La Poésie Paysage Intérieur

D. Ce que raconte le poème Tous d’abord, le poème évoque une scène de voyage pittoresque « Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’œil fatigué de voir et le corps engourdi. ». Les personnages qui voyagent sont fatigués de voir des paysages défilés, d’être secoués par les chemins rocheux, de voir que les chevaux commencent à être essoufflés de ce fait les voyageurs s’aperçoivent qu’ils vont voyager moins vite. Les passagers rêvent  de trouver un lieu paradisiaque.Jusqu’au moment ou

9 avril 1821. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique ; il est aussi celui qui a popularisé le poème en prose. Il a définit les principes de la poésie moderne, allant du symbolisme au surréalisme. Sa vie fut une longue quête insatisfaite de la Beauté, au cours de laquelle il s’est vu constamment partagé entre l'extase et l'horreur de l’existence, entre l’attraction, la répulsion et la fascination

poème dépourvu d’emphase dans lequel ne s’exprime aucune vue philosophique de l’auteur a quelque chose d’exemplaire dans sa simplicité. L’idée que développe l’auteur est belle, mais banale, et tout autant l’image sur laquelle il se termine. Mais le paysage de la réalité la plus banale à la vision poétique est ici noté avec une précision qui donne au lecteur l’impression de voir naître l’image sous ses yeux. Annonce des axes : I. La peinture du réel II. La transformation du réel III

La première impression qui se dégage du texte est cette obsession morbide du Temps. Baudelaire semble effectivement se lire dans le paysage extérieur, sentant que sa vie lui échappe progressivement au fur et à mesure que l'hiver approche. Cependant, la poésie est là justement comme une sorte d'exorcisme et de testament. I) Une obsession du temps II) La poésie, une sorte d’exorcisme et de testament I° Une obsession du temps (chronologique et météorologique !) I) A)

L’humaniste et helléniste Jean Dinemandi dit Jean Dorat ou Dorat est en partie responsable de la formation de la Brigade, en effet c’est lui qui a initié les meilleurs élèves du collège qu’il dirigeait, les membres fondateurs de la brigade, à la poésie gréco-latine.  De la Péruse, Jodelle, Pontus de Tyard et Guillaume des Autels viennent ensuite s‘ajouter au groupe. Des Autels est remplacé plus tard par Jacques Peletier du Mans, lui-même est ensuite remplacé par Jean Dorat et La Péruse est remplacé

belle parure de la femme, surtout lorsqu’elles sont énigmatiques comme la pierre précieuse à la lumière changeante. Curieusement, au fur et à mesure que nous avançons dans le poème, la présence de l’aimée s’estompe au profit de la description d’un intérieur, puis d’un port. Si la continuité érotique est assurée par le refrain qui s’achève par « volupté », la deuxième strophe n’évoque plus la relation amoureuse que par « notre chambre » ; la troisième note seulement l’adoration du poète attentif au « moindre

mettre en scène des phénomènes qui n'appartiennent pas au monde réel, quotidien, mais qui témoignent de l'existence d'un autre monde que le monde visible. L'intimité dont parle Baudelaire → VH dans sa préface de Les Odes 1822 dit « la poésie c'est tout ce qu'il y a d'intime dans tout » → art = expression de l'intimité de l'artiste → prend sens avec les romantiques → attention au contresens avec le cliché du romantique qui s'épanche, « l'hypertrophie du « moi » » → esthétique romantique

élite. En 1635, Richelieu fonde l'Académie française, dont les quarante membres sont chargés d'introduire l'ordre dans la langue et dans la littérature par le moyen d'un dictionnaire, d'une grammaire et d'une poétique (traité de versification et de poésie). En 1647, lesRemarques sur la langue française de Vaugelas codifient le bon langage. De leur côté, Chapelain, Guez de Balzac et Voiture (dans ses Lettres) prônent la clarté fondée sur la raison. À cette époque, les Académiciens peuvent déjà se référer

Alcools de Guillaume Apollinaire Alcools est un recueil de poèmes, écrit par Guillaume Apollinaire, condensant 15 ans d’écriture poétique, il fut parut en 1913. Ce recueil peut être considéré comme le point de départ de la poésie du XXe siècle. Prenant place dans un courant d’innovation artistique, Alcools reflète la sensibilité de son écrivain habité par les souvenirs de ses amours défuntes telles que Annie Playden ou Marie Laurencin, celles-ci procurent une véritable mélancolie qui, entre tragique

aspiration vers l’infini, exprimées par tous les moyens que contiennent l’art. La peinture d’histoire moderne et une nouvelle conception du paysage marquent ces années. Les bouleversements historiques et sociaux développent nostalgie d’un passé historique national qui s’exprime dans l’inspiration du passé. Le dessin, propice à la libération spontanée du mode intérieur des artistes, prend de l’essor et s’enrichit d’inventions plastiques. A côté de tableaux de propagande officiel, l’artiste manifeste son