La Religion Contribue T Elle à Unir Ou à Diviser Les Hommes

attendue Avant-propos La présente brochure traite de la communion évangélique. La communion, de même sens qu’unité et union, est une réalité théandrique, à réaliser du même coup avec Dieu et avec le prochain. Regardée du point de vue de Dieu, elle est « mystérieuse ». Mais elle est vivable par les êtres humains, car pour avoir été créés à l’image de Dieu (cf. Gn 1, 27), ils y sont déjà de quelque manière préparés. Pour les chrétiens, la communion devrait être encore plus facilement vivable, dès

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) (1939) Idées Introduction à la philosophie PLATON – DESCARTES – HEGEL - COMTE Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

4e réalité sociale : Pouvoir et pouvoirs 1re PÉRIODE : LES PREMIERS OCCUPANTS (VERS 1500) A. Les rouages du pouvoir Chez les Algonquiens LES ALGONQUIENS : UNE SOCIÉTÉ PATRILINÉAIRE Dans la société algonquienne, comme dans pratiquement toutes les sociétés traditionnelles, les hommes et les femmes occupent des fonctions distinctes et il existe une nette division sexuelle des tâches. Les hommes sont généralement chargés des travaux qui exigent un grand effort physique (comme la coupe du bois)

racine grecque « recte » peut désigner ce qui est droit → idée de règle. Racine romaine « jus » → idée de justice. De nos jours, tous les historiens s'accordent à dire qu'il n'y a pas de véritable définition du droit. Cornu lie le droit à la règle, il peu désigner la droite conduite dictée par les règles → mais idée de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus est ars boni et aequi ». Les grecs avaient distingué la loi positive

celui qui hait son prochain, Qui foule aux pieds le cœur et l'âme de son frère, Qui cherche à entraver, à obscurcir son mental Par la peur de l'enfer, n'a pas compris le but final. Venues de Dieu, toutes les religions sont source de félicité; Et Christ, Qui est le Chemin, la Vérité et la Vie, Donne le repos à ceux qui sont chargés d'un lourd fardeau, Et la paix à ceux que la douleur, le péché ou la lutte accable. A Sa requête, l'Esprit Universel vint Dans toutes les églises, et non pas dans une seule;

s’inquiéter de la façon dont ils gagnent leur vie. L’histoire sociale est aussi liée à l’histoire des mentalités. L’économie ne régente pas forcément avec la position sociale des personnes. L’image que les individus se font de leur statut est toujours conditionnée par tout un ensemble de représentations mentales : des croyances, des valeurs voire des mythes reconnus dans une société donnée. C’est ainsi qu’au M-A l’Eglise a façonné un modèle de société dans lequel les choses de l’esprit sont beaucoup plus

réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme

se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 1 La question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La

(Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de

l’avaient précédée, elle pose de redoutables questions à l’humanité tout entière. Le traumatisme moral est en effet bien plus important que les destructions matérielles. Eviter une nouvelle guerre, établir les bases d’une réelle coopération internationale, assurer une plus grande justice sociale, faire triompher la démocratie, telles sont les espérances de ceux qui se sont battus pour abattre le fascisme et la barbarie. Tout semble concourir à faire de l’année 1945 le point de départ d’une ère nouvelle