La Science Est La Barbarie

Fiche de lecture sur Bienvenue à GATTACA Informations: Genre : Science-fiction Réalisateur : Andrew Niccol Personnages principaux : Vincent Anton Freeman (personnage principal), Anton Freeman (Frère de Vincent et insecteur), Jerome Eugene Marrow (Celui qui "prète" son identité), Irene Cassini (Collègue et amante de Vincent) Synopsis: L’histoire se déroule dans un futur proche. La science connait tout de la génétique, ainsi dès la conception les patrimoine génétique d'un enfant peut être modifié

Né en 1911, en Cornouaille au Canada, William Golding subit l'influence de son père, professeur de sciences, socialiste et adepte du rationalisme. Après des études de littérature anglaise à Oxford, William Golding devient auteur, acteur et producteur dans un petit théâtre. A partir de 1939, il enseigne l'anglais et la philosophie à Salisbury. Après sa mobilisation dans la Navy, durant la Seconde Guerre mondiale, il retrouve son poste de professeur, qu'il occupe jusqu'en 1962, date à laquelle son

percevoir la culture au-delà des particularités culturelles qui pourraient être un obstacle à la libération des préjugés. Comprendre la culture humaine, c’est aussi lutter contre les préjugés (ethnocentriques) qui pourraient contribuer à un retour à la barbarie sous de nouvelles formes. Ceci constitue un danger permanent. « La culture libère-t-elle des préjugés ? », cette question soulève le problème des dangers des préjugés dont la culture aurait pour mission de nous libérer. En d’autres termes, si les

L’Académie française MSN Intermédiaire L’Institut de France, crée en 1795 par la Convention, abrite, depuis 1832, cinq academies: l’Académie des Sciences Morales et Politiques, celle des Beaux-Arts, celle des Sciences, celle des Inscriptions et Belles-Lettres, et l’Académie française. Parmi celles-ci, l’Académie française est la plus ancienne : elle a été fondée en 1634 (et officialisée par Louis XIII en 1635), sous la protection du cardinal de Richelieu, qui souhaitait en faire « une compagnie

ensembles ou de jeunes enfants apprentis-sorciers représentent une fiction pure. Les romans de science-fiction et d'anticipation sont aussi de bons exemples de « beaux mensonges », car ce sont des romans imaginaires, ou les histoires se passent dans le futur, dans des mondes parallèles, ou encore dans nos mondes, mais dans une réalité n'existant pas encore (clonage,robots,cyborgs). Le roman de science-fiction de Isaac Asimov Fondation illustre parfaitement le « beau mensonge », car dans ce livre

souvent entendu cette réflexion, ou l’a même déjà faite. En effet, c’est fréquemment par cette phrase que l’on manifeste son émerveillement face à une prouesse technique ou scientifique. Cela prouve à quel point pour l’africain d’aujourd’hui, la science est l’apanage exclusif du « blanc » (entendons par ce terme les occidentaux). Cette idée si ancrée en nous que même de grands intellectuels, Chantres de la Négritude, l’ont affirmée dans leurs œuvres. En effet, parlant des Nègres, Aimé CESAIRE dit

en fait, d’une véritable révolution, d’un bouleversement de la pensée qui voit le triomphe de l'esprit philosophique et de la raison dans tous les domaines, qu'il s'agisse de la monarchie absolue, des dogmes religieux, de la morale sociale, des sciences et de la littérature. 2 – En quoi le 18ème siècle est-il le siècle des Lumières Porté par le mouvement des Lumières, le 18ème siècle, qui débute véritablement en 1715, à la mort de Louis XIV, est sans doute le siècle le plus dense, le plus

humiliants et dégradants infligés aux « bizuts». La question à laquelle nous réponderons est la suivante: Le bizutage a-t-il un rôle formateur? Pour cela nous disposons de quatre documents, d'une part deux extraits de « Bizutage et Barbarie »: le premier est d'un professeur de Sciences de l'Education et le second de René Devos, sociologue. Ensuite nous avons les points de vue d'un chef d'établissement et d'étudiants. Pour répondre à la problématique nous analyserons dans une première partie que le bizutage

associée à une désinvolture qui se marque par le vocabulaire philosophique avec le « meilleur des mondes ». L’horreur de la guerre est présentée de façon détournée. Voltaire dénonce la barbarie des hommes et le scandale du recours à la religion avec les « Te Deum » qui sont des chants de grâce. Dieu est mêlé à barbarie, ce qui est absurde.  Voltaire dénonce aussi l’absurdité de la mise en scène qui décrit la guerre comme  un spectacle avec une accumulation des instruments de musique auxquels sont mêlés

dans le sable. »1. Ce constat est celui que fait CASTORIADIS, dans le premier numéro de la revue Socialisme ou Barbarie en 1949, un an après la fondation avec CLAUDE LEFORT du groupe révolutionnaire du même nom. Ce groupe s’est constitué en dissidence de la IVème Internationale trotskyste qui analysait le régime soviétique comme étant un Etat ouvrier dégénéré. Or, Socialisme ou Barbarie, au-delà de la dénonciation de ce totalitarisme, lancera une interprétation audacieuse à l’époque en montrant la