La Sapinière

valorisés sont effectivement disponibles et utilisables pour la fabrication de plaquette forestière à condition de l'acceptation d'un certain surcoût d'exploitation en raison des difficultés techniques observées et des essences présentes (hêtraie-sapinière). Ce surcoût est estimé à 25% en comparaison avec les prix pratiqués par les exploitants indépendants fournissant de la plaquette forestière Or, la concentration de chaufferies au bois communales dans les Vosges du Sud-Est est tout simplement l'une

praticien hospitalier, responsable pôle adultes 68, CRA Alsace 2 I Pour un accompagnement de qualité des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement Groupe de cotation • Marie-angèle BaFFIn, chef de service IME La Sapinière, Croix-Rouge française, Saint-Jans-Cappel (59) • Mary BeGhIn, psychologue foyer de vie, IME Les Résidences du coin du loup, Croix-Rouge française, Saint-Jans-Cappel (59) • Sylvie BrYlInSKI, directrice Fam Cèdre bleu, réseau Habitat, Association de

C/L’shi-Katanga Tél : 0999989897 2 ** Kambove (Katanga) 265 MOMO TRADING Sprl 10, Av Usoke C/Kampemba/L’shi-Katanga Tél : 0810251487 15 Sakania, L’shi, Kolwezi, Kasenga, Kapanga, Manono et Mitwaba (Katanga) 266 MONDO MINING Sprl 17 Av Sapinière Likasi-Katanga Tél : 0997028224 2 ** Kalemie et Nyunzu (Katanga) Renouvellement en cours 267 MONGA MUMBA SOMBE ERIC 90-91, Av Sombe Sombe C/L’shi-Katanga 1 ** Sakania (Katanga) MOSAKA MINIG EXPLORATION « MOMEX » 1 Bas congo

du train. Sur ce, malgré le froid, nous nous rendormons. Au petit jour, Maurice est debout le premier. C’est lui qui nous réveille cette fois. L’heure de la décision approche. Justement le train ralentit pour monter une forte rampe à travers des sapinières. C’est le moment ou jamais. Paul le premier saute résolument. Je le vois « bouler » au pied du haut talus et se relever prestement. Je suis sur le marchepied. Une hésitation, un geste de recul. « Saute, voyons ! » hurle Maurice. Il le faut, le train

bourgs où des chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières 73 Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches

râle pompeux des groseillers sanglants Et de la sainte cruauté des passiflores Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au sol

 habitats de très grand intérêt botanique et caractérisé par une flore riche en  plantes endémiques des Alpes sud‐occidentales, les matorrals arborescents à Genévrier thurifère (Juniperus  thurifera)  [Amelanchiero  ovalis‐Juniperetum  thuriferae]  et  les  hêtraies  et  hêtraies‐sapinières  neutrophiles  méridionales des Alpes du sud à Trochiscanthe à fleurs nues (Trochiscanthes nodiflora) [Fagion sylvaticae –  Trochiscantho‐fagetum].  FIGURE 35 ‐ ROMARIN    Six autres habitats remarquables sont également présents avec

impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que

froid. C’était un long souffle sourd, un bruit de gorge, un bruit profond, un long chant monotone dans une bouche ouverte.» (page 13) ; - «on entendait chanter les pins» (page 14) ; - «le chant grave de la forêt» (page 14) - «le chant grave des sapinières» (page 96) ; - «le vent haut chantait tout seul» (page 47) ; - «le vent sonna plus profond ; sa voix s’abaissait puis montait.» (page 81) ; - «la pluie chante fort» (page 103) ; - les yeux de Gina la vieille «chantaient tout le temps» (page

impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que