La Société Fictive

pour prendre des décisions pas rapports à la gestion de sa vie, et par rapport à la société. Le droit de vote permet aux jeunes de s'exprimer et de renouveler l'opinion. Si le renouvellement des générations est essentiel à la survie de l'espèce, sur le plan biologique elle l'est également sur le plan social. Donner la majorité à 18 ans c'est faire le pari de la confiance. Cependant avoir 18 ans dans nos société occidentale aujourd'hui n'est pas toujours synonime de capacité a prendre des responsabilités

l'expert unique de ses propres affaires et l'unique dirigeant qualifié pour ces affaires. Les six milliards d'experts et de dirigeants d'aujourd'hui ne peuvent résoudre que leurs propres crises et leurs propres problèmes – très limités. » « Une société est une utopie réalisée : c'est un projet d'organisation très complexe, accepté par un certain nombre d'individus qui, dans leur comportement quotidien, manifestent leur accord à ce projet verbalement non formulé. » « Personnellement, je pense

 Le contrat de société est un contrat spécifique qualifié de « contrat organisation » par Paul Didier, par opposition aux « contrats échanges ». Pour ce dernier, comme son nom l’indique, il s’agit d’un échange par lequel les parties s’échangent respectivement une chose contre une autre. Le contrat est formé dès l’échange de consentements des parties. Le « contrat organisation » met en évidence une coopération entre les associés qui vont mettre des choses en commun en les employant dans

Séance n°5 Les groupes de sociétés 1. Notions générales a) Notion de groupe Un groupe est un ensemble constitué de plusieurs sociétés, entités juridiques distinctes mais unies entre elles par des liens divers (juridiques, financiers) en vertu desquels l'une d'elles, appelée société mère, tient les autres sous sa dépendance, exerce un contrôle sur l'ensemble et fait prévaloir une unité de décision. Le groupe constitue alors une unité économique et sociale. Cette définition est jurisprudentielle

Droit des sociétés. Livre : pierre mousseron – droit des sociétés. INTRODUCTION : Qu’est ce qu’une société ? Def traditionnel : la société est un groupement de personnes et de biens constituée par contrat et qui est pourvue de la personnalité juridique. La personnalité juridique : statut soit personne physique, soit morale (êtres abstraits à qui l’ont va reconnaitre une existante juridique  va en découler des droits et des obligations.) Def traditionnelle fait apparaître deux éléments :

s’agit d’une histoire fictive. Si l’auteur s’ingénie à les retranscrire, c’est pour donner au lecteur une impression de réel. Il parvient ainsi à produire une réalité, qu’on pourrait qualifier de fictive, avec une extrême précision. » b) Ils decrivent de la misère du monde Les écrivains réalistes souhaitent montrer tous les aspects de la société, les meilleurs comme les pires. Ils pensent en effet que le roman ne doit pas se limiter aux seules couches aisées de la société, mais doit dire aussi la

s’occupe du cadastre foncier dans l’Oise, il est très proche des lumières, de Rousseau, dès 1789 il va a Paris et s’engage comme correspondant d’un journal anglais, pour lui la DDHC est velléitaire (sans audace, hésitant, etc.) elle instaure une égalité fictive entre les citoyens. Sous la terreur, il est aussi critique envers Robespierre. En octobre 94, il commence à publier un journal qui s’appelle le tribun ( le porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était

l’émerveillement qu’il va enseigner les richesses du monde . On peut aussi citer Candide de Voltaire . L’Eldorado représente le pays utopiques . C’est la description d’un monde idéal qui sert de repoussoir à notre monde .cependant voltaire critique la société . Il rappelle au homme que l’acquisition de richesse se fait par le biais du travail et de l’effort et non pas par la rêverie. L'auteur a réussi à véhiculer ses pensées à travers un récit fictif . Le lecteur , attentif , a compris les idées de Voltaire

donc convoqués. - L’Encyclopédie, et notamment ses planches concernant l’arboriculture, qui forment une véritable « Bible » pour le héros. - Les noms de Rousseau, Diderot et Voltaire sont fréquemment cités: l’auteur a même imaginé une rencontre fictive entre le narrateur et l’auteur de Candide, qui aurait entendu parler de « ce fameux philosophe qui vit dans les arbres ». - Le dernier chapitre rend un hommage explicite - pris en charge par le narrateur, qui se fait ici un porte-parole de l’auteur-

plus que décrire ces deux personnages car il y a une critique implicite de la société. Il faut donc lire entre les lignes et donc, une identification de personnes pus cultivées et plus instruite se fera car seules ces personnages comprendront ce qui est vraiment dit donc cette correspondance. Or le roman est le seul genre ou l’on peut exprimer ses idées et opinion, et faire cela librement sous forme d’histoires fictives : l’exemple des « Lettres Persanes » est significatif. En résumé, un premier