La Synesthésie

La forme de la poésie est comme la tradition mais il a introduit les correspondances, il joue sur ses sensations (SYNESTHESIE) → c'est une nouveauté jamais faite restant fidèle à la forme traditionnelle → le poète veut déchiffrer les signales, découvrir les symboles cachés, les analogies qui donnent à la réalité son sens. C'est surtout grâce aux image qu'il y arrive et à la synesthésie qui associe les impressions venant de domaines sensoriels différents et cela permet au poète de comprendre les correspondances

 Quatrain construit sur deux comparaisons imbriquées. « Comme de longs échos qui de loin se confondent » Sonorités : échos dans les sons " KDL : qui de loin ", " comme de la… ". Assonances nasales en " on ".Dernier vers, noyau du poème, il résume les synesthésies des sens. " Les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". C'est un vers particulièrement travaillé au niveau syntaxique, avec l'énumération de 3 sujets participant à la même action. Trois sens sont évoqués. Tétramètre (3/3/3/3) qui montre

passivité car elle le transforme en aveugle « guidé », mais il pourrait aussi nous faire croire à une anesthésie due à la chaleur. Or le texte nous offre une interprétation complètement opposée à l’anesthésie (ne plus rien sentir) puisque c’est d’une synesthésie (unir tous les sens) qu’il s’agit. Nous entrons donc dans le deuxième système de correspondances : le lien entre les sensations et les formes. Nous remarquons d’abord que ce monde imaginaire est associé à des formes verticales (arbres / hommes

femme trouve leur épanouissement. Par ailleurs, Baudelaire utilise de nombreuses composantes sensibles qui illustrent sa conception du bonheur. Baudelaire nous invite, tout d’abord, à un voyage des sens. On peut dire qu’il existe une synesthésie des sens dans ce poème. En effet, l’odorat est beaucoup sollicité, avec le champ lexical des senteurs : « odeurs » (v.19), « rares fleurs » (v.18), « senteurs » (v.20). La vue est aussi très présente avec l’expression « traîtres yeux » (v.11) et

rêverie sont visuelles. On peut aussi remarquer que le poème possède une structure en expansion : ainsi il y a correspondance entre les sensations mais les sensations ne se contentent pas de se répondre : elles s'appellent ! Il y a une véritable synesthésie quand les sensation appellent des notions d'ordre moral La rêverie dans un monde idéal Baudelaire décrit un univers idéal " Parfum exotique " est d'ailleurs un des exemples types de la poésie d'évasion. Il nous livre une vision d'un monde paradisiaque

Mascareigne mais aussi par la liaison entre Baudelaire et Jeanne Duval. Il s'agit d'un sonnet écrit en alexandrins, il est régulier car les deux quatrains sont des rimes embrassées et les deux tercets sont 4 rimes croisées. Nous rencontrons aussi des synesthésie concernant le goût "des fruits savoureux", l'odorat "le parfum des verts tamariniers", l'ouïe "le chant des mariniers" et la vue "Je vois un port". J'ai choisi ce poème car il m'a fait pensé à la Guadeloupe et comme j'y suis déjà aller je l'ai

Le flambeau vivant", "Réversibilité", "Confession", "L'Aube spirituelle" ainsi qu'"Harmonie du soir" Toute entiere : femme vu comme une droque (son haleine fais la musique comme sa voix fais le parfums dénote d’un melange des sens = sorte de synesthesie) Que diras tu ce soir : sonnet qui appartiient a section spleen et ideal et appartiient comme d’autre au cycle madame sabatier. Femme qui est omnipresente, qui sera toujours la Flambeau vivant : le beau est rattaché au bien et la laideur, la

celle de la faulx destructrice, les flammes reprennent leur vraie signification : représenter la vie. *Les deux derniers vers s’opposent point par point : squelette/ange, lueurs/flammes, peur/douceur de l’ange, pleurs/sourires, désert/baigné. *la synesthésie macabre se transforme en synestésie sublime *Ainsi on peut comprendre que le passé simple du premier vers évoquait une action terminée ; l’imparfait se fait ici porteur d’espérance *La métamorphose des enfants en oiseaux  préfigurait l’image finale

médiatrice qui permet au poète de découvrir le monde et d’en prendre possession. Elle est sa Muse. « Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu, / c’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu » Dans cette profusion de sensations se distingue la synesthésie du vers 7 « sourires parfumés. La femme est divinisée comme le montrent la profusion d’images de feu et de lumière associées aux yeux : « lumières, « astres », « ciel », « aurore ». On peut lire les vers 11 et 12 comme une métaphore filée de

être le véritable meurtrier. Il est à l'origine du malaise de Meursault et de ses illusions d'optique. Par exemple, « les cymbales du soleil » l.13 sont une analogie entre l'écrasante puissance du soleil et un coup de cymbale ce qui amène à une synesthésie entre la perception visuelle et sonore. « J'ai secoué la chaleur et le soleil » l.24 et « je ne me débarrasserais pas du soleil en faisant un pas » l.10.11 montre une tentative de fuir ce soleil. Le soleil étant l'incarnation de Destin dans de