La Sensibilité Baroque

 Le sujet que nous allons traité s'inscrit à l'intérieur du thème Héros et Personnages. Pyrame et Thisbé est une œuvre baroque faisant partie des nombreuses Métamorphoses d'Ovide. Beaucoup d'artistes se sont inspirés de cette tragédie comme les peintres et les poètes notamment Théophile de Viau qui fut le poète français le plus lu du XVIIème siècle. Une fois écrite, Les Amours tragiques de Pyrame et Thisbé, est jouée à la Cour du roi de France, Louis XIII, en octobre 1625. Cependant, ce poète renommé

aux domaines des sciences. Parmi ces poètes, on trouve Jean Antoine de Baïf qui fait partie du noyau dur de la pléiade, Jacques Peletier du Mans et Maurice Scève issus de l’école lyonnaise, Rémy Belleau venu du collège de Boncourt ou enfin le très baroque Guillaume de Salluste du Bartas. Cette poésie pétrie de christianisme et de mythologie antique décrit la nature parfois de façon syncrétique. D’autres courants comme la Kabbale ou l’alchimie, vont aussi parcourir et influencer ces courants d’écriture

 l’idée  de  ce  marier.       Le  classicisme  et  Baroque.     Les  mouvements  en  question.     Le  classicisme  :  prédomine  -­‐>  parce  qu’il  se  sépare  sur  plusieurs  période  de   l’antiquité  et  parce  qu’il  reflète  la  politique  du  roi  soleil  (louis).   Baroque  :  un  art  de  la  suggestion  -­‐>  interprété  -­‐>

D’Aubigné ‘‘donne à voir’’ au lecteur des tableaux qu’il anime. Œuvre de témoignage sur les horreurs de la guerre, il veut les rendre tangibles au lecteur. Mais c’est un mélange des registres (pathétique, lyrique, satirique, réaliste,…)  écriture baroque : violence des sentiments exprimés, inconstance de la destinée, fragilité, surabondance de comparaisons et métaphores, antithèses et figures d’oppositions (opposition du bien et du mal  ) , accumulations, thème du chaos, recherche du réalisme même

Les trois grâces (1505) Corps nus, visages impassibles, pommes -> sujets mythologiques Le Baroque ( Prose, Poésie, Peinture ) - >< classicisme - 1580-1640 Le mot baroque désigne un mouvement lié à la contre-réforme avant tout architecturale, mais aussi artiisque traduisant la complexité politique, religieuse et culturelle de l’époque. Souvent religieuse, l’écriture baroque laisse libre court à l’imagination et à l’excès. Ex. : L’abbaye d’Ottobeuren en Bavière : Chargé

sentimentalisme, le mysticisme 5.2 Le culte du Moyen Âge, des « brumes du Nord » et de l’exotisme (civilisation arabe) 5.3 Violence (intérêt pour le drame, le combat, la folie) 5.4 Prise en charge d’idéaux politiques révolutionnaires 5.5 Un « néo-baroque » (mouvement, tension, puissance, contrastes, couleurs) 6 Notes et références 7 Articles connexes 8 Bibliographie Contexte[modifier] Au xviiie siècle, l'influence française dans le domaine des arts s'étend à toute l'Europe. L'Angleterre tentera

à eux ne se laissent pas conduire par leurs passions et sentiments mais qui préfèrent s’incliner vers la raison et la modération. Ainsi, nous avons une première opposition. La deuxième survient grâce au baroque, duquel est héréditaire la tragicomédie. Le classicisme contestant aux excès du baroque, introduit des valeurs de pureté et de rigueur. Ainsi, la base de ce courant se concentre autour des concepts suivants : rationnel et raisonnables. Puis viennent les règles desquelles il faut tenir compte

le définit entièrement. C’est l’apparition de la complexité dans le caractère romanesque. 4) 17ème : l’invention du roman moderne Lorsque Mme de Lafayette écrit La Princesse de Clèves, on se situe à la charnière du baroque et du classique. Alors que le roman baroque aime les intrigues compliquées et peu claires, on trouve pour la première fois la notion de vraisemblance. On trouve également la notion de bienséance (parler du corps est honteux, tout doit être caché). On retrouve les règles

l'élisabéthaine, en annulaire, en éperon, en rond… Les gens du théâtre Le rapport spectacle / spectateur Chaque représentation est une aventure où la troupe doit intéresser le public. Selon les orientations, elle privilégie la réflexion (Brecht), la sensibilité (thème romantique) ou l'esthétique du corps (Pina Bausch), happening… Le contexte de la représentation intervient évidemment dans la mesure où elle s'inscrit dans les problèmes que connaissent les spectateurs et qui peuvent être différents ou très

vers 15 à 19, et en [v] des vers 31 à 34. Le sang est évoqué 3 fois en 4 vers. Il est associé avec le sein [s] qui évoque alors la mort. Cette violence est d'ordre intellectuel, cruelle et sonore. On a ici le baroque avec des associations incongrues, on est dans une sensibilité déjà baroque. Il est engagé dans son texte. L'auteur ne s'efface pas derrière la scène qu'il représente : "Je veux peindre" (v. 1). Il s'affirme dès le début en tant qu'artiste. Il représente la France comme une femme,