La Reine Margot

FIGARO. Pourquoi ? FIGARO. Tout comme un autre ; pourquoi pas ? ils m’ont sifflé ; LE COMTE. Viens donc, malheureux ! tu me perds. mais si jamais je puis les rassembler… Ils se cachent. Acte I, Scène III, Ruy Blas, Victor Hugo1838 Ruy Blas, valet de la reine, confie à un ami, don Cesar, les raisons de sa mélancolie et son agitation. Ruy Blas. Sous un dais orné du globe impérial, Il est, dans Aranjuez ou dans l'Escurial, – Dans ce palais, parfois, – mon frère, il est un homme Qu'à peine on voit d'en bas

Mais on suppose qu’il est l’expression de la pensée politique de l’entourage royal de Henri V. procède de façon allégorique. Le décor : l’auteur fait rêver le roi de France. Le mène dans un verger. Charles V assit sur un trône, de chaque côté une reine. Ces 2 reines représentant la puissance spirituelle et temporelle. L’auteur va définir les sphères d’activité : * Temporelle : exclusivement au ministre du roi * Spirituelle : au ministre de l’église. (référence à Ockham qui séparait aussi

est simple et répétitive. On a une sorte de mouvement perpétuel. Elle est donné par le piccolo, d’un enjouement tout rustique ; c’est un rythme vif et alerte de « branle » (danse ancienne du Moyen-âge) à deux temps, comme aimait le danser la reine Margot à la cour de Navarre. Nous pouvons noter que le piccolo est aussi l’instrument principal des marches américaines (Stars and stripes forever et The Washington Post de SOUSA, King cotton…) Nous avons une carrure de 4 mesures, mais masqué par l’artifice

revenir vers le même partenaire ! Serions-nous esclaves de nos hormones ? Nous risquons fort de l’être, tout au moins dans la phase passionnelle de la rencontre ! Comment devient-on « accro » ? Pendant les vingt-huit ans qu’a duré son mariage, Margot a été dans l’attente. Elle avait besoin d’être regardée, écoutée, touchée, de se sentir totalement comprise et acceptée. Elle aurait voulu que son mari lui donne accès à cette relation fusionnelle que, petite fille, elle n’avait pas connue avec sa

entre et viens me donner la main. - Bonjour lapin ! - Bonjour grand cerf ! 22 Qui coupera la salade, la salade, avec son couteau ? Ce sera Pierrot Qui lavera la salade, la salade avec un peu d’eau ? Ce sera Margot. Qui mangera la salade, la salade qui la mangera ? Pierrot et Margot. Dans le beau verger de monsieur le curé Michaud est monté dans un grand pommier. La branche a cassé. Crac ! Michaud est tombé, Aïe ! Ah! relève, relève, relève, Ah ! relève, relève Michaud ! C’est déjà le soir. Dehors

Roi lui-même... ou file:///E|/Angelique/ang_t03_01.html (14 из 377) [01.11.2008 0:10:15] Anne et Serge Golon. Angélique et le Roy votre mari? Angélique haussa les épaules. — Le Roi? Il est déjà pourvu et bien gardé. Une femme légitime: la reine, une maîtresse en titre: Mlle de La Vallière, et toutes les autres. Quant à mon mari, pourquoi vous imaginezvous que je m'intéresserais à une place forte qui s'est déjà rendue? Est-il congruant — pour employer une de vos expressions — que deux époux

Hernani de Victor Hugo mise en scène Christine Berg du vendredi 27 janvier au samedi 4 février 2012 Dossier pédagogique réalisé par Rénilde Gérardin, professeur du service éducatif : r.gerardin@lacomediedereims.fr, Contacts relations publiques : Margot Linard : m.linard@lacomediedereims.fr Jérôme Pique : j.pique@lacomediedereims.fr 1 texte Victor Hugo mise en scène Christine Berg scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie plateau Marine Molard musique Gabriel

n'ai qu'un mot à vous dire. ARLEQUIN. Madame, s'il en dit deux, son congé sera le troisième. Voyons ? - 33 -DORANTE, bas à Arlequin. Viens donc, impertinent. ARLEQUIN, bas à Dorante. Ce sont des injures, et non pas des mots, cela... À Lisette. Ma reine, excusez. LISETTE. Faites, faites. DORANTE, bas. Débarrasse-moi de tout ceci, ne te livre point ; parais sérieux et rêveur, et même mécontent, entends-tu ? ARLEQUIN. Oui, mon ami, ne vous inquiétez pas, et retirez-vous. SCÈNE V. Arlequin, Lisette.

de Victor Hugo mise en scène Christine Berg du vendredi 27 janvier au samedi 4 février 2012 Dossier pédagogique réalisé par Rénilde Gérardin, p rofesseur du service éducatif : r.gerardin@lacomediedereims.fr , Contacts relations publiques : Margot Linard : m.linard@lacomediedereims.fr J érôme Pique : j.pique@lacomediedereims.fr 1 texte Victor Hugo mise en scène Christine Berg scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie plateau Marine Molard musique

n'ai qu'un mot à vous dire. ARLEQUIN. Madame, s'il en dit deux, son congé sera le troisième. Voyons ? - 33 -DORANTE, bas à Arlequin. Viens donc, impertinent. ARLEQUIN, bas à Dorante. Ce sont des injures, et non pas des mots, cela... À Lisette. Ma reine, excusez. LISETTE. Faites, faites. DORANTE, bas. Débarrasse-moi de tout ceci, ne te livre point ; parais sérieux et rêveur, et même mécontent, entends-tu ? ARLEQUIN. Oui, mon ami, ne vous inquiétez pas, et retirez-vous. SCÈNE V. Arlequin, Lisette.