La Terreur Blanche

tout cela sentait le scélérat d'une lieue. "Figurez-vous, dit mon ami, qu'on vendait l'autre jour les défroques d'un vieux sorcier bien connu dans toute la contrée ; il allait au sabbat tous les samedis sur un manche à balai, pratiquait la magie blanche et noire, donnait aux vaches du lait bleu et leur faisait porter la queue comme celle du compagnon de saint Antoine. Toujours est-il que ce vieux gredin avait une grande affection pour cette main, qui, disait-il, était celle d'un célèbre criminel

trône a été mis en place par les antions coalisés qui ont envoyé Napoléon à St Hélène de manière à l’éloigner du devenir français. Le régime de Louis XVIII s’installe dans une période de violence, c’est ce qu’on a appelé la periode de la « terreur blanche » qui dure de l’été 1815 à Sepetembre 1816. C’est une atmosphère particulière qui s’installe en France après l’échec de Napoléon : atmosphère de violence et de reglement politique. * Forme spontanée : chasse aux bonapartiste, aux révolutionnaires

en harmonie dans un monde idéal. Ils sont extrêmement heureux, ne manquent de rien. Le patriarche est entièrement au courant de sa chance et répète sans cesse que c'est grâce au Seigneur. Au milieu, on distingue leurs sentiments de rage et de terreur face à ce qui est en train de leur arriver. Ils ne comprennent pas ce soudain changement de leur vie, d'antan idéale à une vie future désastreuse et dure en labeurs. A la fin, le survivant est désemparé et veut mettre fin à sa vie. Il est outragé

brasserie. Il est arrêté et condamné à cinq ans de prison. Quel est le nom de l'ouvrage qu'il écrit lors de sa détention? -Mein Kampf Quelle est l'idée centrale de cet ouvrage? -Le monde est une jungle où les plus forts l'emportent. La race blanche, principalement la race aryenne est supérieur à toutes les autres, particulièrement à la race juive qui corrompt l'humanité et qui doit être éliminée. Quelles stratégies Hitler met-il en place lorsqu'il est gracié après 6 mois d'emprisonnement

signe de ralliement des Allemands. Si on s’intéresse aux couleurs on voit qu’il n’y a pas de couleurs vives les coleurs tournent plûtot autour de couleur sombre comme le vert foncé bleu foncé ou encore le noir comme pour donner une impression de terreur aux gens . • Techniques : Huile sur toile et collage, 1920, 110 x 87 , Galerie nationale, Berlin. • Significations : Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre OEUVRE 2 : La mort d'un soldat républicain Robert

bruler vif ; une femme, qui se dirige vers la lumière, au centre du tableau, tient sa jambe presque décollée de son corps. Avec sa peinture Guernica Picasso laisse imaginer ce qu’il veut (trois lectures possible dans ce tableau) mais on voit bien la terreur, la panique peint sur cette toile. Cette lumière que tient cette femme (forme un triangle, qui montre l’action principale du tableau) montrent qu’il veut mettre l’accent sur les dégâts que produisent les bombardements. Cependant le peintre symbolise

prieur de l'abbaye porte le titre ancien de « Dom » et meurt « couché dans la cendre des agonisants »; tandis que la jeune assassinée, au prénom très royal de « Marguerite », « sera ensevelie dans sa blanche robe d’innocence » L'inversion de l'ordre habituel nom-adjectif dans le groupe nominal « blanche robe d'innocence» est un archaïsme qui peut rappeler les chansons des temps anciens. Ce cadre à forte coloration médiévale est en outre très sombre, ce qui accentue son caractère effrayant. La phrase

Quelquefois, elle est une antireligion du type maléfique qui s’adresse non plus à la divinité mais à l’antidivinité, aux démons, aux esprits maléfiques des morts, c’est la pratique de la “magie noire”. Ce peut-être aussi une para religion du type “magie blanche” bénéfique. Les sorciers sont généralement spécialisés dans le premier type, parfois d’une manière plus ambivalente. Les “médecine men ou witch doctors sont des magiciens qui chassent les sorciers. De son côté, la religion parfois se fait magie et

de la colonisation et au-delà, la négation de l'humanité des colonisés à qui on ne pardonne pas de quitter leur place en découvrant l'envers du décor des maîtres blancs. La place faite à la frustration sexuelle de Toundi vis-à-vis de sa patronne blanche et les turpitudes intimes de celle-ci offrent par ailleurs une approche renouvelée du problème colonial. Le vieux nègre et la médaille, publié en 1956, se concentre sur la date symbolique du 14 juillet, fêtée dans un district éloigné. Ce jour-là

description du petit vieillard (ligne 24 à 27) prend alors tout son sens ; il est tellement avili et possédé par le jeu qu'il en devient « le JEU incarné » et son essence même d'être humain est effacée : « œil terne et sans chaleur », « longue face blanche », « pale image de la passion réduite à son terme le plus simple (…) sur qui les coups de fouets n'ont plus de prises », « insensible » ; « il n'y a plus qu'un jeu de cartes dans ce cœur là ». Cet être déshumanisé n'a plus que la fonction d'être avertissement