La Solitude Est Elle Un Fléau

de sortir . Rieux revoit Grand , l’employé de la mairie, qui se concentre sur l'écriture d'un livre dont il réécrit sans cesse la première phrase, Tarou, Rieux et lui-même méditent ensemble sur le sujet. Le père Paneloux lors d’une messe ,fait du fléau l'instrument du châtiment divin et appelle ses fidèles à méditer sur cette punition adressée à des hommes privés de tout .ce discours a bouleversé la ville , beaucoup se sont mis à prier pour éviter que la peste frappe à leur porte , Rieux lui dit

bouleverse son quotidien (« « il y a ceux qui sont dehors et libres, et ceux qui sont dedans et enfermés. » ) «  Mais ce vertige ne tenait pas devant la raison. Il est vrai que le mot “peste” avait été prononcé, il est vrai qu’à la minute même le fléau secouait et jetait à terre une ou deux victimes. Mais quoi, cela pouvait s’arrêter. Ce qu’il fallait faire, c’était reconnaître clairement ce qui devait être reconnu, chasser enfin toutes ces ombres inutiles et prendre les mesures qui convenaient.

dépendantes a l’opium a la morphine ou a l’héroïne (15 millions en 2003 ) et 13.7 millions consommateurs de héroïne (13milions en 2003) II LES CAUSES DE LA TOXICOMANIE Il y a des causes sociales comme la fascination du tabou et de l’interdiction , la solitude , la fuite devant la souffrance, la curiosité qui incite souvent a essayer , la pression du groupe et des causses médicales comme la dépendance à un traitement lourd à la morphine. III LES CONSEQUENCES ET LES SOLUTIONS DE LA TOXICOMANIE Parmi

collectivité (éclairage public, ramassage scolaire..) + destrcution de terres agricoles habitats : 23% des gaz à effet de serre auparavant proximité mais ce n'est plus le cas // super(m) ségrégation urbaine dûe manque de logements scx pauvreté – solitude → idvisme + délinquance projets : transports en commun : hausse coût de stationnement + tramway à Paris par ex – Londres : centre ville interdit ou coût onéreux + réduction vitesse Max Weber, dans son ouvrage “La ville“ (1921)

rien espérer. On le trouve en compagnie de Cottard( avec lequel il partage une même syllabe !) dont il dira que c’est un homme « qui grandit » et qui, comme lui regardera stoïquement cette mort sur scène. Ils ont pris de la distance par rapport au fléau, salvateur pr l’un, sans surprise ni état d’âme pr l’autre.Paradoxalement, ces 2 hommes seront sacrifiés à la fin du roman. Cf. « morts ou coupables »p.309 III/ Un spectacle qui figure une mise en abyme de la peste et qui est porteur de significations

est sûr, c'est que la peste, en détournant de lui l'attention de la justice et en lui fournissant l'occasion de faire du marché noir, de s'enrichir, arrange ses affaires Ainsi souhaite-t-il voir le malheur général s'amplifier et durer. La fin du fléau signifie pour lui la fin de son trafic et la reprise des poursuites dont il a déjà été l'objet. Il est battu, traqué, assiégé, mis à mort. L'auteur n'a pas beaucoup de pitié pour lui, car son malheur est mérité. Son châtiment, comme la guérison inespérée

de son pays et s’impose comme un écrivain partisan de la Philosophie de l’absurde. La lecture des deux œuvres citées ci-dessus, permet alors aux adolescents un aperçu de la pensée de l’auteur, pour qui l’Homme ne doit pas se décourager face à sa solitude et son univers totalement dépourvu de sens, face à l’absurdité de la vie. L’écrivain développe sa théorie avec une maladie qui tombe sans raison sur une ville tout entière dans La Peste, et avec le mystère de la mort de son père et celui de sa destinée

gloire qu’eux. Le caractère de ces lecteurs est forgé autour du personnage qu’ils affectionnent. Emma aurait voulu vivre dans « un vieux manoir » comme ces héroïnes préférées à attendre le prince charmant. Quant à l’enfant, il « rêve à l’éternelle solitude ». En plus de fasciner la lecture permet donc de forger leurs personnalités, ainsi les lecteurs s’inspirent tous de leurs héros préférés. Mais pour certains personnages la lecture est une perte de temps. Monsieur Sorel, le père de Julien pense

séparé du reste du monde est dû à la peste. Rambert, un journaliste parisien séparé de sa compagne  Tarrou, fils d'un procureur et étranger à la ville Rambert a eu l'opportunité de quitter la ville  (4eme partie) L'abbé se retranche dans la solitude de sa foi, Cottard est arrêté par la police après une crise de démence Un télégramme arrive chez Rieux : sa femme est morte. 5.Le docteur Rieux, incarne, dans le roman un idéal d'humanité, un homme modeste et simple. Rieux est un docteur

(« édifice ») et dentales* (« fantastique ») -Assonances* en « i » (« cri », « bruit », « si ») B solitude -Beaucoup de personnifications* (« les roseaux frissonnants ») -Hugo écrasé, décor immense tout autour (pluriels, lexique, superlatifs) -Accumulation finale accentue la sensation de solitude du poète C pays propice à l’imagination -Allemagne, pays de légende (sonorités germaniques