La Puissance et la Gloire

George Duroy. Venant d'un milieu pauvre et né de parents paysans. Après avoir finit son devoir de sous officier en Algérie il décide d'aménager à Paris pour faire fortune. N'ayant que pour interêt lui même, il se sert des femmes pour parvenir à la gloire et devenir un homme du monde. Tout au long du récit il se montre comme un homme sans pitîer, prêt a tout pour devenir riche et puissant, il ne laisse pas de place au sentiment, se moque de ce que ses proches peuvent ressentir et n'effectue des relations

naturellement droit, et enfin d'une grande puissance d'élocution, il obtint des succès comme avocat et professeur de rhétorique. Ces deux carrières conduisaient infailliblement aux honneurs. La beauté de son génie les lui promettait s'il fût resté dans le paganisme. Mais à côté de lui grandissait une religion sublime dans ses dogmes, pure dans sa morale, passant des catacombes à l'échafaud et de l'échafaud au triomphe. Il avait senti d'ailleurs le néant de la gloire humaine; les folles dissipations dans

→ On passe du malheur au bonheur. 2) La puissance de l'illusion - polyptote de voir : V1611, 1613,1614, 1663, 1671 : « Vois », V1612 : « Voyez », V1631 : « vu », V1638 : « voir » - lexique de la vue : Même chose + V1679 : « N'en croyez que vos yeux » étymologie théâtre :lieu où l'on regarde. Le texte insiste sur l'importance du regard. Au théâtre, on croit ce que l'on voit. La méprise de Pridamant incite le spectateur à réfléchir sur la puissance de l'illusion théâtrale : passer par l'illusion

(1524-1586). Poète de cour, il connaît la gloire de son vivant. Il pratique quatre grandes formes : l’ode, le sonnet, l’hymne, le discours. Ses premières œuvres sont marquées par l’imitation des poètes antiques et italiens, mais son imagination et sa sensibilité prennent le dessus pour les imprégner d’un lyrisme personnel. Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie

 ALLELUIA BENI SOIT DIEU Alléluia, alléluia, alléluia !... Alléluia, alléluia, alléluia !... Béni soit Dieu Il règne dans les cieux Il règne sur la terre Béni soit Dieu Rendons grâce à Son Nom Chantons un chant de gloire Devant les nations Célébrons le Seigneur Alléluia ! Béni soit Dieu, béni soit Dieu Allélu uia ! A allé élu u ia ! Alléluia ! A a aaa aa aa aa aa amen ! Amen ! Alléluia ! Béni soit Dieu ! ALLELUIA (HENDEL) Alléluia, alléluia ! Alléluia, alléluia

17), est un personnage également capricieux qui recherche de la gloire et de la richesse page 12 : « tâter de la rondeur d monde. Le futur connétable hésita s’il s’enrôlerait dans les troupes de l’empereur ou dans celle du roi de France … » il recherche aussi la puissance avec la référence à César et Alexandre page 17. Zénon quand a lui est différent il est jeune, 20 ans (page 17) mais est à la recherche du savoir plutôt que de puissance on s’en aperçoit a la page 17 « a tout mettre au mieux j’ai devant

dénonce bel et bien l'absurdité de la guerre" le dernier possesseur est mort d'apoplexie il les habille d'un gros drap bleu à cent dix sous l'aune les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire, sans savoir même de quoi il s'agit". On peut relever l'analyse "mathématique" du compte des puissances en présence dans l'avant-dernier paragraphe. Au-delà du ton parodique, Voltaire dénonce avec virulence la guerre absurde et destructrice, cautionnée par la religion. On pense à la description qu'il

très pessimiste, ils envisagent les relations internationales comme des relations de puissances entre des états souverains qui mettent en place des stratégies individuelles pour augmenter leur puissance. Ce courant qui existe depuis longtemps a été réaffirmé au XXe lors de la 2nde GM, ce paradis réalistes analysait bien ce qui se passer entre les USA et la Russie lors de la guerre froide. La guerre et la puissance sont des notions clefs. Les réalistes s'intéresse aux relations inter-étatique, ils

Gallo-romain, toujours dans une étude temporelle, redéfinit la lignée de Clovis en expliquant que: « De toute votre antique généalogie, vous n'avez rien voulu conserver que votre noblesse et vous avez voulu que votre descendance fît commencer toutes les gloires qui ornent une haute naissance ». Ainsi, dans un premier temps, et en parlant du passé, Clovis tire sa légitimité royale de l'hérédité qui la plupart du temps, aussi bien dans la tradition germanique païenne, que dans la tradition romaine chrétienne

négligeons le véritable. (fr. 662) On retrouve ici le thème que Montaigne développe dans le chapitre XLI du premier livre des Essais: De toutes les resveries du monde, la plus receuë et plus universelle est le soing de la reputation et de la gloire, que nous espousons jusques à quitter les richesses, le repos, la vie et la santé qui sont biens effectuels et substantiaux, pour suyvre cette vaine image et cette simple voix qui n'a ny corps ny prise. C'est un mal si général d'après Montaigne