La Science Est Elle Libératrice

moi-même me donne l’illusion d’être libre Les sciences humaines comme l’histoire et la sociologie par exemple essaient de mettre en avant des déterminismes (= facteurs conditionnants) qui pèsent sur les individus et influencent leur vie entière.Les sociologues ont montré le lien entre les origines sociales et les opinions politiques.PHILOSOPHIE A) Le déterminisme socio-économique Auguste Comte est le père du mot « sociologie », c’est-à-dire de la science qui étudie les effets de la société sur l’individu

III. conditions favorables au dépassement des nos préjugés Nous pouvons citer trois coutumes humaines qui lient la communauté des hommes et qui permettent donc de nous identifier en tant qu’humain : Nous pouvons remarquer avec Vico, dans La science nouvelle, que toutes les nations ont quelque religion, toutes contractent des mariages solennels, tous ensevelissent leurs morts. En effet, il n’est pas de nations si sauvages et grossières soient-elles qui ne célèbrent ces actions humaines avec autant

prise de conscience de soi-même, et de ses actions, permet d’en évaluer les conséquences, et de savoir ce qui nous est bénéfique. Ce sont mes propres choix qui interviennent alors. De ce fait, il semble bien établi que la conscience puisse être libératrice. Mais, comme le montre la distinction entre la conscience et la spontanéité, une prise de conscience peut aussi conduire à entraver certaines de nos actions. Comment, par exemple, un mille-pattes pourrait-il arriver à se déplacer correctement

On voit clairement pourquoi l'arithmétique et la géométrie sont beaucoup plus certaines que les autres sciences : c'est que seules elles traitent d'un objet assez pur et simple pour n'admettre absolument rien que l'expérience ait rendu incertain, et qu'elles consistent tout entières en une suite de conséquences déduites par raisonnement. Elles sont donc les plus faciles et les plus claires de toutes, et leur objet est tel que nous le désirons, puisque, sauf par inattention, il semble impossible

manière à ce que les croyances religieuses peuvent agir de façons néfastes sur l’exercice de la liberté des individus. Dans un second temps nous verrons si ces religions une fois bien assimilée par le croyant, au contraire peuvent paraitre comme libératrice. Enfin nous verrons si le croyant peut faire preuve de sagesse et de tolérance envers les autres religions, tout en pratiquant la sienne. Cette question paraît intéressante car toute notre société fut fondée sur

production artistique ? - Faut-il renoncer à définir le beau ? - L’art a-t-il pour fonction d’exprimer ce qui échappe à la science ? - L’art change-t-il la vie ? - L’art doit-il s’intéresser à la laideur ? - L’art doit-il suivre la nature ? - L’art est-il dérangeant ? - L’art est-il inutile ? - L’art est-il l’expression d’une révolte ? - L’art est-il moins nécessaire que la science ? - L’art est-il un divertissement ? - L’art est-il un luxe ? - L’art est-il utile ? - L’art n’a-t-il pour but que le plaisir

pas tous artistes, pour autant nous y sommes sensibles. Pourquoi l'homme crée – t – il des œuvres d'art ? L'artiste nous associe à son imaginaire. L'œuvre d'art se présente comme un désir ou une satisfaction qui provoque en l'homme une émotion libératrice. L'art n'en est pas moins une technique, un savoir faire venant de l'artiste. Cependant on peut distinguer deux catégories d'artistes, ceux qui imitent et ceux qui créent. Les premiers, dans le seul but d'améliorer le beau et nous ne pouvons pas

le recul que lui apporte la philosophie lui permet d’émettre un jugement raisonné, loin des préjugés et des convictions. Certes, la pensée philosophique est, par définition, rationnelle et déductive. Mais la philosophie est-elle pour autant libératrice, est-elle un vecteur de vérité ? Nous apporte-t-elle des réponses définitives à nos questions, ou au contraire, nous laisse-t-elle dans l’hésitation et le doute ? Qu’apporte-t-elle à notre jugement, à nos pensées ? Le texte se divise en trois

l'interprétation. Fondée sur la distinction effectuée par Wilhelm Dilthey* entre "sciences de la nature" et "sciences de l'esprit", et entre "expliquer" et "comprendre*", l'herméneutique se développe au XX^e siècle, en Allemagne avec H. G. Gadamer*, et en France avec Paul Ricoeur*. Les sciences herméneutiques sont celles qui non seulement établissent les faits, mais interprètent le sens des intentions ou des actions (c'est le cas des "sciences humaines", comme l'histoire par exemple). L'herméneutique relativise

pour récupérer leurs droits et leur dignité. Laclos fait appel à leur sens de l'autonomie et de la responsabilité ♫ 2e phrase = résumé du texte : la femme qui par nature avait des droits en est désormais privée. "objets utiles" : politique, art, science (domaines dans lesquels les hommes ont le monopôle de la pensée et qu'ils exercent souverainement) "une fois" : entraine une remise en question "les avantages" : caractéristiques naturelles de chacun indissociables de la femme ♫ historique potentiel