La Servitude Engendre T Elle La Révolte

Napoléon Bonaparte premier empereur français par un sénatus-consulte puis un plébiscite a engendré deux réactions: la légende dorée et la légende noire Charte de 1814: marque le début d'une nouvelle période: La Restauration sous Louis XVIII ( 1755-1824) qui essaye d'associer les idées de la Révolution avec l'Ancien Régime: impossible Charles X (1757 - 1836) dans les années 1830 fait de nouvelles réformes ce qui engendre la Liberté Guidant le Peuple (Eugène Delacroix) -> Révolution de Juillet 1830: Charles

puissant à l’intérieur de son royaume. Ces lois fondamentales doivent absolument être respecter par le roi, si jamais le roi ne les respecte il fait voir comme un tyran, et là le peuple peut se retourner contre lui, en cas de tyrannie, seul moment de révolte pour cette cause pour le peuple. Il n’empêche que le roi de France possède une autorité qu’on ne peut contester, il possède également la Majesté : la grandeur, la noblesse. Le titre de Sa Majesté est réserve uniquement jusqu’au XVIe siècle à l’empereur

libéré (« affranchi ») de la tutelle de ses parents. Remarque 2 :  Les parents ne peuvent donc pas désigner ceux que dans le texte Kant appelle les « tuteurs » puisque ceux-ci ne veulent pas l'autonomie mais la dépendance et la servitude de leur « protégés ». Pas plus que le « tuteur » n'est un éducateur, l'éternel mineur n'est pas non plus un homme pleinement accompli (« bétail » dit rudement Kant...) Une explication du constat par ses causes Mais cette première

Dumont, journaliste québécois). Ailleurs, en ex-URSS, on trouvait jusqu’en 1989 un même régime totalitaire communiste avec un dictateur à sa tête. La population vivait sous la crainte d’être déportés dans les goulags, elle n’avait ni le droit de se révolter ni de s’exprimer ni de désobéir aux ordres du régime. Il existe cependant un pays où le contrôle des libertés est encore aujourd’hui très important. Il s’agit de la Chine, aujourd’hui encore communiste, malgré sont autodéfinition comme République

à travers le mythe d'un peuple uni autour d'un leader. Les mouvements sont divers mais un point commun se dégage : le refus des médiations qui s'exprime à travers la dénonciation des institutions politiques en place. En cela, le populisme est une révolte citoyenne contre le formalisme de l'Etat de droit. Cette tension est cependant constitutive du paradoxe démocratique qui articule le référent au peuple et la médiatisation institutionnelle de la participation politique. Le populisme correspond à la

Les conséquences de la féodalité Le système féodale signifie l’effacement de l’autorité de Roi. Mais même si son autorité est très limitée, il reste à la tête de la pyramide hiérarchique féodale. D’un point de vu politique la féodalité engendre 3 conséquences : - « le pouvoir se dilue dans le social », il n’y a aucune sécurité garantie et le désordre se généralise - Cet édifice politique n’a aucune pérennité dans le temps et dans l’espace. Les conflits dynastiques et militaires

porteur de culture. La morale : il faut distinguer entre les interdits introjectés (les plus anciens et généraux) et les interdits ne reposant que sur la contrainte. 2) particulières Elles apparaissent injustes, oppressives, et conduisent à la révolte.  ces interdits particuliers produisent l’hostilité à la culture. COMMENTAIRE : justice / injustice. La religion aura pour tâche, par la promesse d’une justice supérieure et ultérieure, de justifier l’injustice réelle. Chapitre III : La

porteur de culture. La morale : il faut distinguer entre les interdits introjectés (les plus anciens et généraux) et les interdits ne reposant que sur la contrainte. 2) particulières Elles apparaissent injustes, oppressives, et conduisent à la révolte. ces interdits particuliers produisent l’hostilité à la culture. Commentaire : justice / injustice. La religion aura pour tâche, par la promesse d’une justice supérieure et ultérieure, de justifier l’injustice réelle. Chapitre III : La religion

un bienfait. L’immunité est d’abord fiscale. Chez les Germains l’impôt marque la servitude, chez les Romains l’impôt est légitime et normal, il permet de faire fonctionner les pouvoirs publics. Payer son impôt est normal, juste et même valorisant car l’on participe civiquement aux pouvoirs publics. Les Germains n’ont jamais compris cela pour eux, l’impôt c’est une tribu, un stigmate infamant qui marque la servitude. Un personnage de haut rang ne paie pas l’impôt, il sert le Roi les armes à la main

cette crise, l’agriculture est très dominante (de vrai problème de récolte). A cela s’ajoute une sècheresse. Nous avons une crise agricole, qui engendre une crise alimentaire qui elle-même engendre une crise industrielle. L’essentiel du budget est consacré à l’alimentation donc les autres branches, type de textile s’effondre. La crise industrielle engendre une crise bancaire. Cette ensemble créer une crise globale, provoquant des « troubles frumentaire » Téléologique : reconstituer l'histoire car