La Préciosité Dans La Princesse De Cleves

témoigne la description de Mme Arnoux. On mesure l’évolution de ce genre depuis les portraits classiques qu’on a pu étudié comme celui de Mme de Clèves ou celui de Manon Lescaut. La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette (1678) Intro pour les 3 lectures : La Princesse de Clèves, publié en 1678 est un roman qui regroupe plusieurs influences : la préciosité que l’on découvre à travers l’idéalisation des personnages et l’analyse approfondie des sentiments avec une grande influence du cadre historique

littéraires : réalisme et naturalisme, le Nouveau roman Constitution et fonctions du portrait ****** Séquence II La Princesse de Clèves, une héroïne de son temps Problématique : En quoi le personnage de roman traduit-il la sensibilité d’une époque ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. œuvre intégrale : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (pas d’édition imposée) Lectures analytiques : 1. Extrait n°1 : 1ère partie, « Il parut alors une beauté à la cour […]

FIN DU 16éme SIECLE Don Donquichotte de Cervantès. Satire du monde de la chevalerie. On passe à une société plus individualiste. 17ème SIECLE On a un mouvement de préciosité : analyse de l'amour. 1678 Mme deLafayette publie anonymement ( les femmes n'avaient pas le droit de publier ) La princesse de Clèves, un roman moderne. Elle ne créer pas d'accumulation. Elle va analyser les sentiments et montrer ce qu'il y a de mauvais dans l'amour. 18ème SIECLE En Angleterre, en

d'Italie au cour desquelles il découvrit les Palais transalpins. À partir de 1575 (à peu près) les artistes français se défont de la tutelle italienne et les architectes français réalisent enfin les grands travaux de la Renaissance française. La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette (Madame de La Fayette) en 1678. Il s’agit d’un des premiers romans d'analyse de l'histoire littéraire française qui prend comme toile de fond la vie à la cour des Valois, dans

place dans le monde réel, nous donnent une image idéalisée de la société. Les romans précieux du 17ème siècle par exemple, narrent la vie de personnages sublimes qui incarnent les idéaux de leur époque. C’est le cas du Duc de Nemours, dans La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, qui est décrit comme « un chef d’œuvre de la nature », il semble être « au-dessus des autres » par sa beauté, son intelligence, son honneur et sa galanterie. Autant de valeurs admirées et recherchées au 17ème siècle (bien

inéluctable avec sérénité : leçon de vie face à l’absurde de la condition humaine | La princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678 | ■ Melle de Chartres vient tout juste, à seize ans, d'arriver à la cour d'Henri II, très vite remarquée par sa beauté sans égale, notamment par le Prince de Clèves et le duc de Guise. Conseillée par sa mère qu'elle admire énormément elle devient Princesse de Clèves. Malheureusement, elle n'éprouve que de l'amitié pour cet homme et tombe amoureuse du duc de

mélange des styles (comédie-ballet,tragi-comédie..) * Beaucoup de personnages et intrigues compliquées * Instabilité : mort,violence, précarité * Goût du bizarre/merveilleux : métamorphoses,illusions,travestis * Extrêmes : * Préciosité -> bonne utilisat° du FR pour se ≠ du peuple * Burlesque -> moqueries p/r aux usages de l’époque ± Satire < Rabelais 3.2Classicisme < France Objectif : corriger les mœurs -> visée didactique Artistes : Lafontaine, Racine

précieuse, on trouve aussi des romans pastoraux : L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1567-1701) est celui qui a connu à l’époque le plus grand succès. Les personnages, Astrée et Céladon, y illustrent un idéalisme éthéré : leurs amours illustrent le goût de la préciosité pour l’analyse des sentiments. 2. Les héros joyeux des romans comiques. A l’opposé des héros « parfaits » des romans précieux, on trouve les personnages réalistes des romans comiques, dont les aventures sont parfois sordides. C’est le cas dans

contraste avec la raison et l’ordonnance classique. En poésie, on trouve des enchainements d’image déroutant. Le lyrisme est libre, les images brillantes, recherchés. Malherbe, De Viau et Saint Amant marquent les recherches de l’esthétisme baroque. La préciosité et le burlesque sont des pointes extrêmes ou des déformations du baroque. On les retrouve chez Corneille. 2) Le classicisme. Marqué par la discipline, l’ordre et la régularité, Malherbe donne peu à peu à la poésie sa forme classique. L’Académie

maîtres, les valets dressent un portrait critique du discours mondain. Marivaux donne à entendre un langage codifié et vide de sens, celui d’un discours amoureux artificiel. Hérité sans doute de l’amour courtois, et de manière plus proche de la préciosité , le discours amoureux donne l’avantage à la femme qui provoque les déclarations tout en les refusant afin de prolonger le jeu de la séduction. Ici, en effet, Arlequin et Cléanthis décident d’employer le temps à « faire la belle conversation »