La Princesse De Cleves Fuite

exalter la grandeur de l’univers - célébrer le poète inspiré par la « fureur divine » Formes privilégiées : L’ode, l’hymne repris de l’Antiquité, le sonnet emprunté à la poésie italienne Thèmes essentiels : - l’exaltation du sentiment amoureux - la fuite du temps et la mélancolie - la beauté féminine, reflet de la splendeur de l’univers - l’immortalité de la poésie Procédés d’écriture : - l’utilisation d’alexandrin - la multiplication des métaphores et des allégories - la création de mots nouveaux

• L’incompréhension de Fabrice (verbes de perception, « il n’y comprenait rien du tout ») • La mort tragique de Gavroche (imparfaits, figure de l’enfant désarmé face aux soldats) • L’effacement de Frédéric (disparition du héros) • La révolte et la fuite de Bardamu (le héros dépassé par la brutalité de la guerre, la clôture de l'extrait sur la désertion) Héros et antihéros (différences) • Des scènes de spectacle, mais des rôles différents : Gavroche est le spectacle ; Fabrice, Frédéric et Bardamu sont

lettre/civilité, politesse et édification de « l’honnête homme » Ce qu’elle doit à la rhétorique générale du discours et définition des enjeux de la pratique épistolaire Rapport lettres/ littérature : 17°, la lettre est présente dans le roman La Princesse de Clèves Comprendre le principe d’écriture d’une lettre, c’est cpdre la transposition de cette écriture réelle ds la fiction romanesque, différente de toute autre, la lettre présente une spécificité, c’est un acte de communication à distance, daté

1ère ST2S – textes étudiés 13 TEXTE 11 5 10 15 20 25 30 Personne n’osait plus penser à Mlle de Chartres, par la crainte de déplaire au roi ou par la pensée de ne pas réussir auprès d’une personne qui avait espéré un prince du sang. M.de Clèves ne fut retenu par aucune de ces considérations. La mort du duc de Nevers, son père, qui arriva alors, le mit dans une entière liberté de suivre son inclination et, sitôt que le temps de la bienséance du deuil fut passé, il ne songea plus qu’aux moyens

sur 1670 → récit tragi-comique du mariage annulé de Mademoiselle et le duc du Lauzun et le recueil s'achève avec l'emprisonnement de Lauzun + le remariage de Monsieur, fuite de Louise + suicide de jsp qui pg 166 Choix intéressant car effets de structure = assourdissant, musique atténuée avec le final // structure Princesse de Clèves, tributaire d'un découpage éditorial involontaire à l'inverse de Mme de La Fayette. Année portée sur drame personnel départ de sa fille car son mari à sa résidence et

mère d’un petit garçon de 8 ans : Sérioja. Elle est loin de s’éblouir de la vie de salon. Mais lorsqu’elle rencontre Vronski, elle est ravie par quelque chose qui la dépasse. La suite du roman raconte ses efforts pour fuir l’adultère, sa chute et la fuite avec son amant. Anna avoue sa faute à son mari. Puis, elle part en Italie et à la campagne tout en étant déchirée par le remord et le sentiment de culpabilité sans pour autant se résoudre à revenir vers son mari. Elle refuse de vivre une vie de mensonge

joie de vivre ils vont exalter le corps Et l amour spirituelle est présenté par jésus christ le christ s est sacrifié par amour pour sauver l humanité La fuite du temps Ils insistent sur l idée que tout passe et rien ne résiste La nature Elle est pris comme un repaire parce que la nature est une permanence qui résiste face a la fuite de temps « les saisons reviennent » mais en même temps cette nature connaisse des changements Cette nature a leur yeux est personnifié elle est l allié de

( 1 5 10 15 20 )M Lol, frappée d’immobilité, avait regardé s’avancer, comme lui, cette grâce abandonnée, ployante, d’oiseau mort. Elle était maigre. Elle devait l’avoir toujours été. Elle avait vêtu cette maigreur, se rappelait clairement Tatiana, d’une robe noire à double fourreau de tulle également noir, très décolletée. Elle se voulait ainsi faite et vêtue, et elle l’était à son souhait, irrévocablement. L’ossature admirable de son corps et de son visage se devinait. Telle qu’elle apparaissait

Exercice de Dissertation : Héritier du genre épique, le roman s’est peu à peu constitué puis développé, fondé sur la fiction, jusqu’à l’apparition du roman moderne (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves). Traditionnellement, le roman n’a pas à être vraisemblable. Pourtant, avec la montée du romantisme, l’on peut assister à l’émergence du « moi », et à l’intégration de l’Histoire dans l’histoire. Un point commun entre romantisme et réalisme est que l’on observe une forme d’actualité

d’oxymores telle qu’ « un plaisir funeste ». Par ailleurs, dans l’absence de l’être aimé, la solitude et la claustration, Mariane est amenée à multiplier les illusions et se réfugie dans des souvenirs, pour la plupart, sublimés ou fantasmés. Cette fuite dans les illusions, entièrement volontaire, permet à la jeune femme de prolonger un passé heureux en une éternité virtuelle de bonheur, mais aussi de fermer les yeux sur sa mauvaise fortune et la dure réalité (le départ sans retour de son amant)qui