La Reussite Sociale De Rastignac

sorte la suite du Père Goriot, on y retrouve les mêmes personnages. Tout commence dans un restaurant parisien dans lequel un homme surprend la discussion de quatre journalistes : Finot, Blondet, Couture et Bixiou. Ceux-ci commentent la réussite étonnante de Rastignac, qui doit son succès à la maison Nucingen, la fameuse banque parisienne. Il aurait compris « que l’argent n’est une puissance que quand il est en quantités disproportionnées ». Les hommes expliquent comment Nucingen escroque ses clients

cette subjectivité chez Balzac s’exprime constamment et lui permet de communiquer la vision du monde. Le roman réaliste veut analyser et expliquer la société et il s’attachera particulièrement à quelques thèmes. L’étude des différents milieux sociaux et leur rapport. -noblesse et bourgeoisie -importance de l’argent -l’étude des relations familiales (mari-femme) -l’opposition entre Paris et la province Le roman réaliste est un genre dans lequel vont s’illustrer quelques écrivains majeures

d’apprentissage, Balzac y introduit un jeune homme de province, Eugène de Rastignac, qui, par son cheminement dans le monde, réalise que la société parisienne à l’époque où se déroule le roman, c'est-à-dire en 1819, est encrassée d’individualisme et de sournoiserie. En effet, la malhonnêteté gangrène toutes les couches de la société ce qui porte à croire que les hommes jouent un rôle soit pour se protéger ou pour assurer leur réussite sociale et professionnelle.   Développement Première idée principale:

œuvres dont principalement des romans. Il divise son œuvre romanesque en trois parties : « Études de mœurs » , « Études philosophiques » et « Études analytiques ».Avec plus de deux milles personnages, les conditions de vie des différents milieux sociaux au XIXe siècle sont évoqués. Honorine, Splendeurs et misères des courtisanes, Une ténébreuse affaire, Le Curé de campagne ou encore La Maison Nucingen en sont quelques exemples.Le Père Goriot qui paraît en 1835 en librairie, fonde les bases de la

Ce corpus de texte présente trois extraits qui mettent en scène des personnages avides de réussite ces textes traduisent ce désir à travers de nombreux procédés. Les trois extraits sont tirés du Père Goriot de Balzac pour le premier, du Bonheur des Dames de Zola pour le second et enfin de Bel-Ami de Maupassant pour le dernier. Dans chacun de ces textes, le narrateur met en scène le désir de la réussite du personnage différemment. Dans le passage extrait du Père Goriot, Balzac traduit ce désir

commentent l'étonnante réussite de Rastignac, qui a dû son succès à la Maison Nucingen, la fameuse banque parisienne. En effet Eugène de Rastignac était devenu l’amant de Delphine de Nucingen, femme du grand banquier Nucingen en 1819 dans le Père Goriot. En 1833, date à laquelle commence la Maison de Nucingen il rompt avec Delphine, mais il continue à travailler avec son mari dans des affaires frauduleuses, où il gagne beaucoup d’argent. Problématique : En quoi le personnage Rastignac permet-il à l’auteur

Goriot et ses deux filles, Anastasie et Delphine , le prêtre et Rastignac. 2. A qui ? Aux lecteurs 3. Quand ? Dans le années 1830, dans la journée 4. Où ? Dans l'Eglise St-Etienne-du-Mont, dans le Quartier latin 5. Comment ? (registre et tonalité) Roman réaliste, registre pathétique 6. Dans quel but ? (intérêt du passage) Enterrement du Père Goriot Pauvre ; il n'y a personne ; il est rapide ; le prêtre est indifférent Rastignac paie l'enterrement Narrateur omniscient = focalisation zéro L'ingratitude

de la "Maison Vauquer", une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage nommé Vautrin et un ancien fabriquant de vermicelles retraité surnommé le Père Goriot. Rastignac, issu d'une famille provinciale modeste, est ébloui par la vie parisienne. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société. Il est aidé en cela par

la richesse et la vie fortunée d'Eugène de Rastignac : « vous y avez flairé le luxe […] vous y avez flairé la Parisienne. » Le narrateur, toujours à travers cet autre personnage, Vautrin, associe alors ce désir de réussite du personnage à une vie frauduleuse et malhonnête. Il compare Eugène à tous ces jeunes gens, désirant la même chose que lui, qui ne cessent de s'adonner à des « manigances infernales ». Le narrateur associe alors le désir de réussite du personnage à un pacte avec l'enfer, avec

une "tirade" où le maître fait à la fois les demandes et les réponses. Il multiplie les questions : grand nombre de phrases interrogatives mais contrairement à la maïeutique socratique, l'élève se tait. Vautrin devance, anticipe les réactions de Rastignac. Ex : litote de la l.7-8 "Tout ça n'est pas gai !" Il ponctue son discours d'exclamations de dégoût ou de satisfaction : l.6 "Bah !" ; l. 13 "Pouah !"... l.21 "Bravo !" -Ce style oral, familier vise à amadouer et à convaincre le jeune étudiant