La République Et Ses Ennemis 1870 1940

1792 Ière République République de la Convention (exécutif assuré par assemblée appelé Convention Nationale) 1793 La Terreur 1795 directoire (5 directeurs à l'exécutif) 1799 Consulat (régime politique autoritaire aux 3 consuls dont un, Napoléon Bonaparte, détient en réalité le pouvoir) 1801 Le Concordat: accords entre l'État et le Vatican 1804 Fin du Consulat Premier Empire fin de la Ière République 1815

sont des jeunes pères en puissance qui furent fauchés. Avant la conscription universelle de la IIIe République, le système est bâtard, entre une armée de métier et un service militaire long imposé à une partie de la jeunesse (ceux qui ne se font pas remplacer). Peu à peu, au lieu d’être « l’impôt du sang », le service devient le lieu de la régénération du corps national, autour du tournant de 1870. NB : les registres de conscription sont des sources précieuses pour l’historien, pour connaître l’état

Séance 6 : 14/03 Devoir La IIIè République face aux crises (1870-1914) Proclamée le 4 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan et de l'abdication de Napoléon III, la IIIè République constitue une expérience politique supplémentaire dans une France qui n'a pas connu de régime durable depuis la grande Révolution. L'instauration d'un nouveau système, de nouvelles réformes politiques, économiques ou encore sociales suscitent à la fois enthousiasme et crainte. Il est par conséquent compréhensible

I. A . La première République réussie P our voir comment les Français aimaient leur République, regardons les mot s d’un citoyen , Frédéric Ozanam , qui a observé la Révolution de 1848 et la création de la II e République , et qui a décrit en mars 1848 : « On a proclamé la République sans fanatisme et sans opposition ; tout le monde l’accepte, parce que la monarchie, trois fois essayée sous Napoléon, Louis XVIII et Louis - Philippe, a trois fois donné preuve de son impuissance

institutions et « compromis républicain » Introduction : 1870-1958 temps de deux Républiques, la IIIème et la IVème, lors de l’instauration de ces deux régimes, les décalages entre la façon dont les institutions ont été pensées et celle dont elles ont été conçues donnent lieu à des pratiques politiques, elles aussi, laborieuses. La conception de ces institutions est donc extrêmement compliquée : le cadre institutionnel de la IIIème République, alors lié aux diverses luttes politiques, est marqué particulièrement

L'HISTOIRE CONSTITUTIONNELLE DE LA FRANCE (1789 à la IIIe République) L'étude de l'histoire constitutionnelle de la France est indispensable pour comprendre le régime qui est le nôtre aujourd'hui. Chaque régime qui a eu cours en France a laissé une marque dans l'histoire dont certaines traces sont visibles encore aujourd'hui. Ainsi certaines institutions créées sous un régime ont perduré malgré la chute du régime (ex : Conseil d'Etat, Cour des comptes...) A la chute de l'Ancien régime avec

exprime donc son pacifisme de façon frontale et brutale, un pacifisme radical et sans mesure. Rien ne vaut de se battre, il n'existe pas de cause juste. Il n'existe pas de guerre juste. Et Brassens va plus loin : "Plutôt que de mettre en joue un vague ennemi, mieux vaut attendre qu'on le transforme en ami" (Les deux oncles). Par compassion pour les victimes des idées sectaires en tout genre, Brassens prend la défense de « La tondue » : "Les braves sans culottes et les bonnets Phrygiens Ont livré sa crinière

-Déclaration des droits de l'homme et du citoyen | Ier République (Convention, Directoire et Consulat ) | II. De l'an I (24juin 1793) | Non appliquée en raison des circonstances (1792-1795:Gouvernement révolutionnaire) | -Confusion des pouvoirs (régime d'assemblée) -Souveraineté populaire -Proclamation du suffrage universel et de la démocratie -Introduction du référendum -Adoption par le peuple | Ier République (Convention, Directoire et Consulat ) | III. De l'an III (5fructidor)

Pratique « La chronologie et la géographie sont les deux yeux de l’Histoire. » « En Histoire, il faut se résoudre à beaucoup ignorer. » Anatole France (1844-1924) a été, après Victor Hugo, et avant Paul Valéry, l’un des maîtres à penser de la IIIe République. 11 « L’histoire de toutes les sociétés jusqu’à nos jours est celle de la lutte des classes. » Karl Marx (1818-1883), Manifeste du parti communiste, 1848. « Chacun fait, à un moment ou à un autre de sa vie, sa rencontre avec l’Histoire. » Citations

Introduction : « L’Assemblée nationale donne tous les pouvoirs au gouvernement de la République sous l’autorité et la signature du Maréchal Pétain [...] à effet de promulguer par un ou plusieurs actes une nouvelle Constitution de l’État français [...] qui devra garantir les droits du travail, de la famille, et de la patrie ». A travers cet article unique, on peut dégager la volonté de rompre définitivement avec la IIIème république et les valeurs antérieures. L’Assemblée nationale place les pleins pouvoirs