pain », 1942 Txt 4 : Raymond Queneau, « Si tu t’imagines… », 1952 1 . Question : Quel effet le poète veut-il produire sur le lecteur, dans chacun des poèmes du corpus ? Vous pourrez, par exemple, vous interroger sur les différents registres

Rouge et le Noir de Stendhal : sorti d’un village de province, modeste fils d’un charpentier, il ne réussit pas vraiment puisqu’il meurt décapité, mais il a eu, au fil du roman, une destinée à la hauteur de ses capacités exceptionnelles ; le simple fait d’être sorti de son rang social, d’avoir satisfait à son ambition personnelle et de choisir luimême son destin est pour lui une réussite. Avant lui, Jean Valjean des Misérables de Hugo, tour à tour personnage du mal et du bien, forçat évadé, puis M

« mon paletot », « mon unique culotte », « large trou », « mes souliers blessés »  « Petit-Poucet rêveur » 2. le voyage : « je m’en allais », « mon auberge », « routes »  3. la liberté : « ma course », « au bord des routes » ; 4. la poésie avec : « Muse », « amours splendides » « des rimes », « rimant » « lyres » 5. la nature : « sous le ciel », « mes étoiles au ciel », « la Grande Ourse », « gouttes de rosée ». Rythme et Sonorités Le rythme et les sonorités dans ce poème permettent 

fillette au visage rond et aux yeux gourmands de vie et d’espiègleries. Dès la première page, les illustrations sont directement en relation avec le récit. En effet, l’auteur nous décrit Léonie et explique qu’elle aime tellement les livres qu’elle n’en fait qu’une seule bouchée. Pour illustrer ce texte, Frédéric du Bus a dessiné l’ombre d’une petite fille, prête à croquer un livre. Ceci met en évidence l’expression courante « dévorer les livres » à partir de laquelle se base Laurence Herbert pour jouer

DISSERTATION 1°ES 1 Victor Hugo est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française. Son œuvre est très diverse : romans, poésie lyrique, drames en vers et en prose, discours politiques à la Chambre des Pairs, correspondance abondante. Grand personnage du 19ème siècle, il est aussi connu pour sa citation sur l'art : "L'art pour l'art peut être beau, mais l'art pour le progrès

DISSERTATION POESIE La Poésie peut-elle aider à mieux comprendre le monde qui nous entoure ? La poésie est un genre à part, aussi unique qu’original et possédant son propre langage composé d’images, de rythme et de sons. En vers ou en prose, plus d’un homme de talent s’est essayé à cet art si difficilement descriptible qui ne souffre d’aucune barrière et où « la vie est encore plus que la vie même » selon Bielinski. Le rôle de la poésie varie, prend une dimension différente selon le poète mettant

Char Le veilleur insoumis, notre frère en fureur Toute vie Toute vie qui doit poindre achève un blessé. Voici l’arme rien, vous, moi, réversiblement ce livre et l’énigme qu’à votre tour vous deviendrez dans le caprice amer des sables. Les matinaux( Poésie-Gallimard p.84) Il ne s’agit point d’ajouter une docte étude à tant de doctes études, juste de saluer en passant ce Jupiter tonitruant que fut René Char. Visage massif, de pierre dure, corps immense, voix lourde, il occupe toute la place. Il est un

Sujet : « Trouver une langue. » En quoi cette célèbre formule de Rimbaud peut-elle résumer la quête du poète ? La poésie est souvent décrite comme un genre littéraire, un art, songeant à travailler la musicalité de la langue, notamment du rythme et des sons. Ses fonctions, telles que l’expression des sentiments ou la transmission d’un message, restent nombreuses. Le poète, lui, est un être à part. Magicien, pour le don de rendre toute chose quelle qu’elle soit d’une magnificence inégalée, maudit

un soixante-huitard, il a fait entièrement parti de cette révolte étudiante de 1968. Ce film évoque notamment l'épisode de la nuit des barricades et fait ensuite un lien avec une histoire d'amour entre un jeune homme, François, (joué par Louis Garrel, fils de Philippe Garrel) et une jeune femme, Lilie. François se présente au début du film comme un poète. On ressent cela comme s'il était toujours dans un univers à part, un univers où tout est possible et où l'avenir ne fait pas peur. Ce personnage

; « airain » ; « bouvier » ; «éloquente»; «acanthe»; «chapiteau»; «aïeux», alors qu’il est plutôt simple quez le romantique. Nous remarquerons aussi quelques assonances dans le deuxième poème : « Le temple est en ruine au haut du promontoire » ; « Fait à chaque printemps, vainement éloquente, | Au chapiteau brisé verdir une autre acanthe », qui créé une impression d’immensité. Le poème possède aussi une allitération en labiales ([p] et [b]) « Seul, parfois, un bouvier menant ses buffles boire »,