La Prisonnière

pour son non-respect de la nature. En effet, Diderot commence par une dénonciation « Tuez plutôt votre fille que de l’emprisonner ». Ceci, révèle que les couvents sont vus comme des prisons où les jeunes filles n’ont pas de libertés, ce sont des prisonnières de la religion. De plus, la qualification du couvent est sombre « gouffres où les races futures vont se perdre ». Le couvent est assimilé à un « gouffre », c'est-à-dire que dès que l’on se retrouve à l’intérieur on ne fait que régresser dans la

ponctuation, ce qui traduit peut-être l'urgence de dire et d'agir en cette période d'Occupation. A part cet élément, le texte semble très traditionnel. Le thème apparent du texte Le poème semble parler de deux hommes qui viennent libérer une « belle / Prisonnière » (vers 3 et 4) en haut d'une tour puisqu'il faut, pour l'atteindre, utiliser une « échelle » (vers 5). Ceci nous fait bien sûr aussitôt penser aux contes populaires qui se passent au Moyen Age. Les mots « Du haut de la citadelle » vers 27 le confirment

Anthologie personnelle illustréePREssionAnthologie personnelle illustrée par Flavie Giguère « Marie-Josephte ne savait pas si ses enfants étaient présents dans la foule. Elle ne le souhaitait pas, mais s’ils y étaient, elle tenait à ce qu’ils la voient debout, telle qu’ils l’avaient toujours connue. » Monique Pariseau | « La fiancée du vent » | 2003ExplicationDans cet extrait, Marie-Josephte montre sa force intérieure sans fin. J’associe cette image à cet extrait, car selon moi, elle ressent quand

« C’est bon, on a compris… »(exaspérée) Le maître : « Quand ……………… m’a réveillé, j’avais cette banane dans la main avec ce papier caché dedans. Sur le papier il est écrit : « Ouvrez vite la boîte qui est sur le bureau, il faut m’aider, je suis prisonnière du jeu ! Signée la Directrice » Les élèves : « Quel jeu ? » Le maître va voir sur son bureau et il lit le message écrit dessus.  Le maître: « Jeu-surprise, drôle pour certains mais pas pour tous. Pour ouvrir le jeu, retrouvez son nom en remettant

avec sa propre troupe, mais en vain sans beaucoup de succès. Les villes qui s’étaient ralliées à Charles VII à lors de l’expédition vers Reims se retrouvèrent menacées par les Bourguignons. Jeanne décida de voler à leur secours. Elle est faite prisonnière par le bourguignon Jean de Luxembourg en défendant Compiègne le 24 Mai 1430. Jean de Luxembourg se dépêcha de monnayer l'illustre captive avant qu'elle ne lui file entre les doigts (elle avait déjà fait une tentative

devient meilleure amie Hazel. En essayant dévoiler mystère singulier, infirmière achète chaque jour thermomètre. Ceci attire attention pharmacien croit elle veut tuer vieillard. Lorsque Loncours remarque imposture Françoise, il décide la retenir prisonnière sur île. jeune femme enfermée dans « chambre cramoisie » avec lucarne impossible à atteindre. Elle a tout temps lire romans que Hazel lui conseillés. Pendant deux heures, sous peine de mort au moindre mot ambigu, elle continue soigner fille. Mais

LA ROSE ET LE RESEDA Rapide commentaire du texte Deux vers qui reviennent sans cesse comme un refrain (« Celui qui croyait au ciel / Celui qui n'y croyait pas »), une histoire de « belle / Prisonnière » qu'il faut libérer, des mots qui sonnent comme des comptines, proverbes ou extraits de contes populaires... ce poème paraît bien léger. Pourtant il célèbre le courage des hommes qui réussirent à dépasser leurs petites convictions personnelles de religion et de politique afin d'oeuvrer ensemble pour

L’Iliade : Chant I |   Agamemnon, le chef des Achéens, retient prisonnière la fille d'un prêtre troyen d'Apollon et le dieu a envoyé la peste sur l'armée. Le devin Calchas révèle la cause du mal et Achille adjure de rendre la prisonnière. Agamemnon finit par y consentir, mais prend en dédommagement Briséis, la captive d'Achille. Furieux, celui-ci se retire sous sa tente et invoque sa mère, la déesse Thétis. Celle-ci obtient de Zeus la promesse d'une victoire troyenne. | Chant II |   Zeus envoie

seule : « J’me promène dans’maison, j’sais pas quoi faire de mon corps… la télévision est plate, la lecture m’a jamais vraiment beaucoup intéressée » (L 20 à 23). Cet ennui, là laisse désœuvré et inefficace dans sa propre demeure, elle se sent prisonnière de sa vie quotidienne puisqu’elle n’a nulle pas où aller : « M’ennuyer ailleurs? Dans un appartement miteux pour les pauvres folles comme moé qui auraient pas eu l’intelligence de se taire? Me trouver une job? j’sais rien faire d’autre que le ménage

filles à l’école) mais on a aussi le fait que si on porte un masque en présentant notre passeport on acceptera pas le problème de la burqa : est ce que c’est un masque, ou est ce que c’est une liberté «  c’est une prison ambulante, que la femme est prisonnière dans son corps et dans sa tête » , si c’est une prison pour les femmes, est ce qu’il faut l’interdire ? Ministre de l’émigration Eric Besson : «  En France, nous sommes dans un pays de liberté, et que nous avons dit les endroits, les administrations